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The Handmaid's Tale
(The Handmaid's Tale : La Servante écarlate)
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Fidèle
Diffusé le : 10/05/2017
Serena propose à Defred une autre option pour tomber enceinte. Etant donné que le Commandant semble stérile, elle pourrait avoir des rapports sexuels avec Nick. Defred accepte. Ofglen, maintenant nommé Ofsteven, a des informations importantes à partager avec Defred. Celle-ci la questionne sur la résistance et sur Mayday. Enfin, tandis que des flashbacks donnent à voir le début des relations entre June et Luke, Defred et Nick finissent pas se lancer dans une liaison passionnelle... (thetvdb.com)
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Discussion (Attention, SPOILERS !):
Pages : 1
Message n° 4235577, posté à 01:22 le 11/05/2017  
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Baje
Rien de bien nouveau. J'aurais bien vu la relation avec son mari et sa copine en préambule à ce qui suit, pas en flashback entrecroisé toutes les 5 minutes. Ça m'intéresse limite plus que de suivre la petite vie de la maison. Et puis assez déçu que personne ne soit un vrai fou de dieu dans cette histoire. Histoire d'appuyer le propos de la révolution. Je commence à m'ennuyer de plus en plus. J'y crois pas un instant en plus à leur espèce de grand QG avec des action man tous les 5 mètres qu'on passe en furtif quand on veut se taper un coup où qu'on freeze pendant 2 minutes pour les besoins d'une scène.
Je vois pas non plus l’intérêt de prendre l'époque actuelle aux USA comme point de départ. On peut bien se passer de Tinder et des mannequins slimfast pour raconter la même chose. Le placer dans le vécu, faut pouvoir y apporter de l'épaisseur car forcément, on a un point de comparaison. Là ils ont l'air de vouloir se concentrer que sur une galerie de personnages uniquement, dont on ne sait pas pour 95 % ni d'où ils viennent, ni quels sont leurs objectifs, ni ce qu'ils aiment ou même pense. C'est plus Offred's Tale qu'autre chose.

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Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
*édité à 01:41 le 11/05/2017
Message n° 4235603, posté à 09:34 le 11/05/2017  
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sspielberg
Baje a dit
le 11/05/2017 à 01:22
:

Rien de bien nouveau. J'aurais bien vu la relation avec son mari et sa copine en préambule à ce qui suit, pas en flashback entrecroisé toutes les 5 minutes. Ça m'intéresse limite plus que de suivre la petite vie de la maison. Et puis assez déçu que personne ne soit un vrai fou de dieu dans cette histoire. Histoire d'appuyer le propos de la révolution. Je commence à m'ennuyer de plus en plus. J'y crois pas un instant en plus à leur espèce de grand QG avec des action man tous les 5 mètres qu'on passe en furtif quand on veut se taper un coup où qu'on freeze pendant 2 minutes pour les besoins d'une scène.
Il me semble que c'est pour faire le parallèle entre la vie d'avant et la vie de maintenant. Le titre de la série, c'est "The Handmaid's Tale". C'est donc un récit à la première personne. Et tu lui en aurais voulu de ne pas te raconter sa vie d'avant. Parce que les réactions d'Ofred n'ont de sens que si on la connaît. La séduction dans le resto vs la scène dans la cuisine avec Nick. La scène d'amour avec Luke vs la cérémonie avec Nick. J'ai l'impression que tu passes à côté du propos de la série. L'idée n'est pas de décrire un monde dystopique, mais plutôt la façon dont les hommes et les femmes vivent dans cet univers, aussi monstrueux qu'il soit. En forçant le trait, tu donnes l'impression de sortir déçu d'un film de Baumbach, parce que tu étais persuadé que c'était un film d'Emerich.

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If a rhino was as big as a whale could it beat it?
Message n° 4235622, posté à 11:12 le 11/05/2017  
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Baje
Il me semble que c'est pour faire le parallèle entre la vie d'avant et la vie de maintenant. Le titre de la série, c'est "The Handmaid's Tale". C'est donc un récit à la première personne. Et tu lui en aurais voulu de ne pas te raconter sa vie d'avant.
Je vois pas où tu vois que je reproche quelque chose au personnage... C'est pas le personnage qui a fait la série. J'ai bien compris le parallèle, juste ça ne fonctionne pas chez moi. J'ai l'impression de voir des petites scénettes plutôt qu'un récit construit. Je n'ai de toute manière pas dit que je voulais pas connaître son passé mais que ça m'aurait certainement plus intéressé d'un bloc. Niveau connaissance de son passé, identification etc. je trouve ça bien plus fort de passer du paradis à une descente aux enfers. Je sais pas si ils suivent juste le bouquin à la trace (même si ils ont changé pas mal de persos) de ce côté-là ou si c'est un choix de création.
Parce que les réactions d'Ofred n'ont de sens que si on la connaît. La séduction dans le resto vs la scène dans la cuisine avec Nick. La scène d'amour avec Luke vs la cérémonie avec Nick. J'ai l'impression que tu passes à côté du propos de la série. L'idée n'est pas de décrire un monde dystopique, mais plutôt la façon dont les hommes et les femmes vivent dans cet univers, aussi monstrueux qu'il soit.
Cela dépends des préférences de chacun. Pour que je m’identifie à quelqu’un, il faut que je puisse le placer dans un contexte, un univers avec ses règles, ses lois etc. Tu parles d’un récit à la première personne mais cette règle est brisée assez souvent par la série pour justement donner de l’épaisseur ou du moins tenter d’en donner. Personnellement, je me fiche pas mal de la relation que le commandant entretient avec sa femme. Qu’ils soient totalement déconnectés n’en fait pas moins des salauds et ne change rien à la vie d’Offred. Au lieu de ces scènes, on pouvait nous apprendre quelque chose sur l’univers. Ils ont passé un certain temps à nous montrer que les actions man sont partout, sans pitié, prêt à te choper au moindre faux pas. Et ensuite, quand on les mets en scène, c’est d’une manière assez ridicule. Le « freeze » pendant le suicide de l’autre servante est ridicule, ça me sort complètement de la scène et ce qui devait être traumatisant n’a plus aucun effet. Cela avait été bien meilleur dans un épisode précédent quand on sortait de ce récit à la première personne pour voir la pendaison de sa copine.
Et rebelote plus tard dans l’épisode, on nous montre un garde pour nous dire qu’ils sont vraiment partout et elle le passe comme si il ne servait à rien. Ça me sort encore une fois de la scène qui suit juste après. Je vois pas l’intérêt de placer un garde en mouvement à ce moment-là. Il pouvait être 10 mètres plus loin, ça ne changeait rien à ce qui suit mais ça le rendait plus plausible. On nous enfonce dans le crâne qu’ils sont partout, qu’on ne peut leur échapper, que les radios grésillent en permanence prêt à buter n’importe qui qui ferait une connerie et ensuite ils sont inutiles dans deux scènes clés de l’épisode… A chaque fois qu’un truc se passe comme ça, ça fait d’un coup tomber tout l’artifice de l’univers immédiatement. Je comprends que certaines personnes ne soit pas gêné ou n’ai même pas besoin d’un contexte. On a un perso dans une maison, 3 minutes de son passé et paf, on est dedans même si tout ce qui est autour ne fonctionne pas forcément.
En forçant le trait, tu donnes l'impression de sortir déçu d'un film de Baumbach, parce que tu étais persuadé que c'était un film d'Emerich.
Je te suis pas là.

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Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
*édité à 11:26 le 11/05/2017
Message n° 4235635, posté à 13:21 le 11/05/2017  
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sspielberg
Je vois pas où tu vois que je reproche quelque chose au personnage...
Je ne dis pas que tu reproches quoi que ce soit à qui que ce soit. Tu dis que c'est "plus Offred's tale" qu'autre chose. Je te réponds que c'est fait exprès. Voir ce monde à travers les yeux d'Offred...
Personnellement, je me fiche pas mal de la relation que le commandant entretient avec sa femme.
Il faut effectivement que tu changes de crèmerie. C'est quand même assez central. Et ce ne sont pas des salauds. Le commandant invite Defred à jouer au Scrabble, alors que c'est interdit. Quant à Serena Joy, sa vie ne fait pas vraiment rêver. "Better never means better for everyone. It always means worse for some."
Je te suis pas là.
Je veux dire par là que tu t'attaches à des détails qui sont vraiment sans importance et qui n'ont rien à voir avec le propos de la série. C'est pas Westworld. C'est un regard introspectif sur notre capacité à accepter l'inacceptable.

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If a rhino was as big as a whale could it beat it?
Message n° 4235741, posté à 22:19 le 11/05/2017  
+0.87
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homereb
Bon, Emilie la, elle a été excisée, on est d'accord ?

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I am Ripper... Tearer... Slasher... I am the Teeth in the Darkness, the Talons in the Night. Mine is Strength... and Lust... and Power! I AM BEOWULF!
Message n° 4235760, posté à 01:04 le 12/05/2017  
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Strawberry
sspielberg a dit
le 11/05/2017 à 13:21
:

Il faut effectivement que tu changes de crèmerie. C'est quand même assez central. Et ce ne sont pas des salauds. Le commandant invite Defred à jouer au Scrabble, alors que c'est interdit. Quant à Serena Joy, sa vie ne fait pas vraiment rêver. "Better never means better for everyone. It always means worse for some."
Tu crois vraiment que c'est elle qui est visée par cette phrase ?
Baje a dit
le 11/05/2017 à 01:22
:

Je vois pas non plus l’intérêt de prendre l'époque actuelle aux USA comme point de départ. On peut bien se passer de Tinder et des mannequins slimfast pour raconter la même chose. Le placer dans le vécu, faut pouvoir y apporter de l'épaisseur car forcément, on a un point de comparaison. Là ils ont l'air de vouloir se concentrer que sur une galerie de personnages uniquement, dont on ne sait pas pour 95 % ni d'où ils viennent, ni quels sont leurs objectifs, ni ce qu'ils aiment ou même pense. C'est plus Offred's Tale qu'autre chose.
Même temps, fallait bien prendre quelque chose. Et comme on ne connaît que ça...

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"If assholes could fly this place would be an airport"
Message n° 4235787, posté à 07:43 le 12/05/2017  
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sspielberg
Strawberry a dit
le 12/05/2017 à 01:04
:

Tu crois vraiment que c'est elle qui est visée par cette phrase ?
Pas spécialement. Mais ça n'a pas l'air d'être trop l'éclate dans son foyer.

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If a rhino was as big as a whale could it beat it?
Message n° 4235800, posté à 10:24 le 12/05/2017  
+0.25
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Caféine
We only wanted to make the world better.
Better never means better for everyone.
It always means worse for some.
Ça va devenir ma devise.

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« Caféine et nicotine sont les deux mamelles du sous-titrage. »
Message n° 4235862, posté à 17:54 le 12/05/2017  
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clap

Message n° 4235892, posté à 21:24 le 12/05/2017  
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Medieval
Un autre truc sur le quel je m'interroge, c'est la première scène de sexe entre la Servante et Nick le chauffeur. Elle lui pince le bras (plan sur l'action) pour lui dire de s'arrêter avant de jouir et il le fait ? Vous avez aussi vu ça comme ça ?

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"Un peuple n'a qu'un ennemi dangereux, c'est son gouvernement."
Saint-Just
Message n° 4235895, posté à 21:47 le 12/05/2017  
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sspielberg
Medieval a dit
le 12/05/2017 à 21:24
:

Un autre truc sur le quel je m'interroge, c'est la première scène de sexe entre la Servante et Nick le chauffeur. Elle lui pince le bras (plan sur l'action) pour lui dire de s'arrêter avant de jouir et il le fait ? Vous avez aussi vu ça comme ça ?
Moi j'ai vu une étreinte et un début de plaisir et de sentiment. D'ailleurs elle dit qu'elle a l'impression de tromper Luke. Et elle revient le voir pour refaire l'amour. Mais elle dessus, comme elle l'avait fait avec Luke la première fois. Ça fait un peu syndrome de Stockholm non ?

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If a rhino was as big as a whale could it beat it?
Message n° 4235897, posté à 22:13 le 12/05/2017  
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Caféine
Pareil : alors que toute la scène est filmée comme la saillie d'une jument par un étalon sous l'œil de la propriétaire/éleveuse, ce geste furtif (et risqué) est une marque d'intimité affectueuse et complice.
Ce qui n'empêche pas Offred d'explorer la chambre des yeux et de repérer le pistolet de Nick.

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« Caféine et nicotine sont les deux mamelles du sous-titrage. »
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