Recherche de fiches séries, films ou personnalités :
Billions
1x03
Yum Time
Diffusé le : 31/01/2016
Chuck découvre que pendant qu'il poursuivait Steven Birch, le district Est a fait une percée dans le dossier d'Axe. Pendant ce temps, Lara tente de protéger la réputation de son mari en empêchant la sortie d'un livre vérité... (thetvdb.com)
Parfois, on croirait un mélange entre les mauvais côtés de Damages et The West Wing, parfois, on dirait un mélange entre le meilleur de Boss et Brotherhood ; et parfois, l'inverse.
La plupart du temps, je ne comprends rien à ce qu'il se passe. D'autant que hier, pour raisons techniques, j'ai regardé sans st.
Mais je comprends deux choses clairement : j'ai rarement vu quelqu'un d'aussi beau que Damian Lewis et Paul Giamatti confirme à nouveau son génie.
En vrai, le reste n'est pas terrible, mais c'est assez divertissant et intelligent.
Message n° 4145868, posté par niteowl à 20:40 le 02/02/2016
je ne sais pas si c'est intelligent, parce je ne capte absolument rien à rien. ça m'a aussi fait penser à damages, mais certainement pas aux autres que tu cites.
je regarde pour les deux acteurs principaux.
mais j'ai très peur que ça tombe dans les clichés des bluffs, double-bluffs, menaces plus ou moins voilées, traîtres et autres, sans grande subtilité. exactement comme damages, qui a vite sombré dans le ridicule absolu.
et pis franchement la vie sexuelle de giamatti on s'en tamponne le coquillard...
0.29
Message n° 4145873, posté par Finally à 21:01 le 02/02/2016
: je ne sais pas si c'est intelligent, parce je ne capte absolument rien à rien. ça m'a aussi fait penser à damages, mais certainement pas aux autres que tu cites.
Bien sûr. C'est ce que je disais. Je disais plus pour la manière de raconter une histoire. Ce qui est pas mal.
Pour le reste... Effectivement, c'est plus de l'ordre de la sensation perso, je pense. Donc rien de fondé. Même si parle à peu près de la même chose, un peu de la même manière.
: mais j'ai très peur que ça tombe dans les clichés des bluffs, double-bluffs, menaces plus ou moins voilées, traîtres et autres, sans grande subtilité. exactement comme damages, qui a vite sombré dans le ridicule absolu.
Exactement.Les acteurs de Damages étaient tous assez brillants. Comme ici (sauf Maggie Siff).
Et puis cette propension aux punchlines permanentes et spirituelles ou aux citations/exemples de types célèbres, c'est fatigant.
Tu peux pas aller pisser sans qu'un mec surgisse de l'ombre pour te citer Sun Zi ou te raconte un détail de la vie de Kissinger pour te faire comprendre un truc ou te foutre une vieille pression.
Même si j'avoue le truc sur l'eau de Cologne, c'était bien rigolo. C'est d'ailleurs la seule partie que j'ai compris de l'entrevue entre le CEO de je sais pas quoi qui était là pour je ne sais quelle raison et le bureau du procureur.
Et puis... l'espèce de truc sur le pouvoir qui peut être quasiment infini me soûle déjà. Ce qui arrive à la veuve de l'associé, c'est sacrément abusé. Particulièrement le coup de Stanford.
: et pis franchement la vie sexuelle de giamatti on s'en tamponne le coquillard...
Complètement d'accord. Mais justement, dans cet épisode, l'explication de sa femme m'a un peu pris par surprise, moi qui croyais à un bête "vous voyez tous les hommes brillants sont des freaks et en plus s'ils ont du pouvoir, ils ont une tendance à aimer être dominés au pieu" cliché.
Que ce soit au contraire pour une question de contrôle que lui peut enfin exercer sur lui-même et ses pensées, c'est assez cool. D'après ce que je comprends, en plus, sa femme le fait presque professionnellement. Un peu comme si elle lui essuyait les fesses s'il avait les jambes cassées.
Et puis, tout ce sexe... Le père, l'éditeur, l'agente du SEC et l'assistant du procureur des US. Parfois tu te demandes si ça c'est pas juste résumé à un choix entre "il faut qu'ils parlent, là, pour nous en apprendre sur l'intrigue. On place la scène où ? Au restau ? - Non, on en a déjà dix. - Alors au pieu ? - Ouais, on s'en fout, on est sur Showtime"
On sent déjà le truc lesbien entre l'assistante de Bobby et la soeur de sa femme et qu'il va se passer un truc chelou avec le ouf et son obsession du ass-to-mouth, ou avec le sociopathe et son kiff sur les naines - et je ne serais même pas étonné que ça bouge du côté de Bobby lui-même.Sans parler du triangle "Assistant du procureur - Agent du Sec - et assistante du procureur".
C'est peut-être ce qui m'a fait penser à The West Wing...
Message n° 4145876, posté par Finally à 21:02 le 02/02/2016
Je pense que c'est pas plus mal qu'on ne comprenne pas trop les détails. Les spécialistes doivent bien rigoler j'imagine, comme avec n'importe quel domaine spécialisé montré à la télé.
Message n° 4146227, posté par Finally à 20:01 le 03/02/2016
: Je pense que c'est pas plus mal qu'on ne comprenne pas trop les détails. Les spécialistes doivent bien rigoler j'imagine, comme avec n'importe quel domaine spécialisé montré à la télé.
Ben justement, il me semblait qu'un des showrunners étaient un journaliste du NYT spécialiste de la finance et du stock exange, mais surtout des opa agressives et des fusions acquisitions (en gros le principe de fonctionnement des hedge funds) qui avait été récompensé plusieurs fois, notamment pour son enquête sur les subprimes. A moins que je mélange tout.
That’s not to mention Damian Lewis. Just as he saved the C.I.A. melodrama “Homeland” from its own histrionic urges, Mr. Lewis pulls “Billions,” which begins on Sunday, back from the brink of macho outlandishness with his natural gravitas. As the hedge fund titan Bobby Axelrod, Mr. Lewis might spend most of his on-screen time spitting out cocksure zingers, but he’s that rare TV actor with the self-possession to make even overdramatic lines sound organic.
Message n° 4146255, posté par klaxon à 20:38 le 03/02/2016
: Ben justement, il me semblait qu'un des showrunners étaient un journaliste du NYT spécialiste de la finance et du stock exange, mais surtout des opa agressives et des fusions acquisitions (en gros le principe de fonctionnement des hedge funds) qui avait été récompensé plusieurs fois, notamment pour son enquête sur les subprimes. A moins que je mélange tout.
Bah, toutes les séries ont des consultants dans tous les domaines, et au final on voit le résultat.
Message n° 4146277, posté par Finally à 20:55 le 03/02/2016
: Plus qu'accessoire ? On n'a pas regardé la même série alors.
Non, bien sûr, il sert à l'intrigue.
Quand je parlais d'accessoire, c'est qu'en définitive, ce n'est pas le sujet de la série ; série qui n'a pas une fois essayé d'être didactique sur le hacking, contrairement à Billions avec les hedgefunds.
Message n° 4146286, posté par klaxon à 21:21 le 03/02/2016
: Quand je parlais d'accessoire, c'est qu'en définitive, ce n'est pas le sujet de la série ; série qui n'a pas une fois essayé d'être didactique sur le hacking, contrairement à Billions avec les hedgefunds.
Pour l'instant, j'ai plus l'impression que le thème principal de Billions est l'exploration de la sexualité des puissants. (ou impuissant...)
Dans Billions, il n'y a pas d'explications sur le fonctionnement sur les hedgefunds, alors que, par le bia de la voix off, on nous montre bien comment hacker des gens dans Mr Robot.
*édité à 21:23 le 03/02/2016
Message n° 4146287, posté par Finally à 21:24 le 03/02/2016
: Dans Billions, il n'y a pas d'explications sur le fonctionnement sur les hedgefunds, alors que, par le bia de la voix off, on nous montre bien comment hacker des gens dans Mr Robot.
C'est intéressant que tu le vois comme ça.
Je pense qu'on sera mieux fixés d'ici la fin de la saison :)
Ce serait bien qu'on ait un jour des sub fr, en fait.
Message n° 4146288, posté par klaxon à 21:27 le 03/02/2016