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Ready Player One (2018)
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Genre :
SF / Fantastique Action Aventure
Durée : 140 min
Sortie le :
28/03/2018 (France)
29/03/2018 (États-Unis)
Réalisé par Steven Spielberg
En 2045, le monde est au bord du chaos. Les êtres humains se réfugient dans l'OASIS, univers virtuel mis au point par le brillant et excentrique James Halliday. Avant de disparaître, celui-ci a décidé de léguer son immense fortune à quiconque découvrira l'œuf de Pâques numérique qu'il a pris soin de dissimuler dans l'OASIS. L'appât du gain provoque une compétition planétaire. Mais lorsqu'un jeune garçon, Wade Watts, qui n'a pourtant pas le profil d'un héros, décide de participer à la chasse au trésor, il est plongé dans un monde parallèle à la fois mystérieux et inquiétant…
Official 4K Trailer
Change the World
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Casting :
Parzival / Wade :
Art3mis / Samantha :
Sorrento :
Aech / Helen :
I-R0k (voice) :
+
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Discussion (Attention, SPOILERS !):
Pages : 1
Message n° 4266151, posté à 21:24 le 28/03/2018  
+0.50
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Batefer
Ça va être un peu une critique de normand.
J'ai bien aimé, globalement, malgré de nombreux défauts, notamment d'écriture et de narration.
Ce que je retiens, ce sont des moments assez incroyables alternant avec d'autres extrêmement douteux.
Le film commence par quinze bonnes minutes de narration en voix-off, suivies pendant une bonne partie du film par des dialogues d'exposition insérés dans la narration d'une manière aussi maladroite que possible.
À plus d'une occasion, des personnages expliquent certaines notions, ou présentent des lieux ou des situations, à d'autres personnages qui devraient déjà les connaître depuis longtemps vu leur background (qu'on nous a donc lourdement présenté).
C'est ce que j'appelle de l'écriture paresseuse. Je trouve vraiment étonnant que Spielberg, dont on ne peut jamais mettre en doute la sincérité et la passion, ne se soit pas entouré d'auteurs plus compétents, surtout pour un tel projet, même si l'auteur du bouquin (dont ce n'est qu'une très vague adaptation, pour être clair là-dessus) y a semble-t-il participé.
Il y avait pourtant matière, rien que sur ce plan, à faire une séquence de présentation de ce monde virtuel quelque chose de spectaculaire et grandiose. Mais c'est plat, ce début n'est pas emballant du tout, on nous présente A, B et C d'ue manière linéaire, didactique, et tout sauf excitante : on est loin de l'orgasme à geeks annoncé.
Ça s'emballe un peu plus par la suite, malgré une narration toujours foireuse et de nombreuses incohérences et autres coïncidences trop faciles pour être honnêtes. Les personnages qui sont là où il faut au bon moment, les simultanéités d'événements bien pratiques, encore une fois c'est écrit à la va comme je te pousse. Les actions de l'antagoniste principal n'ont à peu près aucun sens, jusqu'à une scène finale totalement facepalmique.
En ce qui concerne le coeur du sujet qu'est l'OASIS, on nous annonce tout de go que tout y est possible, et certains mondes bien alléchants sont littéralement survolés en introduction... pour ne plus jamais y revenir par la suite. On reste dans des mondes assez basiques, des décors urbains, une salle techno, une plaine sans âme pour le combat final... tous sauf l'idée de génie du film qui est à l'origine de sa meilleure séquence, la recréation de l'hôtel Overlook de Shining : c'est absolument bluffant et je pense sincèrement que le film vaut le déplacement rien que pour cette scène qui fourmille de détails assez dingues.
Mais mon avis au fond est que le film ne va jamais au bout de son concept. Ça paraît fou avec un tel réalisateur à la barre, et tout le cinéma qu'il représente (c'était vraiment lui ou personne pour faire naître un tel projet), avec toutes les licences dont on savait à l'avance qu'ils loueraient les droits, avec une telle idée et l'argent derrière pour l'exécuter comme il se doit... ça reste exactement à la surface de son potentiel.
Un exemple : le héros conduit la DeLorean de Retour vers le Futur. Cool. Mais qu'est-ce que le film en fait ? Rien, absolument rien. C'est à dire qu'il la conduit mais ça pourrait être n'importe quelle voiture. On aurait pu imaginer (avec des auteurs ayant un peu plus d'imagination, bon sang) qu'il y ait l'exploitation de ce qu'elle représente, pas forcément le voyage dans le temps en soit, mais qu'il y ait quelque chose de fait avec les 88 miles à l'heure, un lien plus fort avec les films, mais non. Je ne suis même pas sûr qu'on aperçoive le convecteur temporel à un moment. Il y a bien un dispositif de recul dans le temps dans le film (appelé "cube de Zemeckis", histoire de remuer le couteau dans la plaie), mais aucun lien avec la voiture. C'est vraiment un acte manqué et pratiquement tout le film m'a laissé cette impression de potentiel gâché.
Pour tout dire, on ne voit pas vraiment beaucoup plus de licences que dans les différentes bandes-annonces : Batman par-ci, Chucky par-là, ce ne sont que des clins d'oeil sans incidence sur l'histoire. Même le Géant de Fer (pas très respecté du point de vue de la personnalité au demeurant) n'était pas une surprise. Le seul gros ajout est Mechagodzilla, qui m'a surpris car je ne pensais pas que la Toei en cèderait les droits. Sans doute était-ce plus facile pour celui-là que pour le "vrai".
Même la scène dans Shining, aussi bien faite soit-elle, a un goût de trop peu : on ne voit jamais les acteurs du film, il n'y a aucune interaction avec ses personnages (sauf un en fait, mineur), alors que là encore tout était possible avec la technologie d'aujourd'hui (et que le livre allait beaucoup plus loin avec le concept de jeu-dans-le-film).
Je suis surtout critique mais ça reste extrêmement divertissant et prenant, pourvu qu'on fasse abstraction de ces scories narratives qui m'ont sorti du film à plusieurs reprises. J'attendais quand même plus de Spielberg avec ce matériel et cette idée. La base est là mais ça ne va pas assez loin. J'en sors avec un goût de trop peu. Mon niveau d'exigence était sans doute trop élevé mais je n'ai à aucun moment été surpris ou touché.
Le public à qui le film s'adresse est également un point d'interrogation pour moi puisque Spielberg ne revisite pas vraiment ses propres franchises, contrairement à ce qui était tacitement promis par son implication.
Et ce problème de l'incompréhension des auteurs avec leur sujet demeure jusque dans le générique de fin : pour un film reposant quasi-intégralement sur la notion d'easter eggs, c'est une vraie surprise qu'il n'y en ait pas un seul durant les crédits ou après.
Musicalement, j'étais assez enthousiaste à l'idée de retrouver Alan Silvestri à la partition, lui qui a composé certains de mes scores préférés. Là tout de suite, juste après le film je suis plutôt déçu. Non seulement on est très loin de thèmes immédiatement mémorables comme Retour vers le futur ou Predator, mais c'est aussi en-dessous de ses oeuvres plus mineures, la dernière ayant vraiment marqué étant la musique d'Avengers (j'espère qu'il va tout donner pour le prochain). On peut fredonner celui-là, pour RPO c'est mission impossible. Les seules musiques marquantes sont celles qui proviennent d'autres oeuvres pour illustrer les scènes correspondantes, BTTF bien sûr (on en avait déjà un avant-goût dans la première bande-annonce), mais aussi Shining et Godzilla, qui font évidemment bien plaisir. J'attends l'album afin de confirmer mon avis, ça peut toujours évoluer en écoute isolée, d'autant que dans un tel film les meilleures musiques sont parfois noyées par les effets sonores.
Et je regrette enfin qu'il n'y ait pas eu la place pour un petit Take on Me des A-Ha qui était tellement efficace dans la dernière bande-annonce.
Bref, j'attendais vraiment de Spielberg qu'il me fasse rêver, j'ai juste été agréablement diverti. Dommage.

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je parles pas au cons sa les instruits
Message n° 4266156, posté à 22:10 le 28/03/2018  
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bonakor
Je suis globalement plutôt d'accord avec toi.

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«Que deviennent les rêves qui se brisent ?
— Les rêves ne se brisent pas.
— Que deviennent les rêves qui se brisent ?
— Le terreau des rêves à venir.
Message n° 4266474, posté à 23:47 le 02/04/2018  
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FP Unchained
Spielberg est un réalisateur qui fait aimer le cinéma, et surtout, qui peut faire comprendre le cinéma. Son oeuvre est parsemée de scènes extrêmement fortes qui peuvent servir d'allégorie à ce média. Son oeuvre est aussi vaste que qualitative. Il a toute sa carrière jonglé avec les films à Oscars et les gros blockbusters et si le cinéma de divertissement est ce qu'il est aujourd'hui, c'est en très grande partie grâce à lui.
Et Spielberg sait tourner un film. Il y a des séquences et des plans ici qui transpirent le talent, à l'instar de la première course.
Mais Spielberg - tout comme les scénaristes - n'a jamais joué à un seul jeu vidéo de sa vie et croit qu'un geek c'est le truc gênant qu'on voit dans The Big Bang Theory qui récite à longueur de journée des articles wikipedia et autres anecdotes sur des oeuvres ultra-connues en portant un t-shirt Marvel ou DC.
La façon qu'a le film de traiter le public représenté par le personnage principal est d'une condescendance sans pareille. Le film passe son temps à nous mettre des coups de coude et à nous faire un clin d'oeil toutes les 5 secondes pour que les mecs dans la salle qui se sont mis à aimer la pop-culture parce que ça devenait à la mode puissent pouffer et dire "eh t'as vu, c'est Harley Quinn ! Oh là, y avait le Chestbuster ! Ouaaaah, la DeLorean, c'est la voiture du film là !"
Même dans son choix des musiques, il y a de la paresse. Les chansons utilisées ressemblent à une playlist que Spotify aurait faite : "les top tubes des années 80". Aucune logique, aucune foi, rien. Des chansons placées là juste parce qu'elles ont eu la chance de sortir dans les années 80.
Et encore une fois, ces gens n'ont jamais joué à un J-V de leur vie. Ou alors, un J-V se résume à faire des courses "lol tavu ils ont cité Mario Kart trop kikoo" et à jouer à la guerre dans des décors vides, insipides, jamais inspirés. Pour un film qui commence par "dans l'Oasis, on peut tout faire", ça la fout vraiment mal.
A vrai dire, le seul chapitre de l'Oasis où Spielberg maitrise réellement son sujet, parle avec amour et passion, est évidemment celui de son idole, Kubrick. C'est très drôle, intelligent, inventif, et respectueux.
Je ne dis pas que tout est à jeter dans le film, bien au contraire, parce que Spielberg est l'un des réalisateurs qui me fascine le plus, encore aujourd'hui. Il sait raconter une histoire et surtout, il sait tenir une caméra. Et si son histoire ici est ridicule, longue à en mourir, déjà vue 15 fois, et contient une morale encore plus condescendante que toutes les références précédemment évoquées qui pourrait être résumée en "les jeux vidéos c'est bien mais la vraie vie c'est encore mieux hé hé", c'est pas le cas de sa caméra et de son montage qui sont éblouissants. Il a un talent pour tourner une scène d'action qui est indéniable. J'étais hypé comme jamais après la première course, mais c'est très vite redescendu, puisqu'immédiatement après celle-ci, la bouillie de coups de coude commence.
Le film divise ses références en trois catégories. Il y a les références qu'on nous enfonce dans la bouche avec des geeks qui parlent comme aucun geek n'a jamais vraiment parlé dans la vraie vie, les références qu'on connait tellement qu'elles ne sont pas nommées comme les apparitions de tous les personnages emblématiques de DC, et les références en arrière-plan, empilées là pour nous faire croire qu'on est brossés dans le sens du poil parce qu'on a vu ce personnage qui est visible à l'écran une demi-seconde.
A vrai dire, aujourd'hui, je me sens autant trahi qu'après Indiana Jones 4. Même si ce film n'a rien à voir avec la honte qu'était Indy 4, j'ai pourtant l'impression que Spielberg m'a pris avec la même condescendance et le même ton hautain qu'avec Indy 4. J'ai la même impression de voir ce quelqu'un faire du mal à tant de choses que j'aime, et croire qu'il sait ce qu'on veut, croire qu'il nous connait, et qu'il connait la chose dont il parle.
Maintenant, j'aimerais parler d'un autre point qu'on ne peut pas vraiment lui reprocher, mais faut juste que ça sorte quoi. Donc si vous vouliez juste lire ma critique sur RPO, elle est terminée, vous pouvez passer maintenant. Parce que maintenant, j'aimerais parler du festival de fellations auxquelles s'adonnent les critiques.
J'ai envie d'un peu être vulgaire les concernant parce que toutes les bonnes critiques que j'ai pu lire et surtout entendre peuvent être résumées avec cette phrase : "qu'est-ce que ça fait du bien d'avoir le retour de Spielberg au blockbuster quand on a en face Marvel et Avengers qui sort dans 3 semaines".
Je sais bien que l'on critique un film par rapport à son environnement. On le critique par rapport à son réalisateur, par rapport à la période à laquelle il sort - et donc ce qui est en face de ce film, la concurrence - et par rapport à ce qu'il fait et raconte. Mais ce que font les critiques qui s'acharnent sur Disney (j'ai même entendu que le méchant de RPO représenterait Kevin Feige, un faux geek avec une oreillette où plein de vrais geeks lui disent quoi raconter) pour ensuite dire du bien de cette bouillie de pop-culture du pauvre dont la seule qualité réelle est de ne pas être nombriliste - comprendre que Spielberg ne cite aucun de ses propres films - revient à niveler par le bas.
On avait eu les mêmes débats à l'époque de Fury Road, et c'est profondément énervant, voire consternant.
Spielberg filme comme personne, c'est clair et net, mais je n'ai jamais, et je dis bien jamais, vu dans un seul des 18 films Marvel, même les plus feignants, vu la paresse et la condescendance que j'ai vues ici.
Si Spielberg a voulu faire un film pour les geeks du dimanche qui savent ce qu'est un Padawan et une DeLorean, très bien. Mais pour tous les autres, pour nous tous dont notre avatar est ici censé être joué par Tye Sheridan, c'est tout simplement insultant.

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J'AIME FINALLY

Holding out for a hero ?
*édité à 00:14 le 03/04/2018
Message n° 4266599, posté à 14:57 le 04/04/2018  
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Gan
Cameo The Movie.
Naze et complètement à côté de la plaque vis-à-vis du public auquel le film veut s'adresser.
Message n° 4266600, posté à 15:09 le 04/04/2018  
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FP Unchained

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J'AIME FINALLY

Holding out for a hero ?
Message n° 4266613, posté à 17:12 le 04/04/2018  
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Batefer
Pour être tout à fait impartial il faudrait aussi poster le podcast dithyrambique de NoCiné sur le film.
Je le fais, tiens :
Et comme prévu, autant ils mettent toute la mauvaise foi du monde dans leur rejet de quelqu'un comme Dennis Villeneuve par exemple, autant il leur est impossible d'être objectifs avec l'un de leurs chouchous (parmi lesquels on retrouve aussi Del Toro ou les Wachowski). C'est incroyable de parler autant du film en passant sous silence ses défauts structurels et narratifs évidents et en mettant davantage l'accent sur le cursus de son metteur en scène que sur le résultat proprement dit et le message qu'il véhicule.
La politique des auteurs dans toute sa splendeur.

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je parles pas au cons sa les instruits
Message n° 4266616, posté à 17:32 le 04/04/2018  
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bonakor
Mais quand tu les écoutes régulièrement, t'es absolument pas surpris, haha
Bon après, au delà de ça, j'ai pas trouvé cet épisode très bien.

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«Que deviennent les rêves qui se brisent ?
— Les rêves ne se brisent pas.
— Que deviennent les rêves qui se brisent ?
— Le terreau des rêves à venir.
Message n° 4266617, posté à 18:10 le 04/04/2018  
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FP Unchained
Batefer a dit
le 04/04/2018 à 17:12
:

Pour être tout à fait impartial il faudrait aussi poster le podcast dithyrambique de NoCiné sur le film.
Heu, non non, n'écoutez pas ça.
J'ai tenu 25 minutes.
C'est bien d'eux en partie dont je parle quand j'écris ça :
FP Unchained a dit
le 02/04/2018 à 23:47
:

J'ai envie d'un peu être vulgaire les concernant parce que toutes les bonnes critiques que j'ai pu lire et surtout entendre peuvent être résumées avec cette phrase : "qu'est-ce que ça fait du bien d'avoir le retour de Spielberg au blockbuster quand on a en face Marvel et Avengers qui sort dans 3 semaines".

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J'AIME FINALLY

Holding out for a hero ?
Message n° 4266618, posté à 18:10 le 04/04/2018  
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FP Unchained
Fais pas le con sérieux, retire cette vidéo, leur donne pas des vues.

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J'AIME FINALLY

Holding out for a hero ?
Message n° 4266619, posté à 18:11 le 04/04/2018  
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FP Unchained
bonakor a dit
le 04/04/2018 à 17:32
:

Mais quand tu les écoutes régulièrement, t'es absolument pas surpris, haha
Oui d'ailleurs, je me suis désabo après ces 25 minutes qui m'ont été encore plus insupportables que le film lui-même. Je n'ai jamais aimé leurs podcasts, je persistais pour avoir un contre-avis et pour m'instruire et apprendre de nouvelles choses, mais là, faut pas déconner. Faut vraiment pas déconner.

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J'AIME FINALLY

Holding out for a hero ?
Message n° 4266620, posté à 18:36 le 04/04/2018  
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bonakor
On apprend des trucs quand même

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«Que deviennent les rêves qui se brisent ?
— Les rêves ne se brisent pas.
— Que deviennent les rêves qui se brisent ?
— Le terreau des rêves à venir.
Message n° 4266622, posté à 18:49 le 04/04/2018  
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Batefer
bonakor a dit
le 04/04/2018 à 17:32
:

Mais quand tu les écoutes régulièrement, t'es absolument pas surpris, haha
Ah non pas surpris du tout, ils ont leurs têtes en bien ou en mal on le sait, mais en dehors de ça ils restent intéressants. Et puis j'étais curieux après avoir vu le film de savoir comment ils tourneraient ça pour en dire quand même du bien, quelles circonstances atténuantes ils pourraient lui avoir trouvé.
Bon, en fait ça va même plus loin de ça, je ne sais plus si le mot "chef-d'oeuvre" est prononcé mais on n'en est pas loin.
Et la comparaison de Sorrento avec Kevin Feige est effectivement au-delà du risible.
Mais comme tu dis on apprend des trucs et c'est aussi souvent assez drôle (certains plus que d'autres), notamment chez CaptureMag, l'autre podcast où les mêmes en gros (Dupuy, Moïssakis, Djoumi, Bordas, bref les ex-Mad) font régulièrement des rétrospectives très enrichissantes sur leurs réals fétiches - la dernière sur Spielberg. On est proche de l'hagiographie parfois, ça va sans dire, mais les mecs savent quand même de quoi ils parlent, à défaut d'être objectifs.

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je parles pas au cons sa les instruits
Message n° 4266623, posté à 19:01 le 04/04/2018  
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FP Unchained
Batefer a dit
le 04/04/2018 à 18:49
:

Bon, en fait ça va même plus loin de ça, je ne sais plus si le mot "chef-d'oeuvre" est prononcé mais on n'en est pas loin.
Il me semble qu'il l'est dans les 25 premières minutes quand ils ne sont pas occupés à rappeler combien Disney fait du mal au cinéma et combien c'est vraiment tout moisi à côté de ce film révolutionnaire et visionnaire qu'est RPO.
Batefer a dit
le 04/04/2018 à 18:49
:

Et la comparaison de Sorrento avec Kevin Feige est effectivement au-delà du risible.
D'autant plus que cette comparaison semble plus pouvoir se faire avec Spielberg tellement ça se sent qu'il ne sait pas du tout de quoi il parle quand il place ses 15000 références à la seconde.

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J'AIME FINALLY

Holding out for a hero ?
Message n° 4266746, posté à 12:19 le 06/04/2018  
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Baje
C'est tellement mal écrit... Ya une scène très sympa, la poursuite... et pis voilà.
Rien d'épique, des persos au charisme 0 tout le long, des passages dans le réel hyper nul...

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Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
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