12.58
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The Man from U.N.C.L.E. (2015)
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Genre :
Comédie / Sitcom Action Aventure
Durée : 116 min
Sortie le :
16/09/2015 (France)
14/08/2015 (États-Unis)
Réalisé par Guy Ritchie
Situé au début des années 60, en pleine guerre froide, The Man From U.N.C.L.E. s’attache au parcours de l’agent de la CIA Solo et à l’agent du KGB Kuryakin. Contraints de laisser de côté leur antagonisme ancestral, les deux hommes s’engagent dans une mission conjointe : mettre hors d’état de nuire une organisation criminelle internationale déterminée à ébranler le fragile équilibre mondial, en favorisant la prolifération des armes et de la technologie nucléaires. Pour l’heure, Solo et Kuryakin n’ont qu’une piste : le contact de la fille d’un scientifique allemand porté disparu, le seul à même d’infiltrer l’organisation criminelle. Ils se lancent dans une course contre la montre pour retrouver sa trace et empêcher un cataclysme planétaire.
:15 TV Spot #1
:15 TV Spot #2
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Casting :
Napoleon Solo :
Illya Kuryakin :
Gaby Teller :
Victoria Vinciguerra :
Alexander :
+
Suite du casting
Pages : 1
Batefer
Il est sympa, avec un trio d'acteurs fort convaincants, un rythme assez enlevé et un bon humour. Le bide est assez injuste.
En revanche, Guy Ritchie alterne vraiment le pire et le meilleur dans ce film. Notamment à la fin, alors que l'action est relativement lisible tout du long, la (longue) scène de poursuite voiture/moto est une incroyable bouillie visuelle qui frise l'amateurisme et est proprement incompréhensible. Ça m'a sorti du film quasi définitivement, ce qui est vraiment dommage.
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je parles pas au cons sa les instruits
je parles pas au cons sa les instruits
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Batefer a dit
En revanche, Guy Ritchie alterne vraiment le pire et le meilleur dans ce film. Notamment à la fin, alors que l'action est relativement lisible tout du long, la (longue) scène de poursuite voiture/moto est une incroyable bouillie visuelle qui frise l'amateurisme et est proprement incompréhensible. Ça m'a sorti du film quasi définitivement, ce qui est vraiment dommage.
Je l'ai regardé comme si ça avait été tourné dans les années 60 comme la série en référence donc rien de ce qui est "technique" ou défectueux dans le film ne m'a interpellé.le 01/11/2015 à 00:12
:En revanche, Guy Ritchie alterne vraiment le pire et le meilleur dans ce film. Notamment à la fin, alors que l'action est relativement lisible tout du long, la (longue) scène de poursuite voiture/moto est une incroyable bouillie visuelle qui frise l'amateurisme et est proprement incompréhensible. Ça m'a sorti du film quasi définitivement, ce qui est vraiment dommage.
Caféine
Batefer a dit
En revanche, Guy Ritchie alterne vraiment le pire et le meilleur dans ce film. Notamment à la fin, alors que l'action est relativement lisible tout du long, la (longue) scène de poursuite voiture/moto est une incroyable bouillie visuelle qui frise l'amateurisme et est proprement incompréhensible. Ça m'a sorti du film quasi définitivement, ce qui est vraiment dommage.
le 01/11/2015 à 00:12
:En revanche, Guy Ritchie alterne vraiment le pire et le meilleur dans ce film. Notamment à la fin, alors que l'action est relativement lisible tout du long, la (longue) scène de poursuite voiture/moto est une incroyable bouillie visuelle qui frise l'amateurisme et est proprement incompréhensible. Ça m'a sorti du film quasi définitivement, ce qui est vraiment dommage.
Dans le meilleur, je mets la première poursuite en voiture dans les rues de Berlin Est, avec les deux voitures accolées comme des danseurs de tango. :D
Super aussi, le multi split screen pour l'assaut de l'île de Vinciguerra ("qui gagne la guerre" - lol), bel exercice de virtuosité. Un peu tape à l'œil, peut-être…
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« Caféine et nicotine sont les deux mamelles du sous-titrage. »
« Caféine et nicotine sont les deux mamelles du sous-titrage. »
*édité à 17:59 le 08/11/2015
ricorod
Batefer a dit
En revanche, Guy Ritchie alterne vraiment le pire et le meilleur dans ce film. Notamment à la fin, alors que l'action est relativement lisible tout du long, la (longue) scène de poursuite voiture/moto est une incroyable bouillie visuelle qui frise l'amateurisme et est proprement incompréhensible. Ça m'a sorti du film quasi définitivement, ce qui est vraiment dommage.
le 01/11/2015 à 00:12
:En revanche, Guy Ritchie alterne vraiment le pire et le meilleur dans ce film. Notamment à la fin, alors que l'action est relativement lisible tout du long, la (longue) scène de poursuite voiture/moto est une incroyable bouillie visuelle qui frise l'amateurisme et est proprement incompréhensible. Ça m'a sorti du film quasi définitivement, ce qui est vraiment dommage.
Je me suis fait la même réflexion. Les scènes d'action précédentes étaient très bien, celle-ci est illisible et pénible.
Mais pour le reste, c'est deux heures de préliminaires triolique entre trois spectaculaires spécimens et de cockblocking sur de la musique super cool, conduisant tout droit aux bains turcs.
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Life is too short to spend two hours in a state of total exasperation.
Life is too short to spend two hours in a state of total exasperation.
Pages : 1
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