Saisons : 1 - Episodes : 17 Statut : arrêtée en 1986 Série créée par : James D. Parriott en 1985 Format : 42 mn Genre : Drame, Fantastique Nationalité : Américaine
1ère diffusion USA: 4 Octobre 1985 sur NBC 1ère diffusion France : 30 Juillet 1987 sur La 5
Casting complet
Dr. Billy Hayes : Dean Paul Martin Dr. Elvin Lincoln : Kevin Peter Hall Johnny 'Johnny B' Bukowski : Mark Thomas Miller Gloria Dinallo : Courteney Cox Dick Stetmeyer : Max Wright
Synopsis :
Billy Hayes est un chercheur brillant mais plutôt déroutant : il adore les vêtements bariolés, les femmes et l'alcool. Sa nouvelle idée, c'est de remporter les cinq millions de dollars proposés par l'institut scientifique, Humanadyne. Pour arriver à ses fins, Billy, peu apprécié par ses collègues, va réunir autour de lui une équipe un peu particulière. Il y a d'abord son meilleur ami et scientifique, Elvin. Ce dernier souffre de sa grande taille et tente de mettre au point un sérum pour obtenir une taille normale. Mais le résultat ne répond pas aux attentes : Elvin se retrouve donc avec une taille de quelques centimètres de haut pour quelques minutes. L'autre membre de l'équipe a lui aussi un talent particulier. Suite à un accident, le rocker Johnny Bukowski, dit Johnny B., a la capacité de maîtriser et utiliser l'énergie électrique. D'abord hésitant, il accepte d'utiliser ces pouvoirs lorsque Gloria rejoint le groupe. A peine âgée de 17 ans, Gloria est une jeune fille complexée, malgré sa beauté. Elle s'imagine comme un phénomène de foire : elle a des pouvoirs de télékinésies qui lui permettent de contrôler ce qui l'entoure. Adolescente rebelle, elle est surveillée par une assistante sociale. Mais cela ne l'empêchera pas de rejoindre le groupe, qui à la surprise de Humanadyne et de son directeur, Dick Stetmeyer, ne va pas se consacrer à des recherches mais plutôt à mettre leurs talents inhabituels au service de la justice.
Détailles sur les Cast :
Bien entendu, Superminds est marqué par la présence de Courteney "Friends" Cox. C'est une raison suffisante pour parler de ses compagnons dans la série.
Surtout Kevin Peter Hall, le géant capable de rétrécir. Mine de rien, cet homme a interprété un monstre extrêmement célèbre de la fin de siècle. C'est lui, en effet qui offre une démarche féline et une carrure surhumaine aux extraterrestres rastas et chasseurs des deux premiers épisodes de Predator. Ce n'est pas rien... Habitué aux rôles de monstres, il fut à la télévision, Harry, le yeti domestique d'Harry et les Henderson. Hélas, cet acteur est décédé du Sida à la fin de l'année 91...
Soit quatre ans après Dean Paul Martin, mort dans un accident d'avion.
Fils de l'acteur-crooner Dean Martin, il se consacrait énormément à la musique avec son groupe de rock, Dino, Desy & Billy. Son fils, Alexander, a fait des débuts remarqués dans Big Party avec Jennifer Love Hewitt.
Enfin Mark Thomas Miller, après quelques téléfilms, a complètement disparu des écrans. Les "laissés pour compte de la science" sont devenus les "laissés pour compte" tout court.
Pour finir sur une note un peu plus joyeuse, le directeur de l'institut est joué par Max Wright, inoubliable Willie Tanner dans la sit-com culte : Alf.
La ptite Histoire :
L'histoire de cette série commence au milieu des années 80, lorsque le scénariste James D. Parrist vient déposer un projet aux bureaux de MCA TV, la filiale télévisuelle des studios Universal.
Pour la petite histoire Tim Kring le "fameux" créateur d'Heroes a débuter en tant que scénariste assistant sur cette série.
Après s'être fait les dents sur Super Jaimie et L'Incroyable Hulk, Parrist a tâté de la science-fiction avec "Voyagers", une série largement inspirée par le célèbre "Au coeur du temps", créé par lrwin Allen vingt ans plus tôt.
Interprété par Jon-Erik Hexum ("Espion modèle"), le héros de "Voyagers" s'appelle Phineas Bogg, une référence à Jules Verne qui n'echappera à personne. A bord de son "Omni", une machine a remonter le temps, Bogg voyage dans la quatrième dimension et vient mettre son grain de sel dans quelques événements historiques qui vont de Pearl Harbour à la révolte de Spartacus...
Après "Voyagers", Parrist est passé a la série d'action avec "Hawaiian Heat", l'histoire de deux flics de Chicago qui ne supportent plus le rude climat de leur ville et se font muter à Hawaii, dont le soleil, les palmiers et les jolies filles en bikini leur conviennent beaucoup mieux. L'humour est évidemment présent dans cette série policière, et, en même temps que l'action et la science-fiction, il sera également l'un des éléments de base du nouveau projet de Parrist : "Misfits of Science".
Avec, en plus, le rock, un autre ingrédient dont le succès de "Miami Vice" est en train, à l'époque, de démontrer toute l'efficacité. Série dans l'air du temps, son échec poussera pourtant le producteur à persévérer.
Il part au Canada et produit Forever Knight, une série sur un vampire qui cherche la Rédemption en devenant détective. Il produira ensuite la mini-série "remake" des Envahisseurs et surfera sur la vague X-files avec le culotté Dark Skies. Et on en attend d'autres...
En toute logique, les indices d'audience vont se révéler particulièrement médiocres, et, pour limiter les dégâts, la chaîne NBC choisit rapidement de changer l'heure de programmation des "Misfits of Science"...
Malgré un résultat plus correct, le succès n'est toujours pas au rendez-vous, et seul un bastion de fanatiques chante les louanges de la série en soulignant la qualité de ses effets spéciaux.
Le problème, c'est que, dans ce domaine, la qualité a un prix, et les nombreux trucages qui émaillent chaque épisode alourdissent considérablement le budget de la production.
C'est l'analyse que font conjointement les responsables de NBC et de la MCA à la fin de la première saison, avant d'opter pour une annulation pure et simple.
Les "Misfits" ne méritaient-ils pas une seconde chance ?
C'est ce que pensent les interprètes de la série lorsque, la mort dans l'âme, ils apprennent la terrible nouvelle. Une consolation : leurs aventures recevront un accueil bien plus chaleureux à l'étranger, en particulier en France, où elles occuperont une place de choix dans le catalogue proposé par les défunte Cinq.
Cette série m'a vraiment marqué étant jeune, quand je scotché la Cinq. Son coté comique, science fiction et surtout équipe de Super-héros, qui pour l'époque était vraiment très rare m'a vraiment rendu addict. (étant fan de comics, comme certains le savent ici, depuis que mon popa m'a transmit le virus) Elle occupe vraiment une place particulière dans mes souvenirs, même si ce n'est pas un chef d'oeuvre dans son contenu. Mais bon c'est pour ça que je l'aimeee. Putain de perso que Johnny B !!
Guide des épisodes :
Les épisodes parodient toujours au moins un film ou type de films, soit dans leur titre, soit dans leur scénario :
1. Pilote 1ère partie : Ghostbusters 2. Pilote 2ème partie : Ghostbusters 3. Le Trésor des Mayas : Indiana Jones 4. Devine ce qui vient dîner ? : Rencontres du troisième type 5. Le Chaînon perdu : Greystoke 6. Où est passée Gina ? (Sort of Looking For Gina) 7. Le Jour du dauphin (Sonar...And Yet So Far) : Flipper, Miami Vice 8. Le Météore (Steer Crazy) : Cocoon 9. Impair et passe (Fumble on the One) : l'Homme qui valait trois milliards, Mission impossible, James Bond 10. Doubles pistons (Twin Engines) 11. Fric-frac lapinous (Grand Theft Bunny) 12. Secrète illusion (Grand Elusion) : Equalizer 13. Il était une nuit (Once Upon a Night) 14. Le Maléfice (Center of Attention) 15. Flashback (Against All Oz) 16. L'Ange justicier 17. Les Trois jours du mixer : Les Trois Jours du condor
V - 1ère mini série (V: The Original Mini Series) Réalisée en 1983 En 2 parties Diffusion française en 1985 sur Antenne 2.
V : "La Bataille Finale" (2ème mini série) (V: The Final Battle) Réalisée en 1984 En 3 parties Diffusion française en 1985 sur Antenne 2.
V : la série (V : The Series) Réalisée en 1984/1985 19 épisodes (+ 1 ép. annulé, le 20ème) Diffusion française en 1987 sur Antenne 2.
Statut : arrêtée en 1985 Série créée par Kenneth Johnson en 1984 Producteurs : Chuck Bowman, David J. Latt Format : 42 mn Genre : Drame, Science fiction Nationalité : Américaine
Le Casting :
Diana : Jane Badler
Mike Donovan : Marc Singer
Julie Parrish : Faye Grant
Ham Tyler : Michael Ironside
Elias Taylor : Michael Wright
Robin Maxwell : Blair Tefkin
Elizabeth Maxwell : Jennifer Cooke
Willie : Robert Englund
Lydia : June Chadwick
Nathan Bates : Lane Smith
Kyle Bates : Jeff Yagher
Chris Faber : Mickey Jones
Synopsis :
Alors que le journaliste Mike Donovan filme des soldats en plein combat au Salvador, apparaissent d'un coup dans le ciel, là et à de nombreux endroits du globe, de gigantesques OVNIs (qui seront dénommés par la suite vaisseaux-mères) venus du système Sirius situé à 8,7 années lumière de notre système solaire. Les extraterrestres semblent avoir forme humaine et déclarent être venus en paix, s'installant peu à peu au milieu de la population. Ils déclarent vouloir partager leurs connaissances en échange de produits chimiques terrestres censés régler leurs problèmes environnementaux sur Sirius ( « bien plus graves » que les nôtres). Mais leurs intentions sont tout autres. En effet, les visiteurs pompent en secret toute l'eau de la Terre. De plus, ce sont des lézards (que l'on peut aussi nommer « reptiliens » ou reptiles humanoïdes) qui considèrent les humains comme de la nourriture. Aussi veulent-ils remplir leur garde-manger de millions de terriens (entre autres). Peu à peu une organisation secrète de résistants, avec en tête Mike Donovan et le Dr Julie Parrish, aidée par des soldats visiteurs rebelles ( « la cinquième colonne » ), s'organise pour un combat de titan. Combat qui est loin d'être gagné car Diana, officier de haut rang dans l'armée des envahisseurs, veut à tout prix anéantir l'humanité.
Si V semble à priori raconter une énième invasion extra-terrrestre, la série est en réalité bien différente des histoires de science-fiction auxquelles nous sommes habitués. Loin de ne s'adresser qu'aux initiés du genre, elle a le mérite de toucher un large public. Le parallèle entre la guerre des mondes de V et la 2nde guerre mondiale est complètement évident et les amateurs de ce genre de récits y trouvent aussi leur compte.
Autres détails qui ont aussi leur importance et ont contribué au succès de la série : - avec V, le cauchemar c'est ici et maintenant pas dans un futur lointain ni dans une station spatiale à la technologie avancée - avec V, pas de patriotisme à la noix ni de super-héros au jargon militaire et scientifique incompréhensible ; juste des gens ordinaires, avec leurs faiblesses et leurs qualités, dont la vie bascule, qui s'unissent pour survivre et résister à l'ennemi. - Enfin, des envahisseurs, méchants au possible, dont les comportements et réactions sont en fait incroyablement humains.
LES PERSONNAGES PRINCIPAUX :
DIANA :
De loin le personnage le plus immonde de la série (mais aussi l'un des plus intéressants). Commandant du vaisseau-mère de Los Angeles. Adepte des expériences médicales, de la manipulation et de la torture sous toutes ses formes, Diana affiche aussi une ambition militaire et une soif de pouvoir démesurées sans parler de son aversion pour la race humaine...
MICHAEL DONOVAN (Mike) et JULIET PARRISH (Julie) : Les personnages phares de la Résistance. Julie est l'antithèse de Diana : douce, toujours à l'écoute de son prochain, elle a la guerre en horreur. Néanmoins forte et déterminée, c'est elle qui va rassembler et organiser la résistance...
Quant à Mike, c'est le reporter par qui le scandale arrive ; il rejoindra la Résistance, preuves à l'appui, après avoir découvert le véritable visage et les intentions réelles des Visiteurs.
25 ans après, que reste-t-il de V, série culte des années 1980 ? Des soucoupes volantes de plusieurs kilomètres de diamètre apparaissant aux quatre coins du globe (imagerie reprise en 1996 par Roland Emmerich dans son Independence Day), des tirs de pistolet-laser (dont chacun coûtait à la production la modique somme de 1000 dollars), un faciès verdoyant de lézard, des yeux reptiliens rouge vif, une langue fourchue tout aussi serpentine ou encore une certaine Diana (Jane Badler) engloutissant d'un trait un bon gros cochon-dinde en guise d'amuse-gueule. Autant d'images chocs, kitch diront certains, qui ont marqué l'inconscient collectif. Pourtant, derrière le masque faussement humain qu'arborent les visiteurs se cache bien plus qu'une simple série de SF.
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Il convient en effet de rappeler qu'à l'origine, V devait raconter l'organisation de la résistance face à la montée d'un régime totalitaire aux États-Unis mais qu'en raison du succès planétaire d'un certain Star Wars (1977) et de sa suite, L'Empire contre-attaque (1980), la chaîne américaine NBC, commanditaire de la mini-série, demanda une réorientation science-fictionnesque (l'arrivée en fanfare d'un vaisseau visiteurs est d'ailleurs accompagnée du célébrissime thème musical de John Williams). Pour autant, le concept initial est demeuré bel et bien présent au sein du produit final et les nombreux parallèles entre le IIIe Reich emmené par Adolf Hitler et l'armada de Visiteurs ne laissent aucun doute : uniformes des officiers SS, croix gammée, extermination du peuple juif autant d'éléments directement transposés et à peine remaniés.
Mais là encore, par-delà ces images fortes qui ont marqué à jamais l'Histoire (avec un H majuscule), la grande force de V, celle qui lui confère définitivement son statut intemporel, réside dans son exposition de la montée en puissance d'un tel régime quelque soit le lieu ou l'époque.
1er et 2 mai 1983 : la mini-série V composée de 2 parties affole les compteurs d'audimat sur la chaîne NBC avec 80 millions de téléspectateurs. Des visiteurs venus de l'espace y débarquent sur la Planète Bleue porteur d'un espoir pour toute l'humanité : un remède contre le cancer. Là encore à grand renfort de désinformation, toute une communauté (les scientifiques) y est pointée du doigt comme la source de tous les maux, celle empêchant l'harmonie entre les peuples. Cette fois-ci, la forêt cachée derrière ce pantomime n'est rien moins que l'extermination pure et simple de la race humaine toute entière, reconvertie en garde-manger (les chambres de la mort nazies deviennent dans le cas présent de gigantesques réfrigérateurs humains). Le seul rempart face à pareille catastrophe : des groupuscules de résistants hétéroclites (une étudiante en médecine, un reporter un journaliste, une petite frappe de la rue, un archéologue) qui, avec les moyens du bord (tels des Panzers allemands les balles ricochent sur les Visiteurs), vont tenter d'endiguer l'hégémonie tout en éveillant la conscience populaire face à l'endoctrinement généralisé dès l'adolescence (les jeunesses hitlériennes deviennent les « amis des visiteurs »).
La chaîne américaine qui, face au succès rencontré par V, passa immédiatement commande d'une suite plus musclée ('arrivée d'un véritable Général Patton en la personne de Michael Ironside), triomphante (l'espèce humaine parvient à bouter l'envahisseur hors de sa Terre) et fantasque (la petite Elizabeth et sa « Force ») mais à l'arrivée très en deçà de son prédécesseur. Si la mini-série originelle était portée à bout de bras par un seul homme, Kenneth Jonhson (scénariste et réalisateur des deux parties), ce dernier se désolidarisera en effet totalement de cette suite, V : The Final Battle, en raison 'un désaccord total avec Warner Bros, détenteur des droits initiaux. Ceci explique donc cela.
Et que dire alors du grand portnawak de la série régulière diffusée dans la foulée dès la rentrée 1984 et qui reléguait la force-concept initiale au second voire au troisième rang pour ne conserver que l'magerie reptilienne (la naissance d'un visiteur dans un oeuf, les pouvoirs toujours plus farfelus d'Elizabeth) sur fond de glamour soap (le triangle amoureux Kyle - Elizabeth - Robin) tentant-là de surfer sur le triomphe du soap prime-time chez les concurrents (Dallas sur CBS et Dynasty sur ABC) ? Cette mayonnaise indigeste ne dura qu'un temps et la série fut annulée au bout de 19 épisodes sur un cliffhanger en forme d'harmonie possible entre les deux peuples.
25 ans après, V reste donc bel et bien un monument télévisé, un des rares capable de transcender les âges et le genre dans lequel il s'inscrit, en l'occurrence la SF. À condition de ne considérer que la mini-série originelle et de ne pas être trop regardant sur ses suites.
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(La série régulière de 19 épisodes à mon avis nettement moins bonne que les mini-séries)
01. Liberation Day / Le jour de la libération 02. Dreadnaught / Triax 03. Breakout / L'évasion 04. The Deception / Déception 05. Sanction / Sanction 06. Visitor's Choice / Le choix du visiteur 07. Showdown in Rawlinsville / Zoom 08. The Dissident / Dissident 09. A Reflection in Terror / Joyeux Noël 10. The Conversion / L'échange 11. The Hero / Le héros 12. The Betrayal / Traître 13. The Rescue / Le mariage 14. The Champion / Le champion 15. The Wildcats / Les couguars 16. The Littlest Dragon / Le parrain 17. War of Illusion / Dure bataille 18. The Secret Underground / Le volcan 19. The Return / Le retour 20. The Attack (jamais tourné)
ABC produit un remake pour la saison 2009/2010 ,en espérant qu'elle arrive a la cheville de son illustre ainé.
Publié par
ptitfute le 19/02/08 à 18:37 - Categorie :
Séries - Vu: 1968 fois
L'attente est de plus, en plus longue (bien que j'ai commencé la série récemment c'est vous dire ^^)mais la lumière et le bruit du TARDIS sont au bout du tunnel !! Voici donc quelques News sur la très attendu 4ieme saison de ce "Fantastic" Docteur !!!!
Des invités de luxe Quelques noms, et pas des moindres, viennent de se rajouter à la liste des guest-stars de la saison 4. On a appris effectivement la présence au générique des épisodes 8 et 9 de Colin Salmon, Steve Pemberton et Alex Kingston (alias Docteur Elizabeth Cordaydans Urgences) ! Dans un autre registre, Lesley Sharp, récompensée à de multiples reprises pour son rôle dans la série fantastique Afterlife, sera l'invitée d'honneur du 10ème épisode (provisoirement baptisé "Midnight"). Enfin, Chipo Chung devrait revenir dans Doctor Who à l'occasion du 11ème épisode dont le scénario est signé Russell T. Davies . Chung incarnait Chantho à la fin de la saison 3...
Promo au cinéma Le Doctor Who ne se refuse rien ! Après avoir fait la promotion de l'épisode de Noël ("Voyage of the Damned", avec Kylie Minogue) au cinéma, les producteurs de la série culte ont décidé de récidiver pour la saison 4. Des bandes annonces sont ainsi diffusées dans les salles obscures anglaises. Elles dévoilent des images du premier épisode, intitulé "Partners in crime".
Derrière la caméra Pour cette saison 4, Russell T. Davies s'est entouré de ce qui se fait de mieux ! Le créateur de la série refait équipe avec le créateur de la série Jekyll (actuellement sur Canal ) Steven Moffat, qui signera les scénarios du double épisode 8 et 9. Gareth Roberts, qui avait écrit l'épisode de la saison 3 "Peines d'amour gagnées", est de retour aux affaires pour "The Unicorn and the Wasp" (4.07), avec Felicity Jones (Cape Wrath) au générique. Quant au réalisateur Graeme Harper, un historique de la série (version originale et version 2005), il mettra en scène pas moins de 5 épisodes, dont l'épisode final. Et comme on n'est jamais aussi bien servi que par soi-même, Russell T. Davies a signé les scénarios de 5 épisodes (dont le Season Premiere et le double épisode final).
Le rendez-vous des fans Les 12 et 13 juillet, les fans de Doctor Who et de Torchwood se donnent rendez-vous à la convention Bad Wolf, qui aura lieu à Birmimgham. Conférences, séances d'autographes, stands, dîner privé... voilà the place to be pour tout fan qui se respecte ! Parmi les invités annoncés : Peter Davison (le Docteur n°5), Colin Baker (Docteur n°6), Chipo Chung (alias Chantho dans les saisons 3 et 4) ou encore Anthony Head (plus connu sous le nom de Giles dans Buffy contre les vampires, qui était apparu dans l'épisode de la saison 2 "L'école des retrouvailles"). Pour plus de détails, visitez le site officiel !
Reste à savoir désormais si, après une saison 3 au top des audiences (7,96 millions de téléspectateurs de moyenne, dont un pic historique à 13,3 millions pour l'épisode de Noël), la 4ème fera aussi bien voire mieux. Une mission périlleuse pour l'éternel Doctor Who...
Créateur : Alan Ball. Producteurs exécutifs : Alan Poul, Alan Ball, David Janollari, Robert Greenblatt. Année de création : 2001. Année de fin : 2005. Nombre de saisons : 5. Nombre d'épisodes : 63. Genre : drame. Titre VO : Six Feet Under. Titre VF : Six Pieds Sous Terre Pays d'origine : États-Unis. Durée moyenne d'un épisode : 44 min. Diffusion en France : Canal+,France2,Jimmy,France 4
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Musique : - Thème principal: Richard Marvin et Thomas Newman - Inspiration Information: Shuggie Otis - Bohemian Like You:Courtney Taylor-Taylor
Diffusée sur HBO aux Etats-Unis ,a été créée par Alan Ball le scénariste de l'excellent et décapant American Beauty en 2001. Il s'agit d'une série résolument anticonformiste qui brise plusieurs tabous. Le premier tabou est celui de la mort : l'action de la série se déroule dans une entreprise funéraire familiale, Fisher & Sons. Après la mort accidentelle du père, Nathaniel Fisher Senior, ce sont ses deux fils qui héritent de l'entreprise basée à Los Angeles. La disparition de Nathaniel va faire basculer l'existence de tout le reste de la famille. Nathaniel, le fils ainé, ayant fui le foyer familial très tôt, revient pour les obsèques de son père et ne repartira plus. Après avoir tant fui le climat austère et lugubre de sa maison, il reprend l'affaire avec son frère David, qui lui, s'est voué corps et âme à l'entreprise. La famille Fisher est donc à nouveau réunie au complet dans la même maison : Ruth, la veuve éplorée tiraillée entre la culpabilité et l'envie de continuer sa vie de femme (elle entretenait une liaison avec un coiffeur avant que son mari ne passe l'arme à gauche), Claire la cadette, âgée de 17 ans en pleine crise d'adolescence et existentielle, qui va au lycée dans son corbillard repeint en vert et raillée par l'ensemble de ses camarades. Quant à David, il est le fils "modèle" celui qui prend toutes les responsabilités et tente tant bien que mal de gérer Fisher & Sons, menacée par une chaine funéraire qui veut faire couler l'entreprise. Cependant, sous sa carapace d'homme fort, il tente de refouler son homosexualité en la vivant sporadiquement de façon clandestine. A ces personnages s'ajoutent Brenda, la petite amie de Nathaniel rencontrée dans le vol qui le menait à Los Angeles le jour de la mort de son père. Brenda est une fille plutôt fantasque et légère mais sous cette apparence bien des mystères demeurent...Quant à feu Nathaniel Fisher (Richard Jenkins), il vient régulièrement hanter les siens et demeure un personnage récurrent de la série, ponctuant les scènes de ses commentaires toujours sarcastiques.
Chaque épisode démarre par une scène où l'on assiste à la mort d'une personne qui sera "prise en main" par Rico, le "réparateur" de cadavres de la maison funéraire. On suit alors les évènements qui suivent la mort du personnage, son histoire personnelle et sa famille. Parallèlement, on suit les tourments et les interrogations de la famille Fisher. Là où l'anticonformisme est manifeste c'est dans le choix des victimes : on assiste à la mort d'un enfant de 6 ans ou bien celle d'un bébé (ce qui se fait rarement dans les autres séries), d'une ex-star du porno, etc... Tout cela étant montré sans l'ombre de voyeurisme, sans climat malsain.
Un des autres tabous brisé est celui de l'homosexualité, Alan Ball le scénariste, ouvertement gay, a décidé de montrer des scènes d'amour entre hommes très explicites. Comme il l'expliquait lors d'une interview d'Alain Carrazé (Canal Jimmy), contrairement aux autres séries où il y a le gay de "service " joyeux et épanoui, il a choisi de montrer l'indécision, les doutes, la culpabilité qui assaillent David tout au long de la série (ça s'arrangera par la suite), les difficultés à s'assumer en tant que tel.
Malgrès le contexte qui semble d'office lugubre et sinistre, la réussite de Six Feet Under réside sans doute dans son humour décapant et cynique. Car c'est une série très drôle : dans l'épisode pilote on assiste à des pubs hilarantes, ainsi on peut voir de belles filles présenter un corbillard à la manière du Juste Prix (sans Philippe Risoli, ouf !). On voit aussi une pub vantant les produits de maquillage pour les morts... Bref, c'est vraiment de l'humour noir.
Forte du bouche à oreille très élogieux à son égard, Six Feet Under, est très appréciée par le public et les critiques. La série s'est terminée en pleine gloire, dans un bouquet final absolument détonnant au terme de sa cinquième saison, donnant une sensation de finition plutôt que d'interruption. On se souviendra à jamais d'elle comme l'une des plus belles séries ayant eu comme sujet la mort.
Les personnages principaux
Ruth Fisher C'est la mère de la famille. Ruth est la veuve de Nathaniel Fisher, qui meurt dès le premier épisode de la série au volant du corbillard flambant neuf dont il venait de faire l'acquisition. C'est lors de l'enterrement de son mari qu'elle avoue même avoir eu une relation extra-conjuguale avec Hiram, un coiffeur. Elle parait strice et sévère mais elle est en fait très sensible et retient ses émotions. Interprété(e) par Frances Conroy. Doublé(e) par Anne Rochant, Anne Rochant.
Nate Fisher Nate est le fils ainé rebel de Nathaniel Fisher. Il est bouleversé lorsqu'il apprend la terrible nouvelle. Agé d'une trentaine d'années, d'un caractère très indépendant, il ne vit plus dans le cocon familial au moment où son père décède. Il va finalement prendre conscience lors des premières épisodes de sa mission et va s'occuper de l'entreprise famiale avec David. Il a une relation très sérieuse avec Brenda. Interprété(e) par Peter Krause. Doublé(e) par Guillaume Orsat, Guillaume Orsat.
David Fisher C'est le fils dévoué de la famille. Il s'occupe de l'entreprise. C'est un personnage introverti qui ne montre par ses sentiments, tout comme la plupart des membres de la famille, sauf Nate. Il est homosexuel et le cache à sa famille. Au fil de la première saison, il va prendre de l'assurance et s'assumer. Il a une relation avec Keith, un policier très actif au sein des origanisations gay, au début de la saison 1. Ce dernier est un personnage récurrent de la série. Interprété(e) par Michael C. Hall. Doublé(e) par Maïk Darah.
Claire Fisher C'est la fille cadette de la famille. Elle ne supporte pas sa famille et en veut à son père d'être mort, ce qu'elle interprète comme une forme d'abandon. Du coup, elle noie son chagrin dans quelques erreurs de jeunesse telles que la drogue et l'alcool. Au sein de la famille, Claire se sent plus proche de son frère Nate.Ainsi, lorsque son petit ami Gabe aura de gros problèmes, elle sera la seule a ne pas le laisser tomber... C'est une fille fragile, sensible mais pas totalement fermée, puisqu'elle reste ouverte au dialogue. Interprété(e) par Lauren Ambrose. Doublé(e) par Barbara Kelsch, Barbara Kelsch.
Brenda Chenowith C'est l'amie de Nate. Brenda est une jeune femme que Nate rencontre dans l'avion qui le ramène à Los Angeles, juste avant le décès de son père. Brenda et Nate sont d'ailleurs en train de faire l'amour dans les toilettes de l'aéroport lorsque celui-ci apprend par téléphone la sinistre nouvelle. Uniquement sexuelle au début, la relation que Brenda entretient avec l'aîné des Fisher devient de plus en plus sérieuse au fur et à mesure de la saison. Brenda est une personne intelligente, volontaire et altruiste. Elle est un véritable soutien pour Nate. Mais elle a aussi de nombreux problèmes dans sa famille, notamment avec ses parents psychiatres et son frère maniaco-depressif. Interprété(e) par Rachel Griffiths. Doublé(e) par Anne Massoteau, Anne Massoteau.
Keith Charles Keith est policier, il est le petit ami de David, il assume pleinement son homosexualité et reproche régulièrement à David de ne pas s'assumer suffisament avec lui. Interprété(e) par Mathew St Patrick. Doublé(e) par Jean-Louis Faure, Jean-Louis Faure.
Billy Chenowith[Saison 1 ; récurrent ensuite] Frère de Brenda, c'est un photographe, qui est maniaco-depressif. S'il n'ose pas l'avouer, il a des sentiments pour sa soeur. Interprété(e) par Jeremy Sisto. Doublé(e) par Maurice Decoster.
Vanessa Diaz [Saisons 3 à 5 ; récurrent auparavant] Vanessa est la femme de Federico. Ils se sont mariés très jeunes et ont deux enfants. Vanessa est aide soignante. Interprété(e) par Justina Machado.
George Sibley [Saisons 4 et 5] George va tomber amoureux de Ruth qu'il va très rapidement épouser. Trop rapidement peut-être, pour celui qui a déjà plusieurs épouses. Interprété(e) par James Cromwell. Doublé(e) par Michel Ruhl, Michel Ruhl.
Lisa Kimmel Fisher [Saison 3 ; récurrente autrement] Lisa est la femme de Nate, qu'il va épouser quand Lisa lui annoncera qu'elle a eu une fille de lui, Maya. Interprété(e) par Lili Taylor. Doublé(e) par Brigitte Berges.
Federico Diaz Federico est marié à Vanessa et a eu deux fils avec elle. Pris sous l'aile de Nathaniel Sr, Federico a appris le métier et sait comme personne rénover un corps très abimé. Au fil des saisons, Federico va vouloir et devenir associé aux frères Fisher. Interprété(e) par Freddy Rodríguez .
Les personnages secondaires
Gabriel Dimas [Saison 1; récurrent ensuite] Petit ami de Claire, c'est un jeune homme qui a beaucoup de problèmes, notamment dans sa famille. interprété(e) par Eric Balfour.
Nathaniel Fisher Chef de la famille Fisher, c'est lui qui était responsable de l'entreprise des pompes funèbres. Même s'il meurt durant le premier épisode, Nathaniel réapparaît régulièrement dans l'imaginaire de ses proches, surtout son fils aîné Nate. interprété(e) par Richard Jenkins.
Créateur : Russell T. Davies Producteurs exécutifs : Russell T. Davies, Julie Gardner, Richard Stokes Année de création : 2006 Nombre de saisons (actuellement) : 2 Nombre d'épisodes par Saisons : 13 Genre : SF/fantastique/Horreur Titre VO : Torchwood Pays d'origine : Royaume-Uni Durée moyenne d'un épisode : 45 min Diffusion: BBC Two Diffusion en France : NRJ12
Après avoir échappé de peu à la mort, la Reine Victoria ordonna la fondation d'une organisation secrète pour lutter contre le surnaturel. Jack Harkness, (John Barrowman), ex agent spatio-temporel du 51ème siècle, ex-pirate, est parvenu à regagner la Terre du 21ème siècle. Il rejoint l'institut Torchwood et fonde sa propre équipe pour récupérer les technologies extraterrestres et faire face aux éventuelles menaces surnaturelles.
Après le succès formidable de son nouveau Doctor Who, Russel T. Davies a décroché auprès de la BBC 3 le budget pour tourner les 13 premiers épisodes d'une série dérivée de Doctor Who, et faire revenir le très populaire agent spatio-temporel Jack Harkness, abandonné dans le futur à la fin de la première saison du nouveau Doctor Who. Durant tous les épisodes de la seconde saison de Doctor Who, l'institut Torchwood a été énigmatiquement cité, puis ultimement massacré.
Au programme, une série d'enquêtes policières surnaturelles assez glauques, plutôt bien menées, avec une dose d'humour un peu difficile à apprécier - car, soyons franc, il s'agit bien d'une série horrifique. Torchwood est encore une fois à saluer compte tenu de la masse des séries fantastiques médiocres et sans imagination, mais pendant la majorité des épisodes, ne permet que d'entrevoir par intermittence le formidable divertissement que l'on attendait après la première saison de Doctor Who, et l'arrivée de ce Capitaine Jack du futur.
Ce n'est qu'a de la deuxieme moitier de la saison que le cocktail aventure + scénario sf / fantastique digne de ce nom est de retour, avec un personnage principal enfin "conforme à sa légende".
Les personnages de la série :
Jack Harkness (John Barrowman)
Gwen Cooper (Eve Myles)
Owen Harper (Burn Gorman)
Toshiko Sato (Naoko Mori)
Ianto Jones(Gareth David-Lloyd)
Guide des épisodes de la première saison :
Guide des épisodes de la saison 2 :
Episode 1 : Kiss Kiss, Bang Bang 16 January 2008[2] Episode 2 : Sleeper 23 January 2008 Episode 3 : To the Last Man 30 January 2008 Episode 4 : Meat 6 February 2008 Episode 5 : Adam 13 February 2008 Episode 6 : Reset 20 February 2008
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ptitfute le 09/01/08 à 14:37 - Categorie :
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SUBLIME
Voici une Ptite présentation d'un groupe géniale chère a mon "coeur" mais mal connue dans nos contrés !!
Sublime était un groupe américain de Long Beach, en Californie. Il fut actif de 1988 à 1996.
Le mélange subtil des genres (tels que le reggae, ska, hip-hop, dub, et punk-rock), l'humour et le décalage des textes mais aussi la fantaisie des reprises en font l'un des groupes les plus influents de la scène californienne des années 1990. Sublime a reçu une étoile sur le Hollywood Walk of Fame.
De parents musiciens, Bradley Nowell naît le 22 février 1968 à Long Beach, Californie. Il découvre la musique folk avec son père et ses oncles et fera ainsi ses premiers pas à la guitare et au chant. Ses parents divorcent lorsqu'il a dix ans et il part vivre à Orange, Californie, avec sa mère. Il revient s'installer avec son père à Long Beach en 1981.
Dans les années 1980, la ville offre une grande diversité de population ethnique et est aussi le lieu de rendez-vous de cultures indépendantes, comme le surf , le punk et le hip-hop. Bradley ne s'intéresse pas particulièrement à l'école, il est diagnostiqué souffrant d'ADD ou «trouble déficitaire de l'attention» et un traitement à la ritalin lui est prescrit. Il découvre le reggae lors d'un voyage avec son père (Virgin Islands) et cette musique devient très vite une véritable passion pour le jeune guitariste.
Il forme dès l'âge de 13 ans son premier groupe, Hogan’s Heroes. C'est ainsi que tout au long de ses années, il distille ses influences dans une musique originale et passionnée. Après un court passage à l'université, il abandonne ses études et décide de se consacrer pleinement à sa musique. En 1988, il forme le groupe Sublime avec Bud Gaugh et Eric Wilson, qu'il a rencontré sur les bancs de l'université de Californie à Santa Cruz et à Long Beach, Californie. Sublime se produit fréquemment sur le campus et devient de plus en plus connu.
En 1989, Bradley Nowell et Micheal Happoldt fondent le label indépendant « Skunk Records », et en 1991 ils enregistrent en studio leur première cassette démo : Jah Won’t Pay the Bills. Alors que le groupe s'apprête à partir en tournée, Bud Gaugh décide de suivre une cure de désintoxication car il souffre d’un problème de drogue et Kelly Vargas le remplace temporairement. En 1992, Sublime se concentre sur un album studio : 40 Oz. To Freedom qui s'écoule à 60 000 exemplaires et le groupe voit sa notoriété grandir en Californie du Sud. N'arrivant pas à obtenir un contrat avec une maison de disques, Bradley Nowell s'essaye à l'héroïne, il explique que cela l'aide dans sa créativité artistique. En 1994, le groupe sort avec Robbin' The Hood un album expérimental et riche d'influences. C'est, paradoxalement, l'album le plus représentatif et énigmatique de la musique de Sublime. Malgré l'attention des maisons de disques et un succès grandissant, les problèmes de drogues de Bradley Nowell ne s'estompent pas et il consomme marijuana et héroïne. Après de nombreux passages à la radio, le label MCA Records propose enfin une édition nationale de l'album 40 Oz. To Freedom.
En février 1996, Sublime entre au « Willie Nelson’s Pedermales Studio » à Austin, Texas. Ils enregistrent leur premier album avec MCA Records, qui devait porter le nom « Killin’ It » ; la production est assurée par Paul Leary (le producteur de Marcy Playground et des Meat Puppets). Bradley Nowell se marie avec Troy Dendeker le 18 mai 1996, avec qui il a eu un enfant l'année précédente, Jakob James Nowell.
Malgré plusieurs tentatives de désintoxication, Bradley n'arrive pas à vaincre sa dépendance à l'héroïne.
En préparation d'une tournée européenne prévue pour l'été 1996, le groupe part sur les routes de Californie pour cinq dates. Après un concert à Petaluma, Californie, Bradley Nowell est retrouvé mort dans sa chambre d'hôtel par Bud Gaugh, à la suite d’une overdose d’héroïne. Il avait 28 ans. Il est incinéré, ses cendres sont déversées sur son spot de surf favori et une pierre tombale est érigée au Memorial de Westminster, Californie. Le 30 juillet 1996 sort l’album « Killin’ It » , mais il est finalement intitulé « Sublime ». C'est un véritable phénomène au États-Unis où il se vend à plus de 5 millions d’exemplaires, ce sera le plus gros succès rock de l'année 1997.
Eric et Bud forment par la suite le groupe Long Beach Dub All Stars avec d'autres artistes de Long Beach.
Membres :
* Bradley Nowell - chant, guitare * Eric Wilson - basse * Bud Gaugh - batterie
Discographie :
* Jah Won't Pay The Bills (cassette démo, 1991) * 40oz. To Freedom (1992) * Robbin' The Hood (1994) * Sublime (1996) * Second-hand Smoke (album posthume composé d'inédits et de faces B, 1997) * Stand By Your Van (album live, 1998) * Acoustic - Bradley Nowell & Friends (album acoustique, 1998) * Greatest hits (compilation, 1998) * 20th Century Masters : The Millennium collection (compilation, 2002) * Gold (compilation, 2005)
Né dans le Maryland, Frank Miller grandit à Montpelier dans le Vermont. Il découvre très tôt sa vocation de dessinateur de BD. Surdoué, il part à New York à 19 ans, en 1976 et est très vite engagé comme dessinateur chez Marvel Comics puis DC Comics, les deux plus prestigieux éditeurs de comic books américains.
Il fut "le pére" de Daredevil, série dont il ne tarda pas à devenir aussi le scénariste. Le passage de Miller sur Daredevil fut salué par le public et par la critique. Il créa le personnage d'Elektra et mit en place de nombreux éléments dans l'univers de l'homme sans peur que l'on peut retrouver, entre autres, dans le film de 2003. L'époque Miller de "Daredevil" dura le temps de 42 épisodes qui redéfinirent radicalement non seulement le personnage mais l'ensemble de la production Comics des années 1980. Le summum étant atteint par le cycle "Renaissance" (Born Again) écrit par Miller et dessiné par David Mazzucchelli en 1985.
On explique souvent le choc que représenta le travail de Frank Miller sur Daredevil par la maturité du scénario. Il est vrai qu'avec Miller, Daredevil changea d'univers. Son histoire avec la Veuve Noire, qui fut l'un des points culminants de ses aventures dans les années soixante-dix n'en finissait plus de s'étirer, et l'arrivée de personnages nouveaux fut de ce point de vue une vraie bouffée d'air pur.
Il a 29 ans quand il crée The Dark Knight Returns où il imagine un Batman vieillissant et psychopathe. Il dit d'ailleurs s'être inspiré de sa propose crise de la trentaine pour imaginer cet ouvrage. Son univers noir, cynique et violent se met déjà en place. Marqué par les films noirs américains, et l'expressionnisme, il invente un graphisme inédit et brutal. Le succès est au rendez vous. Il écrit et dessine très vite la suite : The Dark Knight Strikes Again.
En plus de travailler sur les personnages des grandes compagnies de comics, Miller a créé ses propres séries : les séries de science-fiction Ronin, Martha Washington avec Dave Gibbons et Big Guy And Rusty The Boy Robot et Hard Boiled avec Geoff Darrow, les séries de l'univers roman noir de Sin City ou la série historique 300.
Frank Miller a aussi écrit quelques scénarios pour le cinéma, en particulier ceux de Robocop 2 et 3. Il a co-réalisé avec Robert Rodríguez l'adaptation grand écran de Sin City en 2005. Il prépare actuellement Sin City 2 pour le cinéma.
En 2005, il lance sous le nouveau label All-Star de DC, la série All-Star Batman and Robin The Boy Wonder, dessinée par Jim Lee, mettant en scène la formation de Robin par Batman. Bien que située en dehors de la continuité officielle du personnage, elle s'intègre selon ses propres dires dans le cadre des aventures de Batman qu'il a écrites, en suite à Batman : Année Une, un arc de la série Batman (#404-407, 1987) illustré par David Mazzucchelli traitant des débuts de Batman.
Mais les qualités graphiques de Miller vont aussi avoir une importance considérable dans ce succès. Très rapidement, le trait perd la lourdeur d'à peu près tous les comics de l'époque. Le cadrage et la mise en scène des corps sont en rupture de façon plus marquante encore. Ce renouveau graphique est en partie l'effet de l'influence que le manga a exercé sur Miller. Le découpage, qui confère aux mouvements une lisibilité inconnue, ou les angles de vue sont marqués par cet héritage du manga. De manière évidente, l'introduction d'un grand nombre d'éléments japonisants (la secte ninja "la Main", les saïs d'Electra,etc.) montre l'attachement que Miller éprouve pour la culture japonaise. La série Kozure okami de Kazuo Koike et Goseki Kojima a tout particulièrement marqué Miller, dont le Ronin peut être vu en partie comme un hommage. Il contribuera fortement à sa publication aux États-Unis sous le nom de Lone Wolf & Cub (il a d'ailleurs dessiné les couvertures de l'édition américaine, reprises dans l'édition française).
La série Sin City prouve de manière éclatante la qualité graphique du travail de Miller. Entièrement réalisé en noir et blanc (à l'exception de l'utilisation occasionnelle du jaune, du bleu et du rouge, chacun dans un volume différent), Sin City est d'une ambition formelle extraordinaire. La série est récompensée par 4 Will Eisner Award et Frank Miller reçoit pour le premier, en 1993, le prix du "Meilleur dessinateur/encreur pour une publication en noir et blanc", ainsi que celui du "Meilleur scénariste/dessinateur".
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ptitfute le 03/09/07 à 00:58 - Categorie :
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Affiche teaser du Comic Con 2007
Pour Le Comics :
Watchmen (initialement publié en France sous le titre Les Gardiens) est une série de bande dessinée assimilable au genre comic bien qu'elle soit considérée comme un « roman graphique » (graphic novel) dans les pays anglo-saxons où la bande dessinée pour adultes n'a pas la même reconnaissance qu'en France. * Scénario : Alan Moore * Dessins : Dave Gibbons Cette série a été éditée par DC Comics à partir de 1986. Elle a obtenu un franc succès, qui s'est traduit par l'obtention du prix Hugo, décerné pour la première fois à une bande dessinée, ainsi que par le prix du meilleur album étranger au festival d'Angoulême en 1989. Elle a par ailleurs été classée par le journal américain Time parmi les 100 meilleurs romans en langue anglaise depuis 1923.
L'histoire des Watchmen se déroule en 1985, dans une réalité alternative où des super-héros ayant cessé leur activité de justiciers semblent disparaître un à un, alors que la troisième guerre mondiale menace d'éclater à tout moment. Dans cette uchronie, l'apparition en 1959 du Dr Manhattan, un surhomme doté de pouvoirs en faisant presque l'égal d'un dieu, a modifié l'histoire que nous connaissons : les États-Unis ont gagné la guerre du Viêt Nam, le scandale du Watergate a été étouffé et Richard Nixon est toujours président en 1985. L'album est entrecoupé de plusieurs pages de documents écrits issus de l'univers des Watchmen. Articles de journaux, longs passages du journal intime de l'un des personnages, ces documents ne servent pas directement l'intrigue du récit mais permettent de donner une profondeur à l'univers des Watchmen.
Pour le Film Maintenant :
Zack Snyder (300) réalise cette adaptation pour le grand écran basé sur un Comic Book en 12 volumes créé par Alan Moore et Dave Gibbons. L’histoire tourne autour d’une conspiration de crime qui sera la première vision réaliste des coulisses de la vie d’un super-héros. Larry Gordon et Lloyd Levin produisent. Le tournage devrait débuter cet automne à Vancouver.
Le Cast :
Walter Kovacs / Rorschach : Jackie Earle Haley Adrian Veidt / Ozymandias : Matthew Goode Dr Manhattan : Billy Crudup Laurie Juspeczyk / Le Spectre Soyeux : Malin Akerman Le Hibou : Patrick Wilson Le Comédien : Jeffrey Dean Morgan Sally Jupiter : Carla Gugino
Carla Gugino est le spectre
D’après le Hollywood Reporter, Carla Gugino aurait rejoint la distribution de Watchmen, le film adapté de la BD d’Alan Moore, pour jouer Sally Jupiter alias The Silk Spectre. Elle rejoint Patrick Wilson, Jackie Earle Haley, Matthew Goode, Billy Crudup, Jeffrey Dean Morgan et Malin Akerman dans le film dont l’histoire se situe dans une Amérique alternative qui a banni par une loi les combattants du crime masqués. Lorsque l’un d’eux est tué, les membres restants sortent pour résoudre le mystère.
Sally Jupiter ex-super héroïne et mère de Laurie Jupiter (The Silk Spectre II interprétée par Malin Ackerman), qui appartenait aux Minutemen, un groupe de héros qui a précédé les Watchmen. Gugino interprétera son personnage à plusieurs époques tout au long du film.
Qui jouera Rorschach ?
L’acteur Paddy Considine qui était censé jouer le rôle de Rorschach, le vigil masqué dans Watchmen du temps où Paul Greengrass était attaché à réaliser le projet a révélé sur son site officiel que la Warner Bros était maintenant passé à Jackie Earle Haley pour le rôle titre.
Haley a reçu une nomination aux oscars pour son rôle dans Little Children. Il a récemment joué dans Les Fous du Roi (de Steven Zaillian) mais aussi dans les films Bad News Bears dans les années 70.
Le reste du casting a été confirmé par Warner. Billy Crudup va jouer Dr. Manhattan, Malin Akerman sera Laurie Juspeczyk/the Silk Spectre, Matthew Goode interpretera Adrian Veidt/Ozymandias, Patrick Wilson sera Nite-Owl, et enfin Jeffrey Dean Morgan (Grey’s anatomy) jouera the Comedian.
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ptitfute le 29/08/07 à 19:51 - Categorie :
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Le journal The Los Angeles Times a fait une mise au point suite à une annonce qui avait été faite à la convention Comic-Con et qui portait sur le fait que Edward Norton avait réécrit le scénario de The Incredible Hulk :
Dans le cas de Hulk, et après qu’une nouvelle version du scénario ait été refusé par le Studio début 2006, Marvel a engagé Zak Penn pour écrire 3 scénarii sur une année. Au printemps 2007, alors que Penn était en promotion pour son film The Grand, le studio et Louis Letterrier (Transporter 1 et 2) ont décidé que le scénario de Hulk avait encore besoin d’un peu de boulot.
Quand Edward Norton a rejoint l’équipe pour jouer le Docteur Banner début avril, le film avait déjà reçu le feu vert et la production devait commencer 3 mois plus tard. Il est connu que Norton a une grande expérience dans l’écriture et des idées assez fortes pour séparer ce film de la version d’Ang Lee en 2003. Le contrat de Norton incluait donc non seulement le paiement de sa prestation d’acteur, mais aussi la rémunération pour la réécriture du scénario.
Pendant ce temps, Zak Penn était à l’écriture d’un scénario pour les Vengeurs et un potentiel Spin-off des X-Men.
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ptitfute le 18/08/07 à 19:19 - Categorie :
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D’après Variety, c’est David Goyer qui dirigera Magneto, le film spinoff d’X-Men qui sera centré sur le méchant joué par Ian McKellen pour la 20th Century Fox et les studios Marvel.
Magneto est le second spinoff d’X-Men à être mis en chantier, le premier étant Wolverine.
Glover doit développer le script de Magneto écrit par Sheldon Turner.
La participation de McKellen dans Magneto sera probablement très limitée puisque le film va parler de ses origines. Dans l’histoire des films X-men c’est lors de son entrée à Auschwitz avec ses parents qu’il se rends compte qu’il a ce don de mutant de manipuler les objets en métal. Magneto rencontre ensuite le professeur Xavier (le mutant en chaise roulante joué par Patrick Stewart) lorsque celui-ci fait parti des soldats qui libèrent le camps de concentration.
Magneto aiguise ses pouvoirs en traquant les criminels de guerre Nazis qui l’avaient torturés. C’est sa soif de vengeance qui a fait que Magneto et Xavier sont devenus ennemis. Les deux personnages seront joués par de acteurs ayant environ 20 ans.
Goyer qui a réalisé Blade Trinity et dont le nouveau film The Invisible est sorti aux USA le 27 avril (en france le 18 Juillet 2007) a écrit les films Blade pour la Marvel et Batman Begins pour la Warner Brothers.