Chargement en cours...
Wait
Veuillez patienter
L'opération demandée semble prendre trop de temps.
Attendre 30 secondes de plus   Recharger la page
wait
Connexion
X
Email OU nom d'utilisateur :
Mot de passe :
Se connecter via Google
Créer un compte
Mot de passe oublié ?
Mail d'activation
Langue :
Blog de Alconis
Avatar
RSS Alconis
0.7364

Blog vu 61810 fois
  Pages : 12  Page suivante Page suivante
+6.63
Publié par Alconis le 17/12/09 à 19:09   -   Categorie : Séries  -   Vu: 3061 fois
Au cas où vous vous demanderiez : évidemment, j'ai honte ;)

 [x]
+19.92
Publié par Alconis le 03/07/09 à 09:08   -   Categorie : Séries  -   Vu: 12452 fois
 [x]


Article originel : http://alconis.com/dotclear/index.php?2009/07/03/321-decouvrez-the-philanthropist

* Genre : Drama
* Diffusé l'été sur NBC, au format 45 mn
* Première diffusion : 24 juin 2009.

Synopsis
Teddy Rist aime les femmes, l'argent et le pouvoir. Depuis qu'il a sauvé un jeune garçon lors d'un ouragan au Nigéria, ce millionnaire un peu rebelle a trouvé un moyen d'exorciser ses démons suite à la mort de son fils. Il utilise tous les moyens à sa portée pour venir en aide aux gens dans le besoin. Le risque inhérent à ses activités lui importe peu... (© Allociné)

Evaluation
 [x] Un pur régal que ce pilot. Allez-y les yeux fermés. Une série très prometteuse comme on n'en a pas vu depuis longtemps avec un excellent James Purefoy en personnage principal, plus séducteur et charismatique que jamais. J'adore !


Avis détaillé
Aaaaaaah ! Enfin, un bon gros coup de cœur pour une série. Je vous avoue que j'aurais attendu pas mal de temps qu'une série me plaise autant. The Philanthropist (un philanthrope est une personne qui aime profondément l'humanité et croit en sa bonté naturelle) est un potentiel hit si la série trouve son public. Dommage que ce ne soit qu'une série estivale car je l'aurais bien suivie chaque semaine pendant 24 épisodes, plutôt que les 8 commandés par NBC pour le moment. Bon, alors que dire. Plein de choses !

Le pitch de la série attire tout de suite l'œil. Un séducteur milliardaire, co-CEO d'une grosse firme d'exploitation de ressources naturelles à travers le monde, prend conscience qu'il peut faire le bien autour de lui en se servant de ses armes : son fric, son caractère et surtout son charme. Ça laisse un beau champs libre pour les scénaristes. On verra dans les épisodes suivants, mais l'histoire du ''pilot'' est rondement menée et bien ficelée sans être trop compliquée ni prise de tête. C'est simple, efficace et on en redemande.

Les paysages africains sont de toutes beautés. La réalisation est énergique et rythmée. Si la direction de la série est de faire voyager notre bellâtre, ça promet. L'action a une place de choix et est soulignée tout du long par une remarquable bande sonore aux rythmes de percussions africaines. L'ambiance générale de la série est vraiment plaisante et on ne s'ennuie jamais. Pas de passage inutiles ou de temps morts. 44 minutes pleines de bonheur pour la tête.

Dans le pilot de la série, on fait connaissance avec notre beau milliardaire, joué par James Purefoy, qui n'est autre que le Marc-Antoine de la série Rome. Autant dire mesdames et mesdemoiselles que je confirme : c'est un beau gosse. Mais pas seulement. Il n'a plus un rôle de méchant, ici. Son nouveau rôle de philanthrope lui va comme un gant ! Très beau casting. Bon, il aurait un peu forci depuis Rome, mais bon, il est milliardaire maintenant, il mange à sa faim. Les seconds rôles ne sont pas en reste, bien au contraire. Ainsi on retrouve Neve Campbell dans le rôle d'Olivia, la femme de Philip Maidstone (Jesse L. Martin), co-CEO de Maidstone-Rist. On a aussi la petite assistante toute mignonne mais un peu potiche dans le pilot jouée par Lindy Booth (October Road, The 4400). Un homme de main, une docteur qui veut sauver un petit village africain en prise avec le choléra, une jolie serveuse. Tout ceci nous donne une petite équipe cohérente où chacun à sa place et son mot à dire. Mais la série est vraiment centrée sur le personnage de Purefoy, tout en charisme et en classe.

Bref, les amis, ça sent le carton de l'été. The Philanthropist arrive à point nommé dans un monde des séries en mal de vrai succès depuis un moment maintenant. Elle vous réconciliera avec les séries américaines si, comme moi, vous aviez perdu espoir depuis quelques années. Espérons que la dure loi de l'audimat outre atlantique aura pitié de cette série rythmée et tenue de mains de maître par un James Purefoy plus charismatique que jamais. J'ai adoré ce premier épisode et je regarderai avec plaisir le suivant... mais... le 1x02 est arrivé de chez mon Oncle Sam ce matin. Je dois vous laisser ! Bisouuuuuuuuuuus...

Et vous, qu'en avez-vous pensé ?
+28.67
Publié par Alconis le 16/06/09 à 11:17   -   Categorie : Traduction et Sous-titrage  -   Vu: 7637 fois
Source : http://www.serieslive.com/news-9994-m6-se-met-a-la-version-multilingue.html

M6 vient d'annoncer par communiqué qu'elle propose dès aujourd'hui la Version Multilingue sur la plupart de ses téléfilms, films et séries.

Concrètement, cela donne la possibilité au téléspectateur de choisir son canal audio (VF ou VO) et la possibilité d'ajouter des sous-titres en français. Les programmes auxquels sera appliqué le système dépend des droits acquis par la chaîne. M6 rejoint TF1 et Canal +, entre-autre, qui proposent déjà cette technologie pour certains programmes.

Cette nouvelle fonctionnalité gratuite est disponible sur les réseaux numériques (câble, satellite, ADSL et TNT) pour M6 en SD et HD. Retrouvez par exemple le mardi 23 juin, en version originale sous-titrée (ou toujours en VF) la saison 4 inédite de Desperate Housewives suivie de la saison 5 inédite de Nip/Tuck.

M6 souligne que "ce développement illustre la préoccupation permanente de la chaîne d'améliorer la qualité du service offert à son public".


C'est une très bonne nouvelle, pour les fans de séries !
Personnellement, c'est l'une des choses qui m'ont poussé à me lancer dans le sous-titrage : l'absence de pouvoir choisir de regarder ma série préférée non édulcorée par une adaptation bancale.

Reste plus qu'à universaliser la pratique (je sais que TF1 le faisait déjà mais pour de rares séries), enlever/modifier la censure française et à adopter des modes de diffusion normaux et je me remettrais bientôt à regarder mes séries à la télé.
+15.29
Publié par Alconis le 09/06/09 à 15:37   -   Categorie : Séries  -   Vu: 1711 fois
 [x]


Article originel : http://www.alconis.com/dotclear/index.php?2009/06/09/317-decouvrez-hope-springs

* Genre : Drama
* Diffusé l'été sur BBC One, au format 60 mn
* Première diffusion : 7 juin 2009

Synopsis

L'histoire de quatre anglaises sortant de prison qui, au lieu de se retrouver à l'abri du besoin aux Barbades, sont forcées de se cacher au fin fond de la campagne écossaise. Et les habitants d'Hope Springs semblent avoir pas mal d'histoires à cacher...

Evaluation

 [x] Hope Springs est une série tout à fait divertissante à la sauce anglaise. On se laisse bien volontiers embarquer dans les aventures en pays écossais des 4 filles ''so british'' sorties tout droit de prison. On ne se sent pas vraiment concerné en tant que français, mais on adore être spectateur.

Début du pilot :

Début du pilot
Un groupe de 5 amies, anciennes détenues, décident, à leur sortie de prison, de faire un dernier coup afin de pouvoir s'exiler aux Barbades avec l'argent obtenu. Leur plan consiste à arnaquer un gang dans lequel la chef du groupe s'était infiltrer. Mais manque de chance, alors que leurs vacances étaient à portée d'avion, la responsable des faux passeports a un infarctus et tombe raide morte à l'aéroport. Les 4 autres, pourchassées par le gang qui s'est rendu compte du subterfuge, doivent fuir le pays le temps de refaire des faux passeports. Le premier train qu'elles trouvent a pour destination l'Écosse et plus particulièrement un trou perdu nommé Hope Springs. Le groupe de 4, bourré d'argent, va devoir se faire une place et se faire oublier dans un petit village perdu qui est loin d'être aussi tranquille que les plages dont elles rêvaient.


Avis détaillé

Après le visionage du pilot de Hope Springs, le doute n'est plus permis : c'est bien une série anglaise ! On y retrouve bien entendu ce qu'on aime dans les séries d'outre-manche : l'accent so british, l'humour anglais, la liberté de ton et la qualité de production de la série. Mais avec Hope Springs, on découvre une chose nouvelle : le choc des cultures anglaise et écossaise. Car c'est l'un des gros thèmes de l'histoire de cette série fort sympathique. Je ne vais pas trop dévoiler l'histoire pour que ne gâcher le plaisir de personne mais je peux vous dire que le scénario me parait bien épais et bien ficeler à base d'arnaque, de casse de banque, de meurtre non résolu, de jalousie amoureuse, d'héritage espéré et desseins personnels. Le tout dans une ambiance légère et un rythme plaisant à suivre.

Venons-en aux acteurs, ou plutôt aux actrices, puisque notre quatuor de personnages principaux sont des femmes ayant chacune ses spécificités. On a Ellie, la chef du groupe, blonde séduisante et intelligente au caractère trempé. On a ensuite Shoo, la blonde maigrichonne et aguicheuse qui dit ce qu'elle pense sans jamais y réfléchir. On a après la ''black'' ravie de plus être en prison et qui suit gentiment le groupe. Enfin, la brune ''old-school'' effrayée par les germes et la saleté vient compléter le groupe de citadine anglaises perdues dans la campagne écossaise profonde (Ahahaha "Sorry, I don't speak Gaelic."). Les actrices jouent juste (sauf la black par moment, mais rien de grave) et se complètent bien. Viennent se rajouter à tout ce beau monde, les habitants de Hope Springs qui ont l'air d'avoir pas mal de petites histoires à cacher eux aussi. Mais chuuuuuuuut !

Pour ce qui est de la technique, on retrouve la qualité des productions anglaises. Avec un petit plus pour la musique pour les scènes écossaises. Attention rappelez-vous, un épisode d'une série de la BCC dure 56 minutes, donc préparez-vous avant de regarder un épisode.

Au final, après un épisode regardé, Hope Springs c'est une comédie dramatique anglaise par et pour les anglais. On l'impression d'être un américain regardant "Bienvenue chez les Ch'tis" avec les écossais en guise de Ch'tis. Mais c'est très divertissant à suivre. Le scénario promet de bien beaux épisodes servis par un quatuor de filles pétillantes à souhait. Une bonne série à suivre pour goûter à la qualité ''made in England'', si ce n'est pas encore fait.

Et vous, qu'en avez-vous pensé ?
+20.46
Publié par Alconis le 08/06/09 à 09:53   -   Categorie : Présentations de séries  -   Vu: 11683 fois
 [x]


Article originel : http://www.alconis.com/dotclear/index.php?2009/06/06/316-decouvrez-royal-pains

* Genre : Drama médical
* Diffusé l'été sur USA Networks, au format 42 mn
* Première diffusion : 4 juin 2009.

Synopsis

Hank Lawson est un jeune docteur à qui tout sourit : sa carrière est florissante, sa petite amie est magnifique et son appartement new-yorkais est fastueux... Mais, après avoir pris une décision difficile aux Urgences, il perd tout. Quelques mois plus tard, un Hank célibataire et sur la liste noire de tous les hôpitaux se rend dans les Hamptons avec son frère. Lors d'une soirée, il sauve la vie d'un des invités. Après cette intervention, sa carrière reprend soudainement mais pas vraiment comme il s'y attendait. Le voilà devenu le médecin particulier, l'accessoire de tous les riches et célèbres habitants des Hamptons qui n'ont besoin que d'un seul coup de fil pour le voir venir... (© Allociné)

Evaluation

 [x] Une série médicale rythmée et rafraichissante. Le petit médecin célibataire, objet de familles friquées au sang bleu, va en subir des choses bizarres. A tester chez vous !

Avis détaillé

A chaud : très sympa ce petit cocktail de "Dirty Sexy Money" médical. Agréablement surpris par la production de ce ''pilot'', je me suis laissé séduire par cette petite série rafraichissante pour l'été 2009.

Commençons cet avis par le concept et l'histoire. Il y a pas mal de thèmes qui marchent bien en ce moment dont les médecins (Dr House) et les milieux élitistes bourrés d'argent (Gossip Girl, Dirty Sexy Money). Royal Pains (traduire littéralement "Douleurs Royales") est un mélange appétissant de ces deux thèmes. Notre petit médecin s'engage (et c'était pas gagné) à devenir le médecin particulier des habitants d'un richissime quartier aux moeurs plus qu'inhabituelles pour l'ancien médecin de New York. Flanqué de son comptable de frère et d'une assistante aguerrie aux us et coutumes locales, Hank goute aux joies des soirées mondaines où alcools et drogues coulent à flot. Heureusement, la série ne fait pas l'erreur de tomber dans le cliché facile du milieu friqués trash à outrance et sans états d'âmes. Certes les femmes paraissent facile et soignée mais bon, en tant que mec, je saurais pardonner certains clichés ;)

Niveau acteur, c'est du tout bon. L'acteur principal, Mark Feuerstein (The West Wing), est nickel dans ce rôle de médecin trentenaire célibataire. Les deux autres acteurs principaux, le frère et l'assistante, sont pas mal non plus. Le frère joué par Paulo Costanzo (Joey) est juste dans sa démesure et son énergie. Le groupe de trois se tient et va être plaisant à voir évoluer dans les épisodes suivants.

La réalisation est pêchue, moderne, rythmée. Une bonne note pour la BO du ''pilot'' avec des tubes contemporain (The Ting Tings) servant bien les scènes. Ce qui m'a plusieurs fois arraché les yeux ce sont les propriétés dans lesquelles certains passages ont été filmés. The Hamptons, la banlieue chic américaine est véritablement bien illustrée et si la production continue à mettre autant la main à la poche qu'elle ne l'a fait pour ce ''pilot'', ça promet. Gigantesque villa donnant sur une plage de sable fin, Ferraris garées par paires dans les parkings luxurieux, jardins titanesques à base de piscines et de fontaines. Ajouter à cela une gente féminine on ne peut mieux représentée et vous voilà aux Hamptons chaque semaine.

Pour résumé, si vous êtes féru de séries et que vous en cherchez une prometteuse à suivre cette été (pour le moment 12 épisodes sont commandés en attente des premiers résultats d'audience), Royal Pains est un très bon candidat. Reste à voir si les situations et les intrigues à venir dans les épisodes suivants sauront maintenant la qualité aperçue dans cet épisode ''pilot'' d'une heure. Heure pendant laquelle je ne me suis pas ennuyé. A essayer donc. Moi, je vais peut-être continuer à regarder quelques épisodes. Pour voir...

Et vous, qu'en avez-vous pensé ?
+15.78
Publié par Alconis le 27/05/09 à 15:17   -   Categorie : Présentations de séries  -   Vu: 6675 fois
 [x]

Article originel : http://www.alconis.com/dotclear/index.php?2009/05/27/313-decouvrez-la-nouvelle-serie-mental-de-la-fox

Genre : Drama médical
Diffusé l'été sur la FOX, au format 42 mn
Première diffusion : 26 mai 2009.

Synopsis

Mental raconte l'histoire du docteur Jack Gallagher (Chris Vance, Prison Break), médecin récemment nommé à la tête du service psychiatrique d'un hôpital.
Sa nouvelle patronne, Nora Skoff (Annabella Sciorra, The L Word) ne voit pas d'un très bon oeil les méthodes pas toujours orthodoxes de Gallagher. Mais leur passé commun empêche peut-être une totale objectivité...

Avis détaillé

début de l'épisode

Un hôpital américain. Deux internes sont interrogés par un médecin de l'hôpital. Il leur annonce que le nouveau chef du service psychiatrique arrive le jour-même. Puis, le médecin rencontre la docteur Hayden-Jones (l'héroïne brune de The 4400) dans la salle d'admission qui peste sur le manque d'expérience du nouveau chef remplaçant. Dans la file d'attente, un homme (un acteur vu dans Prison Break) a des hallucinations. Il voit des gens avec des queues de monstre, des gamines avec des langues de serpents. Juste après que le flic qui l'a ramassé dans la rue lui enlève ses menottes, l'homme pète un plomb, se déshabille, s'empare d'une chaise et menace les personnes présentes en hurlant "Je sais qui vous êtes ! Vous ne ferez jamais de moi un des vôtres !". Tout le monde se protège sauf un homme dans la file d'attente, qui commence à se déshabiller à son tour. Une fois, nu, ce dernier s'approche du forcené et lui dit, les yeux exorbités "Moi aussi, je suis réel. Tu n'es pas seul". En parlant avec lui, il parvient à le calmer. Le sauveur n'est autre que Jack Gallagher, le nouveau chef britannique du service psychiatrique. Manifestement, Jack a des méthodes bien à lui de faire son boulot.


Commençons par le cast de Mental. C'est un lot de bons acteurs qui ont fait leurs preuves et sont crédibles dans leur nouveau rôle. L'acteur principal est sympa et joue juste. Est-il assez charismatique pour tenir le show entier comme le fait le star de House M.D. ? On verra par la suite. Au vu du pilot, va falloir faire mieux.

Au niveau scénario, rien de bien rafraichissant. Un énième drama hospitalier. "Dr House se spécialise en psychiatrie". Le héros n'aime pas trop la paperasse, est anglais dans un hôpital américain, n'a pas peur de montrer ses fesses, a son franc parler et des méthodes un peu particulières qu'il souhaite imposer quitte à se mettre ses patrons à dos. On a des personnages annexes pour apporter un peu d'épaisseur à la série, notre lot conventionnel d'histoires de coeur à prévoir entre les internes et notre héros et la patronne qui ont déjà eu une histoire commune. Reste à voir si les différents cas des patients qui rythmeront les épisodes à suivre seront assez intéressants pour convaincre les téléspectateurs.

La réalisation est classique et dynamique. On retrouve les désormais traditionnelles transitions à base de ville qui se pare de lumière pour annoncer le soir et des traveling extérieurs sur l'hôpital pour ne pas trop donner l'impression d'un hui-clos étouffant et des changements de scènes un peu kitch en mode "fondu MovieMaker". Idem niveau ambiance musicale : trop cliché. Des violons dans les moments tristes, des petits riffs de guitare inutiles et ringards pour pondérer des répliques. Rien de bien folichon encore de ce côté-là, donc, mise à part quelques points innovants : quelques effets spéciaux un peu cheaps, la présentation des patients et de leur pathologie avec une animation sympa et les coupures pubs annoncée par le logo de la série et une fermeture éclair.

Au final, Mental est une série d'été agréable à suivre mais qui n'a rien d'original. On sent que la production n'a pas trop dépensé pour sa série. Comme toujours, il faut se laisser 3 épisodes pour affiner son jugement mais mes impressions au vu du pilot sont souvent les bonnes. Et personnellement, ça sent pas du tout la série événement. Loin de là.

Et vous, qu'en avez-vous pensé ?
+50.39
Publié par Alconis le 03/04/09 à 14:07   -   Categorie : Sujets divers  -   Vu: 24449 fois
24/04/2009 : Une version alpha du site http://www.birdsdessines.fr est ouverte aux testeurs ! Créez votre compte, créez vos propres BDs à l'aide de l'éditeur en ligne puis publiez sur le site.

01/04/2009 : Poisson d'avril
 [x]

31/03/2009 : Grève de la faim
 [x]

--------
C'est un projet que j'ai en cours.
Les oiseaux sont tirés du court-métrage de Pixar "For the birds".
Pendant le développement de ce projet, je vais faire des tests en faisant régulièrement des petites BDs.
Je les poste sur mon blog http://www.alconis.com mais j'en posterai ici aussi, si ça vous dit.

Si vous avez des idées de scenarii à me proposer, contactez-moi par message privé ou par mail : alconis42@yahoo.fr
+22.93
Publié par Alconis le 11/06/08 à 09:16   -   Categorie : Sujets divers  -   Vu: 6589 fois
Faisons appel aux souvenirs d'une certaine génération. Ma génération. Celle qui a passé son école primaire fin des années 80, début des années 90. C'était une époque que les plus jeunes ne connaissent pas. Les Minikeums prenaient la relève du Club Dorothée ; on jouait des heures entières sur la toute première GameBoy grise avec 4 piles et 3 couleurs avant de regarder le Bébête Show ; on achetait des "couilles de mammouths" et des pétards Bison ; la radio passait Technotronic et Benny B ; l'URSS, Kurt Cobain et les Raiders (maintenant appelés Twix) étaient encore vivants ; on ne résistait pas à l'appel de Banga ; on collectionnait les jouets des paquets de céréales, des Kinder Surprise ou les lucioles fluorescentes des paquets de lessive. On collectionnait pas mal de choses.

A cette époque, les collections étaient un vrai phénomène dans les cours de récréation. Les échanges, les jeux, les bagarres. Tout était bon pour compléter sa collection personnelle qui changeait d'année en année. Je vous propose de vous replonger dans ces collections qui ont vidé nos tirelires, ruiné nos parents mais rempli nos mémoires de bons moments. Voici mon Top 10 des Collections de Cour de Récréation de mon époque.

 [x]


Les collections de Majorette, produites par Smoby, ne touchaient en fait qu'un certain type de famille : celle dont le papa était fan de voiture. Du coup, le papa essayait d'initier son fiston aux joies des bolides à 4 roues en achetant régulièrement des voitures miniatures. De la Peugeot 205 GTI vainqueur du dernier Rallye à la Citroën 2 CV qui a ramené grand-père d'Algérie, elles se sont entassées sur de grandes étagères dormant aujourd'hui dans un grenier... Et c'est Papa qui y jouait le plus !

 [x]


Ouf ! J'ai personnellement échappé à cette mode. Je dis "ouf" car les cartes Magic, dans mon milieu qu'est celui de l'informatique, sont quand même l'apanage des vrais ''geeks'' pure souche, inséparables de leurs mangas. Gagnées au péril de gnomes et d'autres monstres à 8 têtes, les cartes Magic étaient et sont encore l'une des collections les plus fournies à base de cartes. Bon, personnellement, c'était pas mon truc du tout alors je les place en queue de peloton.

 [x]


A l'époque, il y avait une mode vestimentaire. La bataille entre les Nike Air, Adidas Torsion et Reebok Pump faisait rage. Et attention, pas de contrefaçons, il fallait que les parents se ruinent ! Et tout le monde avait au moins un t-shirt LC Waïkiki dans son armoire. Mais, oui. Celui avec un singe qui sort de son cercle jaune dessus. Ils se portaient larges et en toute occasion. Je sais, c'est pas vraiment une collection mais on se contentait rarement d'un seul exemplaire, vu qu'on le portait tout le temps.

 [x]


Vous avez sûrement entendu parler des ''Degueulos, Animos, Gravos, Crevos, Dechiros, Craignos, Lardos''. Ce sont les différentes déclinaisons ou familles de Crados, ces charmants enfants qui illustraient des cartes à collectionner. Chaque gamin aux mœurs scabreuses portait un nom formant un jeu de mot pourri : mauvaise HELENE, GUSTAVE la bave, JEAN-LOUIS dégueulis, GEO gerbetou et la fameuse... LAETITIA pudébras. Et ouais... Vous pouvez lever les yeux au ciel. Il n'empêche que ça circulait à la ''récré'', au grand dam des parents qui trouvaient ça ridicule. Ils avaient pas tout à fait tort...

 [x]


Ah ! Voilà une collection que j'ai faite. Voilà une collection qu'elle est bien débile, aussi. Dans nos trousses d'écoliers modèles, on trouvait nos premiers stylos-plume et les cartouches d'encre idoines (...qu'on avait jamais et qu'on demandait toujours au voisin de derrière). Jusqu'alors, quand notre cartouche d'encre était vide, on se contentait de la jeter dans la poubelle dès que le prof' avait le dos tourné. Mais, une mode avait percé : celle des lances-boulettes confectionnés à l'aide d'un effaceur vidé, d'un pinceau pour pousser, d'un bout de stylo-bille coupé et... d'une demi cartouche d'encre vide. Et c'est ce dernier ingrédient qui a donné lieu à la collection des billes de cartouches d'encre, celle qui bloque la sortie d'encre et qui reste seule une fois la cartouche vide. Elles s'entassent inlassablement dans notre trousse jusqu'à ce qu'un jour, astucieusement poussée dans le vide par la règle de votre voisin hilare, la-dite trousse s'explose par terre, répandant les centaines de billes inutiles dans toute la classe. Les cartouches volantes ont aussi fortement contribué à l'essor de cette collection : on coupe une cartouche (quasi vide) en deux, on fait 4 entailles au bas, on passe deux petites bandes de papier et on met une boule de colle de notre tube UHU à l'autre bout de la cartouche et on la colle au plafond juste au-dessus de Michael sur qui les dernières gouttes d'encre s'écrasent sans qu'il sache d'où ça vient. Ahhhh ! C'était le bon temps...

 [x]


Les Légos sont la collection approuvée par les parents. Par les miens, en tout cas. J'avais des tonneaux et des caisses pleins de petits cubes. J'étais le roi des constructions à la garderie où on se battait pour avoir les rares plaques, socles de tout vaisseau spatial. De la station lunaire au TGV en passant par la grande ''mansion'', les boites de Légo ne manquaient pas et tout le monde a un jour reçu à Noël sa boite. Les parents encourageaient la pratique des Légos car cela développait pas mal de compétences. En effet, en se faisant les dents sur les fiches de montages Légo, on sait, 10 après, monter ses premiers meubles Ikéa. Tout est lié dans la vie !

 [x]


J'ai hésité sur la place des Pin's dans ce classement. Ils devaient forcément y apparaître, mais cette mode était plus générale et touchait autant les cours de récréation que les bureaux des fonctionnaires. On a tous quelqu'un dans la famille qui avait confectionné son propre cadre sur lequel il accrochait fièrement sa collection de Pin's, ces petites broches destinées à être épinglées sur le revers d'une veste. A l'instar de ceux qui collectionnent les ''magnets'' à frigo des boites de cordons bleus, les collectionneurs de Pin's s'affichaient partout à l'époque et s'échangeaient les Pin's les plus rares ou les plus communs. Aujourd'hui, des irréductibles s'en échangent encore, mais, bizarrement, ils s'affichent moins.

 [x]


Je vous entend déjà rouspéter. "Comment tu peux mettre les Pog's devant les Pin's ?" Je sais bien que les Pog's sont apparus à la suite du succès des Pin's. Mais, je le mets devant pour son caractère novateur et le côté cour de ''récré''. Les broches existent depuis belle lurette. Les Pog's, c'était nouveau. Achetés par lot de 6 ou plus, ces petits ronds de cartons étaient purement destinés aux cours de récréation. C'est le produit ciblé par excellence. La production était peu onéreuse, les déclinaisons infinies et il y avait autant de modes de jeux que de collectionneurs. Les Pog's eurent un succès fulgurant mais éphémère. Les contrefaçons étaient légion, faisant perdre la valeur aux vrais Pog's. Une collection sans valeurs ne tient pas. R.I.P. Pog's mania.

 [x]


A la deuxième place de ce classement, j'ai choisi les images Panini. Les vraies, les belles, les géniales images Panini. Destinées à peupler les albums éponymes, ces petites images autocollantes resteront dans toutes les mémoires des garçons et filles de ma génération. Elles avaient tout pour plaire aux collectionneurs en herbe : le degré de rareté (avec les cartes brillantes ou les éditions limitées), des déclinaisons par milliers (Stars de Football, de NBA, les Tortues Ninja, Denver, X-Files, Dragon Ball Z etc.), le format transportable (... et surtout abîmable). On y jouait tout le temps pour gagner les images qui nous manquaient. On mettait en jeu 5 cartes d'une famille contre LA carte d'une autre. Personnellement, j'étais très fort au lancé (IM-BAT-TA-BLE) et au retourné d'image avec la paume de la main. Les albums restent aujourd'hui des témoins de notre enfance et ravivent chez ceux qui les ont conservés, des souvenirs de ''récré'' inoubliables.

 [x]


La première place revient bien évidemment aux billes. Elles ont traversé les âges. Nos parents, nos grands-parents y ont joué. Peut-être n'ont-ils pas connu les calots, billes chinoises et autre boulards, mais les billes restent un point de rencontre de différentes générations. A la table familiale du dimanche midi, Papi, Papa et même la cousine racontent comment ils y jouaient. C'est le jeu des cours de récréation par excellence avec tant de façons d'y jouer, tant de couleurs et de formes. Les possibilités sont infinies. Ce sont des rencontres, des déceptions, des bagarres, des victoires. C'est le souvenir de la rugosité du bitume sous les doigts avant de taper la bille qu'on va perdre d'ici quelques secondes à cause de cette foutue bouche d'égout.

Jamais un écolier n'était à billes pareilles avec un autre, et dès que la sonnerie retentissait, on courait bille en tête dans la cour gagner celles des autres... du moins pour ceux qui touchaient leur bille.
+0.21
Publié par Alconis le 16/05/08 à 10:30   -   Categorie : Tutoriels et Guides  -   Vu: 1517 fois
Comme beaucoup de monde, j'utilise le flux RSS du site shooter.cn pour être alerté de la sortie des sous-titres VO. En marque-page dynamique dans Firefox, c'est Byzance. Rappel de l'url du flux : http://shooter.cn/static/sub/feed.xml

Pour plus d'informations sur comment récupérer des sous-titres su ce site chinois, c'est ici :



Mais depuis une semaine, le flux est invalide.
En effet, pour ceux qui s'y connaissent un peu en flux RSS, les liens générés dans la balise <link> sont incomplets (local au lieu d'être absolu). Ils ont ceci :


<link>/xml/sub/86/86429.xml</link>


au lien de ceci :


<link>http://www.shooter.cn/xml/sub/86/86429.xml</link>


Il est évident qu'ils ont dû se louper quelque part chez shooter en voulant mettre à jour leur flux. Quoiqu'il en soit, le flux RSS est tout de même disponible. Il suffit de l'ouvrir en tant que lien (donc cliquer sur l'adresse du flux) plutôt que comme Live Bookmark ou dans un RSS Reader, en attendant qu'ils réparent tout ça.

Si quelqu'un parle chinois et sait les contacter, faites-vous plaisir.
+16.22
Publié par Alconis le 02/04/08 à 22:06   -   Categorie : News  -   Vu: 5730 fois
 [x]


Les upfronts sont en avance cette année avec l'annonce de le grille de NBC. Premières constatations à chaud : K2000 a donc réussi son retour puisque la série se voit confirmée pour la saison prochaine. Les nouvelles séries mélangent des scénarios venus des adaptations de classiques de la littérature pour pas mal ou rappellent d'autres séries. Pas vraiment de ''hit'' à première vue, mais attendons. Je suis intrigué par The Philantropist et c'est à peu près tout. A noter l'arrêt de Las Vegas après 5 ans de bons et loyaux services, le retour confirmé de Friday Night Lights, celui plus évident de Heroes et le sort incertain de Scrubs. Les autres ''networks'' devraient quant à eux annoncer leurs grilles respectives courant mai 2008. Allez, découvrez les séries nouvelles, renouvelées et arrêtées de la chaine américaine.

Les nouvelles séries

Crusoe (nom de projet : Robinson Crusoe) :

La série adaptera le roman de 1719 de Daniel Defoe au type de narration actuel, mais l'intrigue se déroulera bien au 17è siècle comme le livre originel. Elle sera centrée sur Robinson et sa relation avec son fidèle serviteur, Vendredi, avec en plus les sauvages, les cannibales, les animaux sauvages, la famine, et les tempêtes apocalyptiques décrites dans le roman. Un casting international et un budget très important (35 millions de dollars).

Knight Rider :

Ce remake de K2000 est le sequel de la série des années 80 et sera centré sur Mike Tracer (Justin Bruening), le fils de Michael Knight qui n'a jamais connu son père. Bruce Davison interprètera Charles Kamen, l'inventeur de KITT, la voiture intelligente, et le père de Sarah Kamen (Deanna Russo), que Mike Tracer connaît depuis l'enfance. Wayne Kasserman jouera l'un des amis de ce dernier. Il s'agit de la suite du téléfilm diffusé avec succès sur NBC le dimanche 17 février.

Kath & Kim :

Le remake de la série australienne éponyme à succès tournant autour de la relation, quelque peu spéciale et dysfonctionnelle, entre Kath et sa fille Kim. L'actrice Selma Blair a été choisie pour le rôle de Kim, tandis que c'est Molly Shannon qui interprètera sa mère, Kath.

Kings :

Un drama, écrit par Michael Green, s'inspire de l'histoire du roi David. Elle met en scène Christopher Egan (Vanished) dans le rôle d'un jeune guerrier au coeur pur qui rejoint la cour du charistmatique et authoritaire roi Silas (interprété par Ian McShane , Deadwood).

The Office - Spin Off :

Une série dérivée de la sitcom phare du jeudi soir de NBC.

Merlin :

Détails à venir sur cette nouvelle série proposée dès l'hiver 2008 sur NBC.

My Own Worst Enemy (nom de projet : My Worst Enemy) :

Une série qui s'inspire de Dr. Jekyll et M. Hyde. Elle sera centrée sur un père de famille d'un milieu moyen (Christian Slater) qui apprendra que son "double" s'avère être un espion pris dans les mailles d'une machination qui lui échappe.

The Listener :

Une série qui raconte l'histoire d'un jeune homme (joué par Craig Olejnik, Runaway) qui peut lire dans les pensées des hommes, et agir sur elles. Il fait équipe avec Osman Bey (Ennis Esmer, animateur du Toronto Show). Une co-production avec la chaîne canadienne CTV.

The Philantropist :

Un drama sur un milliardaire rebelle qui utilise son argent, ses relations et son pouvoir pour aider les gens dans le besoin et ce peu importe les risques. Créée par Barry Levinson et Tom Fontana (Oz, The Jury, The Beat, Bedford Diaries).

Les séries renouvelées

* 30 Rock - Saison 3
* Chuck - Saison 2
* Earl - Saison 4
* Friday Night Lights - Saison 3 - Retour à la mi-saison
* Heroes - Saison 3
* Life - Saison 2
* Lipstick Jungle - Saison 2
* Medium - Saison 5.
* New-York District - Saison 19 - Retour à la mi-saison
* York Unité Spéciale - Saison 10
* The Office - Saison 5
* Urgences - Saison 15

Les séries annulées

* Bionic Woman (2007) - Après 1 saison.
* Journeyman - Après 1 saison.
* Las Vegas - Après 5 saisons.
* The IT Crowd - La série n'a jamais été diffusée sur la chaîne.

Sort incertain

* Scrubs - La série pourrait être reprise sur ABC, aucune information à ce propos. Elle ne sera en tout cas pas sur NBC l'an prochain.

Source : SeriesLive.com
  Pages : 12  Page suivante Page suivante
.