On dit des plan-séquences de Daredevil ou de True Detective, mais celui du prologue de cet épisode était fort bien fait (avec un seul cut visible), à défaut d'être très utile.
![Cliquer pour citer ce paragraphe. Cliquez à nouveau pour aller sur la saisie d'un nouveau message](engine/grafts/subfactory2018/images/qq.png)
En revanche, cet
article de Hitfix m'apprend que c'est un hommage non déguisé à celui par lequel débute
La Soif du mal d'Orson Welles (dont Wikipédia m'apprend que c'est le "plus long plan-séquence à la grue de l'histoire du cinéma") qu'on peut voir ici :
![Cliquer pour citer ce paragraphe. Cliquez à nouveau pour aller sur la saisie d'un nouveau message](engine/grafts/subfactory2018/images/qq.png)
Hommage encore appuyé par le fait que les deux scènes se déroulent à la frontière américano-mexicaine.
![Cliquer pour citer ce paragraphe. Cliquez à nouveau pour aller sur la saisie d'un nouveau message](engine/grafts/subfactory2018/images/qq.png)
Le reste de l'épisode est du Better Call Saul classique, on a tellement l'habitude de la qualité de la série qu'on ne prend même plus la peine de la souligner j'ai l'impression.
![Cliquer pour citer ce paragraphe. Cliquez à nouveau pour aller sur la saisie d'un nouveau message](engine/grafts/subfactory2018/images/qq.png)
Les tractations autour du contrat Mesa Verde ne sont pas les plus palpitantes, mais j'adore la scène de Jimmy au magasin de photocopies, et bien sûr la scène sur le tarmac devant "Fifi" est géniale.
![Cliquer pour citer ce paragraphe. Cliquez à nouveau pour aller sur la saisie d'un nouveau message](engine/grafts/subfactory2018/images/qq.png)
--
je parles pas au cons sa les instruits
*édité à 00:10 le 10/04/2016