XCe site utilise des cookies. En continuant à naviguer, vous autorisez nos partenaires à déposer des cookies à des fins de mesure d'audience, d'affichage publicitaire et d'intégration de boutons sociaux. Pour plus d'infos, consultez la charte..AccepterRefuser
A priori, Haven, c'est la petite série qui ne paie pas de mine. Tout d'abord, un scénario classique : un agent du FBI (Audrey Parker) est envoyé à Haven, petite bourgade du Maine, pour enquêter sur un meurtre, et découvre que certains habitants ont des aptitudes inhabituelles, qu'elle va devoir analyser pour boucler l'affaire. Des personnages charismatiques sans plus. La vie débridée d'une ville paumée. Ah oui, il y a un phare, quand même. Mais passons aux choses sérieuses :
Audrey Parker (interprétée par Emily Rose) est un agent à l'esprit ouvert. Ce n'est pas une obsédée de la conspiration à la Mulder, elle sait simplement reconnaître les bizarreries qui se présentent. Elle n'a pas connu ses parents, et découvre rapidement qu'Haven peut lui en apprendre plus sur ses origines. Elle décide donc de rester pour un temps et d'assister la police locale.
Nathan Wuornos (interprété par Lucas Bryant), fils du Shérif et officier de police, devient ainsi son coéquipier. C'est un type calme et posé, bien intégré à la communauté de Haven. Il est courageux. Il est affecté d'une neuropathie qui le rend physiquement insensible, et ne ressent par conséquent ni plaisir ni douleur.
Duke Crocker (interprété par Eric Balfour), individu plutôt louche mais charmant et drôle, s'intéresse à leurs affaires et finit par s'y trouver mêlé. C'est un trafiquant à la petite semaine, suffisamment intelligent cependant pour ne pas trop attirer l'attention sur ses magouilles. Une sorte de bad boy zen qui vit un peu à part, sur un bateau.
Et bien sûr, n'oublions pas la communauté de Haven, constituée pour l'essentiel d'américains moyens, si on laisse de côté les "anomalies" des uns et des autres.
Haven, c'est donc la petite série qui ne paie pas de mine. Mais évidemment, c'est aussi plus que ça. Ça dérape même complet. Si les premiers épisodes sont des quasi stand-alones, l'intrigue de fond, qui se met en place insidieusement, va quant à elle soulever un gros What the fuck - c'est quoi ce bordel dont je ne peux malheureusement pas dire grand chose...
*édité à 21:43 le 09/10/2010 *édité à 21:48 le 09/10/2010 par Tasties *édité à 22:59 le 09/10/2010 par Tasties *édité à 23:00 le 09/10/2010 par Tasties
Message n° 2425545, posté par NaNaeL à 21:43 le 09/10/2010
: Haven, c'est donc la petite série qui ne paie pas de mine. Mais évidemment, c'est aussi plus que ça. Ça dérape même complet. Si les premiers épisodes sont des quasi stand-alones, l'intrigue de fond, qui se met en place insidieusement, va quant à elle soulever un gros What the fuck - c'est quoi ce bordel dont je ne peux malheureusement pas dire grand chose...
C'est à partir de quand ? J'ai vu jusqu'au 105.
Merci pour la présentation.
-- Damn it, woman! What was his motive? A locomotive.
Message n° 2425546, posté par Finally à 21:43 le 09/10/2010
: Tiens, je croyais que c'était une adaptation d'un truc de King, mais tu n'en fais pas mention. C'est pas ça ?
Ça a autant de rapport avec la nouvelle que n'en a le film Le Cobaye avec la nouvelle The Lawnmower Man, pour ceux qui connaissent, c'est à dire pas du tout.
Le seul avantage, c'est que ça se passe donc dans le Maine, terre d'accueil de la quasi-intégralité des oeuvres de King, dont certains lieux ne seront pas sans évoquer quelques souvenirs aux familiers de ses ouvrages.
Ainsi, dans le dernier épisode, il est par exemple question du
-- je parles pas au cons sa les instruits
Message n° 2428287, posté par sapotille à 20:17 le 10/10/2010