*édité à 20:16 le 20/05/2011
Sujet n°16269 créé le 15/01/2009 à 23:20 par Fresh Prince - Vu 2322488 fois par 22766 utilisateurs
Baje
Pendant le film, je me disais que si il mettait des motos qui roulent, des fxs perrave d'un train qui roule et des fxs bien foutu d'une ville, qui là, sont totalement useless, c'est parce qu'il avait un budget sérré.
Là, je vois le budget et je me dis qu'en fait il aime bien voir des choses qui roulent. Et je me dis aussi qu'il s'est bien fait niquer par sa boite de FX parce que les vampires sont dignes d'une cinématique de jeux-vidéo.
Et il ne se passe rien. Pas détesté non plus, j'aime bien "l'univers" (même si il n'est que graphique, le réalisateur étant incapable de créer autre chose), malgré le fait que ça ne soit pas crédible une seconde. Tout en aimant, je suis jamais rentré dedans, ya trop de choses qui ne collent pas ensemble.
Et puis le méchant... J'ai pensé que ça faisait comme dans tous les films, j'attendais... et puis en fait non. Nase.
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Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
*édité à 21:12 le 20/05/2011
Batefer
Fresh Prince a dit
Drive : Compétition officielle, réalisé par Nicolas Winding Refn, avec Ryan Gosling, Bryan Cranston et Ron Perlman.
le 20/05/2011 à 19:46
:Drive : Compétition officielle, réalisé par Nicolas Winding Refn, avec Ryan Gosling, Bryan Cranston et Ron Perlman.
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je parles pas au cons sa les instruits
je parles pas au cons sa les instruits
tenia
Vu en mode béotien (parce que je connais mal et l'oeuvre de Malick, et les thématiques récurrentes du bonhomme).
C'est très beau.Mais les 2 1eres bobines m'ont donné envie de me barrer, la 2e m'ayant douloureusement ramené à ma séance du Bluberry de Kounen que j'avais vu en salles à l'époque.Maintenant, j'ai lu que le film était souvent sur le fil du rasoir du ridicule. Je ne pense pas qu'à aucun moment le film puisse basculer dans le ridicule. Pour cela, il aurait fallu que le film paraisse plus ostensiblement subjectif. Or, ici, les seuls passages qui sont probablement cités pour cela (je suppose la 2e bobine et la fin) restent fort objectifs. Malick (en partenariat avec des universités scientifiques) montre, imagine et image, et s'arrête là.
Et c'est probablement ça qui m'empêchera d'aller plus haut dans la notation du film, parce que le film semble caresser constamment, sans jamais aller plus loin. Il survole ses paysages, ses lieux, ses personnages, ses situations, sans jamais s'impliquer plus que ça. Et les seuls moments où il le fait, forcément, sont bouleversants. La 3e bobine m'a faite à elle seule chialer. Et le final sur la plage, sur la mère qui accepte, c'est magnifique.
Mais le reste ? Pourquoi le big bang cosmique, les dinos qui se marchent dessus ? Pour moi, ces égarements desservent le film plus qu'ils ne le servent. Je n'ai rien contre une narration éclatée, mais là, 20 min de Bluberry VS 2001 VS The Fountain, non merci, j'ai déjà donné. J'ai même pensé à Enter The Void à un moment.
Derrière une mise en scène centrée sur la nature et des voix off, les comédiens n'ont de cesse d'errer dans un récit où ils n'auraient presque aucune place pour exister. D'ailleurs, comme pour les précédents films de Malick, ils sont interchangeables, voire négligeables : 5 monteurs se chargeront, si besoin est, de les sortir du récit. Je n'ai d'ailleurs pu m'empêcher de me demander combien de temps est en fait rester Sean Penn sur le tournage.Enfin, de tout cela, les comédiens semblent être ailleurs. Le film les survole, alors eux aussi survolent leurs personnages. Pitt est peu nuancé, Chastain ne sert qu'à être érigée en idole d'une manière mono dimensionnelle, et les gamins font les gamins en courant partout, répondant à leur père, et faisant leur Oedipe comme si de rien n'était.
Mais la 2e moitié est magique. C'est beau. Je ne sais pas franchement ce que ça raconter mais c'est beau, putain. Il y a une sensibilité chez Malick qui me rappelle Mizoguchi. Du grand, du fin, du ciselé. Mais je reste déçu par les égarements qui m'ont maintenu à distance du film plutôt que de me permettre de m'y plonger.
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"To be is to do"-Socrate; "To do is to be"-Sartre; "Do Be Do Be Do"-Sinatra;
Yippie ki yai, coffeemaker !
"To be is to do"-Socrate; "To do is to be"-Sartre; "Do Be Do Be Do"-Sinatra;
Yippie ki yai, coffeemaker !
homereb
Un écrivain raté parvient à mettre la main sur une drogue qui lui permet de décupler les capacités de son cerveau.
La real utilise des artifices qui sont bien sympas. L'histoire se suit bien, De Niro vient grenouiller mais fait le bouleau.
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I am Ripper... Tearer... Slasher... I am the Teeth in the Darkness, the Talons in the Night. Mine is Strength... and Lust... and Power! I AM BEOWULF!
I am Ripper... Tearer... Slasher... I am the Teeth in the Darkness, the Talons in the Night. Mine is Strength... and Lust... and Power! I AM BEOWULF!
Batefer
homereb a dit
La real utilise des artifices qui sont bien sympas. L'histoire se suit bien, De Niro vient grenouiller mais fait le bouleau.
le 21/05/2011 à 22:18
:La real utilise des artifices qui sont bien sympas. L'histoire se suit bien, De Niro vient grenouiller mais fait le bouleau.
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je parles pas au cons sa les instruits
je parles pas au cons sa les instruits
liloboot
Pliskin a dit
Question : c'est lesquels, les meilleurs Pixar ?
le 21/05/2011 à 23:29
:Question : c'est lesquels, les meilleurs Pixar ?
tenia a dit
Et c'est probablement ça qui m'empêchera d'aller plus haut dans la notation du film, parce que le film semble caresser constamment, sans jamais aller plus loin. Il survole ses paysages, ses lieux, ses personnages, ses situations, sans jamais s'impliquer plus que ça. Et les seuls moments où il le fait, forcément, sont bouleversants. La 3e bobine m'a faite à elle seule chialer. Et le final sur la plage, sur la mère qui accepte, c'est magnifique.
le 21/05/2011 à 20:14
:Et c'est probablement ça qui m'empêchera d'aller plus haut dans la notation du film, parce que le film semble caresser constamment, sans jamais aller plus loin. Il survole ses paysages, ses lieux, ses personnages, ses situations, sans jamais s'impliquer plus que ça. Et les seuls moments où il le fait, forcément, sont bouleversants. La 3e bobine m'a faite à elle seule chialer. Et le final sur la plage, sur la mère qui accepte, c'est magnifique.
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Rock 'n' roll.
Rock 'n' roll.
Fresh Prince
Paranormal Activity 2 : si le premier était une bonne petite comédie souvent hilarante qu'on adorait regarder en groupe par un dimanche pluvieux de décembre, ce deuxième épisode rend le pire des étrons presque poétique tant on fait ici face à une nullité pour laquelle on pourrait inventer le record de la pire chose qu'un art nous a offert depuis la sortie des disques de la star ac'.
L'enchainement des saynètes, pas effrayantes pour un sou, même pour un enfant qui pleure devant son ombre, n'a d'égale que la pauvreté du scénario qui peine tellement à se renouveler qu'il ose nous faire croire que l'on regarde là un épisode 0 plutôt qu'une suite.
Fresh Prince
Ah, et, après avoir côtoyé le haut du panier, après m'être gavé de Lost Highway, après avoir écrit à en vomir sur Lynch, je continue avec le cinéma de merde qui nous fait redescendre sur terre quand on croit que le 7ème art nous fait jouir en permanence : je regarde Enter the Void. Enfin, je m'endors devant.
Fresh Prince
Pliskin a dit
Question : c'est lesquels, les meilleurs Pixar ?
le 21/05/2011 à 23:29
:Question : c'est lesquels, les meilleurs Pixar ?
*édité à 00:22 le 22/05/2011
Message n° 2779467, posté par Baje à 00:43 le 22/05/2011
Message sous votre seuil (Afficher quand même)
ricorod
Pliskin a dit
Question : c'est lesquels, les meilleurs Pixar ?
le 21/05/2011 à 23:29
:Question : c'est lesquels, les meilleurs Pixar ?
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Life is too short to spend two hours in a state of total exasperation.
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