Baje
Sujet n°15142 créé le 22/11/2008 à 11:36 par KoreanGuy - Vu 99497 fois par 4955 utilisateurs
liloboot
Baje a dit :
Sinon je dirais qu'il est très bon. Je suis parfaitement rentré dedans, j'ai trippé.
Sinon je dirais qu'il est très bon. Je suis parfaitement rentré dedans, j'ai trippé.
OK. Donc Avatar serait selon toi un contre-exemple de ce qu'affirme le gars Francis. Intéressant, je vais un peu précipiter sa vision par rapport à ce que j'avais prévu.
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Rock 'n' roll.
Rock 'n' roll.
Baje
liloboot a dit :
OK. Donc Avatar serait selon toi un contre-exemple de ce qu'affirme le gars Francis. Intéressant, je vais un peu précipiter sa vision par rapport à ce que j'avais prévu.
OK. Donc Avatar serait selon toi un contre-exemple de ce qu'affirme le gars Francis. Intéressant, je vais un peu précipiter sa vision par rapport à ce que j'avais prévu.
Pas du tout, puisque pour moi l'histoire tient debout, je me fiche qu'elle soit prévisible, elle est très manichéenne, c'est un style et les acteurs sont bons.
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Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
liloboot
Baje a dit :
Pas du tout, puisque pour moi l'histoire tient debout, je me fiche qu'elle soit prévisible, elle est très manichéenne, c'est un style et les acteurs sont bons.
Pas du tout, puisque pour moi l'histoire tient debout, je me fiche qu'elle soit prévisible, elle est très manichéenne, c'est un style et les acteurs sont bons.
Ah bon ? Merde. On en revient à ce que je demandais plus haut, alors : je vois pas du tout quel serait le grand film qui aurait un scénar très limité. T'as toujours pas donné d'exemple qui tienne la route. Je te parle pas de trucs bien foutus qui t'ont fait triper, mais de films que, au-delà de ta vision personnelle, tu considères comme des oeuvres relativement majeures du cinéma, sans aller jusqu'au chef d'oeuvre universel comme, disons, The Godfather, pour rester dans le Coppola.
Donc soit tu me donnes un film qui répond aux critères "grand film dans l'absolu, scénar très limité", soit tu dis : "je ne me risquerai pas à citer un film que je considère comme une oeuvre majeure du cinéma parce que tout ça est trop subjectif", auquel cas tu es une grosse fiotte (ce que je respecte).
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Rock 'n' roll.
Rock 'n' roll.
*édité à 16:37 le 27/04/2010
Baje
liloboot a dit :
Ah bon ? Merde. On en revient à ce que je demandais plus haut, alors : je vois pas du tout quel serait le grand film qui aurait un scénar très limité. T'as toujours pas donné d'exemple qui tienne la route. Je te parle pas de trucs bien foutus qui t'ont fait triper, mais de films que, au-delà de ta vision personnelle, tu considères comme des oeuvres relativement majeures du cinéma, sans aller jusqu'au chef d'oeuvre universel comme, disons, The Godfather, pour rester dans le Coppola.
Ah bon ? Merde. On en revient à ce que je demandais plus haut, alors : je vois pas du tout quel serait le grand film qui aurait un scénar très limité. T'as toujours pas donné d'exemple qui tienne la route. Je te parle pas de trucs bien foutus qui t'ont fait triper, mais de films que, au-delà de ta vision personnelle, tu considères comme des oeuvres relativement majeures du cinéma, sans aller jusqu'au chef d'oeuvre universel comme, disons, The Godfather, pour rester dans le Coppola.
Mais c'était pas mon propos de départ, c'est toi qui veut des "grands films". Moi j'ai dis des très bon films et j'en reste là. Donc, non, je répondrais pas. Faudrait que j'examine tout ça et j'ai pas que ça à faire.
Si ça me fait tripper, c'est le principal. J'ai jamais prétendu qu'il y avait des chefs d'oeuvres ou des trucs majeurs. D'autant que, je suis assez ouf, je m'en branle ma race des films qui ont compté dans le cinéma. Si ça me fait tripper, ça peut être considéré comme nul, ça me fera pas changer d'avis. Et les films qui compte, souvent, ils comptent pas pour moi.
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Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
*édité à 16:41 le 27/04/2010
liloboot
Baje a dit :
Bon, le Parrain j'ai kiffé quand même. Mais le deux m'a fait chier du début à la fin.
Bon, le Parrain j'ai kiffé quand même. Mais le deux m'a fait chier du début à la fin.
Ah ouais ? Tu vois, c'est marrant, il est souvent considéré comme encore supérieur au premier, ça confirme ce que tu disais avant sur tes différences de goûts par rapport à une sorte de "norme".
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Rock 'n' roll.
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Baje
liloboot a dit :
Ah ouais ? Tu vois, c'est marrant, il est souvent considéré comme encore supérieur au premier, ça confirme ce que tu disais avant sur tes différences de goûts par rapport à une sorte de "norme".
Ah ouais ? Tu vois, c'est marrant, il est souvent considéré comme encore supérieur au premier, ça confirme ce que tu disais avant sur tes différences de goûts par rapport à une sorte de "norme".
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Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
liloboot
Baje a dit :
Surtout en cinéma, je comprends d'ailleurs pas pourquoi il y a ces "normes".
Surtout en cinéma, je comprends d'ailleurs pas pourquoi il y a ces "normes".
Non mais le mot est mal choisi, de toute façon. Mais c'est normal que, comme pour tout art, il y ait des oeuvres considérées comme importantes, majeures, mineures mais intéressantes dans leur style, etc.
Avatar est intéressant dans ce cadre parce que, quoi qu'on puisse en penser, il semble marquer une rupture majeure dans la façon de faire un film. Y a pas mal de cinéastes qui doivent se poser des questions.
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Rock 'n' roll.
Rock 'n' roll.
*édité à 16:52 le 27/04/2010
shibbyshibby
liloboot a dit :
Y a pas mal de cinéastes qui doivent se poser des questions.
Y a pas mal de cinéastes qui doivent se poser des questions.
*édité à 16:53 le 27/04/2010
Baje
liloboot a dit :
Non mais le mot est mal choisi, de toute façon. Mais c'est normal que, comme pour tout art, il y ait des oeuvres considérées comme importantes, majeures, mineures mais intéressantes dans leur style, etc.
Non mais le mot est mal choisi, de toute façon. Mais c'est normal que, comme pour tout art, il y ait des oeuvres considérées comme importantes, majeures, mineures mais intéressantes dans leur style, etc.
Ouais, les normes c'est bien gentil dans ce cadre là. Le plus souvent, t'aime pas ce qui entre dans la norme du chef d'oeuvre, t'y comprends rien.
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Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
Baje
liloboot a dit :
Les spectateurs vont "subir" cette rupture. C'est différent.
Les spectateurs vont "subir" cette rupture. C'est différent.
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Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
Batefer
C'est dommage que sur les dernières pages, il n'y ait que des détracteurs du films contre Baje, qui pour le coup le défend assez mal (no offense, Baje).
Ceux qui viennent seulement de le voir, à la suite de la sortie en DVD/BR j'imagine, c'est qu'ils ne l'ont pas vu au cinéma, bien qu'on ait répété que c'était vraiment un film à vivre en salles (de préférence en 3D, si possible en IMAX). Donc pour moi c'est qu'ils n'avaient pas vraiment envie de le voir à la base, que ce n'est déjà pas leur genre de film... Bref le public qui ne le découvre que maintenant n'est pas représentatif de celui qu'il est plus susceptible de toucher. Lisez dans ce topic les réactions de ceux qui l'ont vu en salle, à partir la page 17. C'est autrement plus révélateur de l'événement qu'il a constitué et constitue toujours.
Car oui, c'est un film événement, et surtout un film qui captive, qui touche, qui émeut voire. Moi je l'ai vécu, plusieurs fois et de manière différente à chaque fois, comme la révolution qu'il représente en matière de... non pas d'effets spéciaux uniquement car ce serait trop réducteur, mais de création d'un autre autre monde. Simplement. On est juste dedans, on vit, on marche, on respire Pandora. Moquez-vous... mais regrettez aussi d'avoir été trop blasé pour le vivre ainsi, d'être passé à côté d'une expérience unique d'osmose entre un film et son public, pour peu que celui-ci soit suffisamment réceptif.
Avatar est une féérie. Il faut le voir comme ça. Sa narration n'a pas besoin d'être complexe ou surprenante car sa richesse est ailleurs, et les surprises qu'il recèle ne se trouvent pas au détour d'un dialogue ou d'un coup de théatre mais dans la fabrique même de l'univers dans lequel il s'inscrit.
Pour finir, écoutez ce qu'en a dit au moment de la sortie Christophe Gans, dans une interview passionnante qui résume remarquablement bien tout ce qui fait la force du film et pourquoi il représente une nouvelle étape du cinéma :
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je parles pas au cons sa les instruits
je parles pas au cons sa les instruits
Baje
Batefer a dit :
C'est dommage que sur les dernières pages, il n'y ait que des détracteurs du films contre Baje, qui pour le coup le défend assez mal (no offense, Baje).
C'est dommage que sur les dernières pages, il n'y ait que des détracteurs du films contre Baje, qui pour le coup le défend assez mal (no offense, Baje).
Mais pour le coup, depuis quelques pages, me semble défendre plutôt l'idée (mais beaucoup sont restés bloqués sur Avatar) qu'un film avec un scénario bidon ne suit pas forcément le même chemin, globalement parlant. Avatar on a fait le tour.
J'ai pas vu ta vidéo, mais je me souviens que Gans en avait très bien parlé sur une autre vidéo que j'ai vu.
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Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
*édité à 00:21 le 28/04/2010
shibbyshibby
Batefer a dit :
Moquez-vous... mais regrettez aussi d'avoir été trop blasé pour le vivre ainsi, d'être passé à côté d'une expérience unique d'osmose entre un film et son public, pour peu que celui-ci soit suffisamment réceptif.
Moquez-vous... mais regrettez aussi d'avoir été trop blasé pour le vivre ainsi, d'être passé à côté d'une expérience unique d'osmose entre un film et son public, pour peu que celui-ci soit suffisamment réceptif.
Pas de raison de se moquer mais on n'a pas réussi à se laisser prendre au jeu de cet univers. C'est comme ça.
*édité à 00:23 le 28/04/2010
Baje
Batefer a dit :
Car oui, c'est un film événement, et surtout un film qui captive, qui touche, qui émeut voire. Moi je l'ai vécu, plusieurs fois et de manière différente à chaque fois, comme la révolution qu'il représente en matière de... non pas d'effets spéciaux uniquement car ce serait trop réducteur, mais de création d'un autre autre monde. Simplement. On est juste dedans, on vit, on marche, on respire Pandora. Moquez-vous... mais regrettez aussi d'avoir été trop blasé pour le vivre ainsi, d'être passé à côté d'une expérience unique d'osmose entre un film et son public, pour peu que celui-ci soit suffisamment réceptif.
Car oui, c'est un film événement, et surtout un film qui captive, qui touche, qui émeut voire. Moi je l'ai vécu, plusieurs fois et de manière différente à chaque fois, comme la révolution qu'il représente en matière de... non pas d'effets spéciaux uniquement car ce serait trop réducteur, mais de création d'un autre autre monde. Simplement. On est juste dedans, on vit, on marche, on respire Pandora. Moquez-vous... mais regrettez aussi d'avoir été trop blasé pour le vivre ainsi, d'être passé à côté d'une expérience unique d'osmose entre un film et son public, pour peu que celui-ci soit suffisamment réceptif.
Batefer a dit :
Avatar est une féérie. Il faut le voir comme ça. Sa narration n'a pas besoin d'être complexe ou surprenante car sa richesse est ailleurs, et les surprises qu'il recèle ne se trouvent pas au détour d'un dialogue ou d'un coup de théatre mais dans la fabrique même de l'univers dans lequel il s'inscrit.
Avatar est une féérie. Il faut le voir comme ça. Sa narration n'a pas besoin d'être complexe ou surprenante car sa richesse est ailleurs, et les surprises qu'il recèle ne se trouvent pas au détour d'un dialogue ou d'un coup de théatre mais dans la fabrique même de l'univers dans lequel il s'inscrit.
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Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
Batefer
Baje a dit :
J'ai pas vu ta vidéo, mais je me souviens que Gans en avait très bien parlé sur une autre vidéo que j'ai vu.
J'ai pas vu ta vidéo, mais je me souviens que Gans en avait très bien parlé sur une autre vidéo que j'ai vu.
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je parles pas au cons sa les instruits
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