Pire que The French Dispatch. Jamais vu un artiste autant tourner en rond dans son oeuvre et lui retirer tout ce qui faisait son charme. Être témoin des troubles obsessionnels d'un metteur en scène pendant plus d'une heure et demi est devenu une véritable torture avec Anderson. L'émoussement affectif des personnages donne la nausée. Agréable moment de lucidité dans cette auto-dévoration à la fin du film où les personnages, comme nous, tombent dans un profond sommeil dans les gradins. Une horreur.
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