Si Norton se perd souvent dans son enquête et échoue à la rendre captivante de bout en bout, chaque fois qu'il en sort pour s'intéresser aux personnages, à l'humain, c'est merveilleux. Ces pauses, ces instants-là, sont sublimes et on trouve de nombreux moments de grâce. Norton aime ses personnages, il aime ses acteurs, et vraiment, c'est beau.
![Cliquer pour citer ce paragraphe. Cliquez à nouveau pour aller sur la saisie d'un nouveau message](engine/grafts/subfactory2018/images/qq.png)
Norton, lui, est immense. Aussi bien devant la caméra que derrière. Peut-être est-ce là le meilleur moyen pour voir ce casse-bonbon snob de première véritablement s'épanouir et nous réjouir : qu'il n'aie aucun dos à poignarder en se mettant lui-même en scène.
![Cliquer pour citer ce paragraphe. Cliquez à nouveau pour aller sur la saisie d'un nouveau message](engine/grafts/subfactory2018/images/qq.png)
C'est pas le plus grand film noir de l'histoire, notamment à cause de cette enquête qui finit par lasser et par paraître très longue (ce gloubiboulga qui part dans tous les sens ressemble parfois à du sous Inherent Vice) mais c'est du grand cinéma qui fait du bien.
![Cliquer pour citer ce paragraphe. Cliquez à nouveau pour aller sur la saisie d'un nouveau message](engine/grafts/subfactory2018/images/qq.png)
--
J'AIME FINALLY
Holding out for a hero ?
J'AIME FINALLY
Holding out for a hero ?