Également présentée aux MIPDrama Screenings, ainsi qu'au festival Séries Mania, Herrens Veje (titre international : Ride Upon The Storm), nouvelle série danoise du créateur de Borgen.
Adam Price (Borgen), le créateur lauréat de plusieurs BAFTAs, s’intéresse ici à la foi et à la religion, et à leur impact sur le quotidien de chacun.Inspirée de récits tirés de la Bible, l’histoire est celle de la famille Krogh, une famille de prêtres dont les origines remontent à plus de 250 ans, aujourd’hui composée de Johannes (Lars Mikkelsen), Elisabeth (Ann Eleonora Jørgensen, The Killing) et leurs deux fils, August (Morten Hee Andersen) et Christian (Simon Sears).En tant que prêtre et père de famille, Johannes se comporte avec ses deux fils en véritable Dieu : il est celui qui donne, celui qui reprend, celui qui aime et qui punit. August parce qu’il est le favori de son père et Christian parce qu’il ne fait rien d’autre que le décevoir n’ont malheureusement pas d’autres choix que de chercher soit à mériter son amour, soit à l’empêcher d’avoir le plein contrôle sur leurs vies.Entre possibles rédemptions, confrontations et conflits, les religions du monde sont ici abordées de façon sensible au travers d’un drame intime et familial. Ride Upon the Storm explore le bien et le mal, le cheminement spirituel de chacun vers la découverte de soi et du sens à donner à sa vie, car, même au cœur de la tempête, chacun croit ou souhaite croire toujours en quelque chose.
2 saisons - 10x 60’ chacune
Casting: Lars Mikkelsen, Ann Eleonora Jørgensen, Simon Sears, Morten Hee Andersen
Auteurs: Adam Price, Karina Dam, Poul Berg
Réalisateur “conceptuel” : Kaspar Munk
Diffusion: DR1 / ARTE (sans doute en 2018)
-- « Caféine et nicotine sont les deux mamelles du sous-titrage. »
*édité à 08:25 le 29/05/2017
1.00
Message n° 4238374, posté par Caféine à 19:05 le 29/05/2017
Série australienne Dans la saison 1, les frères Banks, l’un journaliste web et l’autre hacker, tentaient de déjouer un vaste complot lié aux biotechnologies. Désormais menacés d’extradition par le gouvernement australien, Ned et Jesse se voient proposer un marché : la liberté en échange de leur collaboration pour coincer Jan Roth, le roi du darknet…
Arte diffusera la saison 2 de The Code à partir du jeudi 22 juin.
-- « Caféine et nicotine sont les deux mamelles du sous-titrage. »
*édité à 19:33 le 29/05/2017
Message n° 4238401, posté par Strawberry à 22:38 le 29/05/2017
: Manon 20 ans, la suite de 3 x Manon, sera diffusée par Arte à partir du jeudi 1er juin.
Manon a désormais 20 ans, un BTS de mécanique en poche, et un compagnon, le premier. Entre le travail et l’amour, Manon espère, fonce, se trompe, réussit, se casse la figure, résiste, toujours avec sa force de vie exceptionnelle, sa rage et sa violence qui menacent brusquement de jaillir quand les injustices sont trop fortes pour elle.
: je pense que je l'ai déjà mentionné à l'occasion de la sortie de la bouse série sur oj, ce documentaire est magistral.
Vu les deux premières partis hier soir, super. Un espèce de malaise indicible tout le long. J'ai pas eu la foi de me taper le reste pour pas me gâcher la nuit plus que que ça, mais je crois que j'ai rêvé de buter toute la clique d'avocat de O.J, surtout le grand maigre qui se comporte comme un pimp là, putain le cynisme de ce mec, ca produit de la haine.
*édité à 11:11 le 09/07/2017
Message n° 4243381, posté par mort5 à 20:02 le 09/07/2017
: Vu les deux premières partis hier soir, super. Un espèce de malaise indicible tout le long. J'ai pas eu la foi de me taper le reste pour pas me gâcher la nuit plus que que ça, mais je crois que j'ai rêvé de buter toute la clique d'avocat de O.J, surtout le grand maigre qui se comporte comme un pimp là, putain le cynisme de ce mec, ca produit de la haine.
Il me reste les parties 4 et 5 à voir.Mais de ce que tu dis, il faut voir les deux premiers parties pour comprendre.La défense des avocats de OJ est basé la dessus. Toutes les injustices et autres bavures subit par les Noirs par une police raciste. Choses qui sont montrés dans les deux premiers épisodes.On comprend mieux pourquoi ils ont choisis cette défense. Ils ont eu toute la communauté Noire derrière eux.
Message n° 4243886, posté par Rod à 13:55 le 13/07/2017
J'ai voulu récupérer les episodes de Forbrydelsen qui seront diffusés ce soir avec Captvty mais je ne trouve pas la version originale, quelqu'un sait si elle sera disponible ?
-- "Blood and bloody ashes !" "At my age, if I make it up, it is still an old saying."
*édité à 13:56 le 13/07/2017
0.30
Message n° 4243888, posté par Caféine à 14:12 le 13/07/2017
Série danoise dont un remake US pas terrible (Feed The Beast) a été diffusé l'été dernier.
À la suite de la mort de sa femme, Thomas, sommelier de talent et alcoolique repenti, passe ses journées au lit. Dion, qui fut un grand chef dans une autre vie, sort de prison, attendu par la mafia locale. Pour s’en sortir, les deux amis d’enfance s’associent pour monter un restaurant.
« Une comédie pince-sans-rire construite autour de personnages attachants. »
Bankerot arrive (enfin) sur Arte, à partir du 31 août à 20 h 55, puis sur Arte+7 ou via captvty (sortie du coffret DVD le 6 septembre).
-- « Caféine et nicotine sont les deux mamelles du sous-titrage. »
*édité à 15:44 le 11/08/2017
Message n° 4246690, posté par niteowl à 18:04 le 11/08/2017
Arte va rediffuser le splendide et excellent Wolf Hall les 17 août et 24 août à 20 h 55 (2 x 3 épisodes, en VM).
Angleterre, 1529. Henri VIII tente désespérément de faire dissoudre par le pape son mariage avec Catherine d'Aragon — jugée incapable de lui assurer une descendance mâle —, afin d'épouser Anne Boleyn. Ayant échoué à faire aboutir les tractations, le cardinal Wolsey, tombé en disgrâce, ne compte qu'un seul allié : son homme de confiance, l'avocat Thomas Cromwell. Ce dernier plaide la cause de son maître auprès du roi, qui ne tarde pas à remarquer ses qualités de stratège.Connu pour ses fictions géopolitiques (Le Serment, Warriors), Peter Kosminsky s'approprie, de manière virtuose, une page d'histoire abondamment traitée par la fiction anglaise. Il transcende l'exercice du film en costume, pour réaliser une saga intemporelle sur le pouvoir. Sous des dehors classiques, cet exercice codifié recèle la nervosité et la tension d'un thriller psychologique, et s'impose tout autant comme le portrait d'une époque que d'un homme devenu un pivot de la Réforme. La justesse des dialogues — écrits par Peter Straughan — est pour beaucoup dans la fascination exercée par ce jeu d'échecs au sommet de l'Etat, où soufflent l'esprit de Machiavel, de Shakespeare, mais aussi du Parrain ou de House of cards.Loin des clichés habituellement accolés à son personnage, Henri VIII se révèle ici plus nuancé et ambigu que dans l'historiographie officielle. Surtout, Cromwell fascine de bout en bout. Grand acteur shakespearien, Mark Rylance compose un personnage tout en retenue, à la fois mélancolique, impassible, capable de fidélité mais aussi de froids calculs. Une figure insaisissable, dont l'ascension, dans ces premiers épisodes, passionne d'autant plus qu'elle suscite des sentiments contradictoires.— Hélène Marzolf (Télérama)
-- « Caféine et nicotine sont les deux mamelles du sous-titrage. »
Message n° 4247698, posté par Caféine à 15:16 le 23/08/2017