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[Spoiler] La trêve 110
Sujet n°48007 créé le 26/04/2016 à 14:26 par Skynet - Vu 1555 fois par 369 utilisateurs
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12.58
J'ai beaucoup aimé. C'est glauque comme ce que la série dépeint. La reproduction du milieu du foot petits pro, ses enjeux humains et financiers.
Je ne regrette qu'une chose, la découverte de l'indice pour démasquer le coupable.Encore une fois, si l'enquêteur ne vivait pas avec le coupable. Il serait passé à côté.Toute l'enquête est bien menée, le conflit hiérarchique, mais c'est le hasard qui donne la solution.
Caféine
La Trêve s'est vu décerner le prix de la meilleure série francophone par le jury de la presse internationale du dernier festival Séries Mania.
Ce jury était composé de journalistes de The Guardian (Royaume-Uni), Der Spiegel (Allemagne), Le Temps (Suisse), Aftonbladet (Suède) et Cambio 16 (Espagne).
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« Caféine et nicotine sont les deux mamelles du sous-titrage. »
« Caféine et nicotine sont les deux mamelles du sous-titrage. »
niteowl
alors il y a des gays, des lesbiennes, de l'inceste, du bondage, un flic camé, du racisme, du néonazi, de la psychanalyse, des mafia, de la politique, de la semi-écologie, du flic au passé trouble, du parent célibataire, du bon beauf footeux, et j'en passe, le tout mouliné n'importe comment en 10 épisodes tous plus banals les uns que les autres.
Caféine
niteowl a dit
alors il y a des gays, des lesbiennes, de l'inceste, du bondage, un flic camé, du racisme, du néonazi, de la psychanalyse, des mafia, de la politique, de la semi-écologie, du flic au passé trouble, du parent célibataire, du bon beauf footeux, et j'en passe, le tout mouliné n'importe comment en 10 épisodes tous plus banals les uns que les autres.
le 26/04/2016 à 18:13
:alors il y a des gays, des lesbiennes, de l'inceste, du bondage, un flic camé, du racisme, du néonazi, de la psychanalyse, des mafia, de la politique, de la semi-écologie, du flic au passé trouble, du parent célibataire, du bon beauf footeux, et j'en passe, le tout mouliné n'importe comment en 10 épisodes tous plus banals les uns que les autres.
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« Caféine et nicotine sont les deux mamelles du sous-titrage. »
« Caféine et nicotine sont les deux mamelles du sous-titrage. »
niteowl
je ne vois absolument pas où est l'avancée, mais je ne suis pas spécialiste en tv francophone. je regarde quasiment rien et j'avais été extrêmement déçue par 'cordon', autre chose belge qui commençait bien et partait en javel très vite.
je veux bien du glauque, je ne suis absolument pas bégueule ni facilement choquée, mais en général les scénaristes s'en tiennent à un thème (ou manière de vivre qualifiée de glauque).
là c'est trop. vraiment trop. en plus on ne peut dire que c'est crédible, par rapport au pourcentage de la population vu que ça se passe dans un semi-patelin de 10 personnes.
je ne me suis pas ennuyée non plus, vu que j'étais tellement agacée !! et j'ajouterais que, desservis par un tel script, les acteurs ne font pas des étincelles non plus. ils sont de bois au début, quand ils ne doivent pas dévoiler les faces 'sombres' de leurs personnages, puis outranciers au fur et à mesure qu'avancent les épisodes, quand les démons se réveillent. on dirait des gargouilles, tellement ils grimacent.
12.58
Élément de différentiation : la victime est un jeune black. Le spectateur va passer 10 épisodes confrontés à ses préjugés. Peut-être pas révolutionnaire mais c'est un pari osé. Cette série participe à la "formation" d'un public peu bousculé par le reste de ce qu'il voit.
Quand j'ai regardé la trêve, je n'ai pas fait de distingo, série belge, série française. Les 2 publics visionnent à peu près les mêmes choses en français. (sauf erreur de ma part).
Pour comparer, j'ai noté "6" (fair) : Fortitude, Malaterraet "7" à Broadchurch qui a initié le cycle.
niteowl
12.58 a dit
Élément de différentiation : la victime est un jeune black. Le spectateur va passer 10 épisodes confrontés à ses préjugés. Peut-être pas révolutionnaire mais c'est un pari osé. Cette série participe à la "formation" d'un public peu bousculé par le reste de ce qu'il voit.
le 27/04/2016 à 16:05
:Élément de différentiation : la victime est un jeune black. Le spectateur va passer 10 épisodes confrontés à ses préjugés. Peut-être pas révolutionnaire mais c'est un pari osé. Cette série participe à la "formation" d'un public peu bousculé par le reste de ce qu'il voit.
pas d'accord du tout. rien rien rien dans cette série ne fait réfléchir, et surtout pas le fait que la victime soit black. rien. c'est caricature sur caricature, c'est tout.
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