Finally
[Spoiler] The 100 310
Sujet n°47857 créé le 08/04/2016 à 19:25 par Skynet - Vu 9043 fois par 1956 utilisateurs
liloboot
Parthénope a dit
Dieu, ce que vous êtes chiants avec votre discussion à deux balles
le 10/04/2016 à 22:52
:Dieu, ce que vous êtes chiants avec votre discussion à deux balles
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Rock 'n' roll.
Rock 'n' roll.
Pliskin
Finally a dit
Oh oh oh. Me fais pas ressortir des vieilles quotes.
le 10/04/2016 à 22:27
:Oh oh oh. Me fais pas ressortir des vieilles quotes.
Finally a dit
En plus, tu passes à côté de ce que j'essaie de dire : que ce n'est pas parce que ce sont des mots que ce n'est pas important, que c'est négligeable.
le 10/04/2016 à 22:27
:En plus, tu passes à côté de ce que j'essaie de dire : que ce n'est pas parce que ce sont des mots que ce n'est pas important, que c'est négligeable.
Finally a dit
Il faut être prudent avec les mots.
le 10/04/2016 à 22:27
:Il faut être prudent avec les mots.
Oui non mais là c'est deux trucs différents.On insultait des personnages fictifs, donc le débat amorcé par Merci (et toi) portait sur les mots uniquement.Mais quand il s'agit d'insulter une personne en face de toi, y a quand même une dimension supplémentaire.
Et je sais très bien que les mots ne sont pas insignifiants (les personnages fictifs le sont, eux). Mais je choisis de les utiliser quand même.
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Let go your earthly tether. Enter the Void. Empty and become wind.
Let go your earthly tether. Enter the Void. Empty and become wind.
liloboot
Finally a dit
Starfoula, au moins, respecte la laïcité du topic public.
le 10/04/2016 à 22:56
:Starfoula, au moins, respecte la laïcité du topic public.
Ceci est d'une bassesse innommable. Je le note dans la colonne « attaques personnelles » pour mon powerpoint fixé aux calendes grecques.
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Rock 'n' roll.
Rock 'n' roll.
Quisquilian
Pliskin a dit
Et je sais très bien que les mots ne sont pas insignifiants (les personnages fictifs le sont, eux). Mais je choisis de les utiliser quand même.
le 10/04/2016 à 22:58
:Et je sais très bien que les mots ne sont pas insignifiants (les personnages fictifs le sont, eux). Mais je choisis de les utiliser quand même.
Des personnages de fiction qui évoluent qui plus est dans un univers totalement "dégenré", si je puis dire. Les postures d'arrière-garde de mecs comme Finally et Merci entretiennent de la manière la plus pernicieuse qui soit un sexisme totalement gerbant. Heureusement qu'on est là.
Finally
liloboot a dit
Ceci est d'une bassesse innommable. Je le note dans la colonne « attaques personnelles » pour mon powerpoint fixé aux calendes grecques.
le 10/04/2016 à 23:05
:Ceci est d'une bassesse innommable. Je le note dans la colonne « attaques personnelles » pour mon powerpoint fixé aux calendes grecques.
Quisquilian a dit
Des personnages de fiction qui évoluent qui plus est dans un univers totalement "dégenré", si je puis dire. Les postures d'arrière-garde de mecs comme Finally et Merci entretiennent de la manière la plus pernicieuse qui soit un sexisme totalement gerbant. Heureusement qu'on est là.
le 10/04/2016 à 23:06
:Des personnages de fiction qui évoluent qui plus est dans un univers totalement "dégenré", si je puis dire. Les postures d'arrière-garde de mecs comme Finally et Merci entretiennent de la manière la plus pernicieuse qui soit un sexisme totalement gerbant. Heureusement qu'on est là.
En ce qui concerne la série, tu n'as pas du bien lire ce que j'ai dit - qui plus est dans ce topic, où je ne parle pas de la série.
Si les structures sociales sont a-genrées dans cet univers, il a été question du caractère sexuel des insultes faites aux femmes dans ce thread, puis du fait que non, un mot n'est pas rien.
Et je veux bien que tu ne sois pas d'accord, mais que j'entretienne, de cette façon-là, en tout cas, un quelconque sexisme, faut quand même pas abuser.
*édité à 23:27 le 10/04/2016
Quisquilian
Finally a dit
Et je veux bien que tu ne sois pas d'accord, mais que j'entretienne, de cette façon-là, en tout cas, un quelconque sexisme, faut quand même pas abuser.
le 10/04/2016 à 23:26
:Et je veux bien que tu ne sois pas d'accord, mais que j'entretienne, de cette façon-là, en tout cas, un quelconque sexisme, faut quand même pas abuser.
C'est toi et tes potes nouveaux réacs qui chargez le terme d'un caractère sexuel pour mieux asseoir votre posture supposément progressiste, car après tout ces pauvres petites créatures fragiles ont besoin de mâles dominants pour voler à leur secours, on le sait tous.
Finally
Quisquilian a dit
C'est toi et tes potes nouveaux réacs qui chargez le terme d'un caractère sexuel pour mieux asseoir votre posture supposément progressiste, car après tout ces pauvres petites créatures fragiles ont besoin de mâles dominants pour voler à leur secours, on le sait tous.
le 10/04/2016 à 23:56
:C'est toi et tes potes nouveaux réacs qui chargez le terme d'un caractère sexuel pour mieux asseoir votre posture supposément progressiste, car après tout ces pauvres petites créatures fragiles ont besoin de mâles dominants pour voler à leur secours, on le sait tous.
2/ Le langage et la langue ne sont pas figés. Je n'étais pas né que déjà le mot "salope" avait ce sens :
FAMILIER- Femme facile, femme de mauvaise vie, qui recherche le plaisir sexuel.- Injure désignant une femme méprisée, détestée à cause de son comportement.- Terme méprisant utilisé à l’endroit d’un homme afin de l’attaquer dans sa virilité ou dans sa droiture.
Ton argument selon lequel ce mot a aussi un autre sens ne tient pas, dans la mesure où l'usage majoritaire en retient l'aspect sexuel.
3/ Quand bien même, il y a des insultes qui m'apparaissent sans équivoque comme "pute", "pouffiasse", etc.
4/ J'ignore ce qui t'arrive avec le mot réac, mais pour le coup, il n'a pas le sens que tu lui prêtes ce soir, et tu le sais pertinemment.
5/ Je ne vole au secours de personne, au mieux je répète le discours conçu par les penseuses du féminisme intersectionnel comme Kimberlé Crenshaw ou du féminisme radical telle que Christine Delphy ou Andrea Dworkin. Et avant qu'on en arrive là : non, ce n'est pas parce que je les cite que je suis nécessairement d'accord, en partie ou sur tout, avec elles.
6/ Je te sens beaucoup dérangé par la mise en cause du terme "salope". Ce n'est pas l'objet. L'objet, c'est le questionnement du langage en général et comment il traduit un rapport de domination, qu'il soit entre sexes, entre genres, entre races, entre classes, comment il produit et renforce ce rapport de domination.Ces thèses-là ne sont pas développées par mes "amis néo-réac", bien au contraire.Et pour le coup, dans les théoriciens du langage, comme Chomsky à notre époque, ou Wittgenstein, Orwell, en remontant jusqu'à Aristote, s'il y a bien un consensus, c'est sur le pouvoir des mots, et que rapidement, même en dehors de toute problématique de système, le déséquilibre s'installe entre deux seuls interlocuteurs, comme dans ce cadre, sur ce sujet, ce soir, entre toi et moi, où tu pratiques la dérision et la malhonnêteté intellectuelle, le dévoiement sémantique sournois, jusqu'à me prêter des propos que je n'ai jamais tenus, des idées que je n'ai jamais promues, processus rhétorique par lequel je suis immédiatement mis en position de soumission.
Mais rassure-toi, je n'ai pas la vocation d'empêcher qui que ce soit d'utiliser quelque mot que ce soit. J'utilise moi-même, tu dois t'en douter, les mots "salope" ou "putain" quotidiennement. Et considérant l'état d'inertie conservatrice, voire la tendance réactionnaire (et la vraie réaction, pas je ne sais quelle définition tu y mets ce soir) des sociétés modernes en général, je dirais que tu seras déjà mort depuis longtemps d'ici à ce que "salope" devienne désuet, parce que ce langage là ne correspondra plus à une situation indéniable d'oppression systémique.
Pour que le discours que je porte, sans que j'ai jamais dit que j'y adhérais, par ailleurs, puisse être qualifié de réactionnaire, comme tu sembles très attaché à le faire, il faudrait qu'il y eût un moment dans l'Histoire où la société fut organisée sans oppressions systémiques, du moins sans oppressions de sexe ou de genre, et que nous voulions y retourner. Être réactionnaire, c'est s'opposer au progrès, au changement. Les oppressions constituées par des rapports de domination, même au travers du langage, sont ce que les réactionnaires veulent préserver. Opinions qui sont majoritaires actuellement v(même ici visiblement, la majorité est sur ta ligne sur ce sujet, comme tu peux le constater, sinon indifférente), et les "avant-gardistes" qui trouvent comme toi qu'on en fait beaucoup trop sur des sujets de pacotille comme l'oppression ou l'agression à travers le langage, ont plutôt tendance à se retrouver dans les mouvements préférés d'Homereb, et à côtoyer des types charmants comme Eric Zemmour, Renaud Camus, Elisabeth Lévy, Finkielkraut, etc, en France. En gros, des types qui passent leur vie à la télé depuis dix ans, mais trouvent qu'ils sont beaucoup plus silenciés que ceux qu'ils oppressent.
C'est le sens, et le seul, qu'a ce mot, et cette fois, c'est sans équivoque. Et je n'ai pas connaissance d'un tel état de la société dans l'histoire, où les privilèges et les rapports de domination aient été abolis.
Tu sembles bien énervé ou chauffé par ce sujet, si j'en crois tes récentes interventions et les différents qualificatifs déplaisants que tu utilises à mon égard, entre "dictateur", "réactionnaire", "arrière-garde", "nazi", ou que sais-je. Donc que les choses soient claires, si possible :
2/ La seule chose que je promeus ici est la méthode déconstructionniste, qui consiste à questionner chaque aspect de l'organisation instituée et le système établi, et donc à discuter. Le seul que je vois ici, sur ce sujet particulier, vouloir empêcher la discussion, soit en disqualifiant tout bien-fondé du discours par des accusations douteuses, soit par le pourrissement de l'échange en utilisant des pirouettes rhétoriques, certes jolies, mais pirouettes quand même, et imposer quelque chose, à savoir, la fin de la discussion sur ce sujet (qui il est vrai n'a pas sa place ici et a été initié de manière totalement déplacée), ainsi que sa vérité personnelle, à l'encontre quand même de deux-trois faits objectifs, c'est toi.C'est intéressant, parce que je retrouve quelques thèmes du fameux débat sur Charlie et sur la laïcité où je deviens le dictateur puisque je veux favoriser la liberté maximum pour tous, tandis qu'imposer son idée de la Vérité passe pour le nec plus ultra des convictions libertaires de gauche. Si tu veux de la liberté sans compromis, l'absence de toute censure, et donc le droit d'utiliser à loisir les mots et les idées que tu veux, préoccupations et désirs que je rejoins sans concession, tu ne dois pas négliger le droit des autres à pouvoir te répondre et te questionner, sinon, car dans le cas contraire, c'est cela que l'on appelle le despotisme.
3/ Pour moi, c'est le point le plus important : je te le dis sans méchanceté, cette attitude qui consiste à déformer à peu près tout ce qui est dit sur le sujet et à faire des procès d'intention infondés commence à devenir vachement blessante.
4/ Pour finir, je ne vole au secours de personne. Il y a des choses différentes, et spécifiques, mais en terme de principe sur le discours, quand j'entends qu'on utilise la folie à tort et à travers pour expliquer des actes immondes pourtant délibérés en toute conscience ou qu'on traite des personnes qui ne le sont pas d' "autistes", de "schizo", pour les mettre en cause dans leurs actes de manière négatives etc, ça me fait chier, je crois que tu n'imagines même pas ; de même pour les questions de fluidité des genres, particulièrement au bureau ; deux choses par lesquelles je suis touché directement. Alors, oui, j'arrive à comprendre un peu le combat féministe sur ce sujet, sans pour autant que ça m'empêche d'être d'accord avec Liloboot ou toi sur la censure à laquelle on ne doit laisser aucun terrain, et penser que le combat direct sur les mots n'est pas nécessairement de "première urgence".
*édité à 04:59 le 11/04/2016
Quisquilian
C'est con pour toi (et cool pour moi, il plus court), j'ai choisi de lire ton message sur le topic des heures avant de passer ici. Maintenant que je sais que les journalistes sont des cancrelats, je pense que j'en sais assez sur ta manière de penser. Et elle ne m'intéresse pas, sorry.
*édité à 08:37 le 11/04/2016
Finally
Quisquilian a dit
C'est con pour toi (et cool pour moi, il plus court), j'ai choisi de lire ton message sur le topic des heures avant de passer ici. Maintenant que je sais que les journalistes sont des cancrelats, je pense que j'en sais assez sur ta manière de penser. Et elle ne m'intéresse pas, sorry.
le 11/04/2016 à 08:03
:C'est con pour toi (et cool pour moi, il plus court), j'ai choisi de lire ton message sur le topic des heures avant de passer ici. Maintenant que je sais que les journalistes sont des cancrelats, je pense que j'en sais assez sur ta manière de penser. Et elle ne m'intéresse pas, sorry.
Les journalistes politiques du Figaro, de l'Express, du Point, de BFM, je ne parle pas d'autre chose, et tu le sais très bien.
Finally
Quisquilian a dit
Ah pardon, je pensais que les mots avaient un sens.
le 11/04/2016 à 10:09
:Ah pardon, je pensais que les mots avaient un sens.
On parlait avec Bonakor, lui même journaliste, du traitement de l'information au sujet du Mouvement Nuit Debout par les grand médias nationaux.
Vu le nombre d'articles que je partage, en plus, et ce que tu sais de moi, que tu puisses penser que j'insulte un tel genre de métier dans son ensemble de manière catégorique, me laisse franchement perplexe.
Merci
Pliskin a dit
Et je sais très bien que les mots ne sont pas insignifiants (les personnages fictifs le sont, eux). Mais je choisis de les utiliser quand même.
le 10/04/2016 à 22:58
:Et je sais très bien que les mots ne sont pas insignifiants (les personnages fictifs le sont, eux). Mais je choisis de les utiliser quand même.
En tant qu'humain - comme toi d'ailleurs, tu es aussi un humain - ça me fait souffrir.Si tu arrêtes, est-ce que ça va te frustrer réellement ? Ça vaut le coup d'arrêter non ? Pour ne plus faire souffrir un de tes semblables ? <3
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