un mec achète d'occase un barbecue, . c'est tellement délirant, incroyable au sens propre, et ce qui se passe après est horrible. pas gore, mais horrible. je vous laisse découvrir les usa profonds. ((sous réserve que bien sûr le documentariste n'en ait pas rajouté une couche)).
c'est drôle et effroyable à la fois.
*édité à 14:12 le 30/12/2015
Message n° 4137554, posté par Tobias à 19:20 le 05/01/2016
Wow, c'était prenant ! Didactique comme il faut malgré les tonnes d'éléments qui s'accumulent tout au long de l'histoire.J'ai démarré The Jinx du coup, qui est souvent cité en comparaison. Tout aussi intrigant.
-- Television is a goddamned amusement park !
*édité à 19:21 le 05/01/2016
Message n° 4137666, posté par Caféine à 00:33 le 06/01/2016
: Wow, c'était prenant ! Didactique comme il faut malgré les tonnes d'éléments qui s'accumulent tout au long de l'histoire.J'ai démarré The Jinx du coup, qui est souvent cité en comparaison. Tout aussi intrigant.
Making a Murderer, c'est dans ma pile "à voir". The Jinx, j'avais hésité. Tiens-nous au courant, qu'on sache si ça vaut le coup.
-- « Caféine et nicotine sont les deux mamelles du sous-titrage. »
Message n° 4137743, posté par niteowl à 10:48 le 06/01/2016
on ne peut absolument pas comparer les deux. l'un est un docu fait sur la base de quelques heures d'interview avec le 'héros' et est extrêmement racoleur (selon moi).
l'autre est un travail de plusieurs années et est beaucoup plus fouillé.
dans un cas comme dans l'autre je me sens toujours 'voyeur' en regardant ce genre de trucs. making a murderer est un crève-coeur.
0.28
Message n° 4137770, posté par Caféine à 12:58 le 06/01/2016
: on ne peut absolument pas comparer les deux. l'un est un docu fait sur la base de quelques heures d'interview avec le 'héros' et est extrêmement racoleur (selon moi).
Je suis assez d'accord (j'ai vu trois épisodes jusqu'ici) même si j'irai pas jusqu'à dire que c'est racoleur. C'est vrai que c'est tout de suite plus classique que Making a murderer, avec des reconstitutions dont je vois pas trop l'intérêt. Reste le personnage principal qui est quand même assez fascinant.
: Je suis assez d'accord (j'ai vu trois épisodes jusqu'ici) même si j'irai pas jusqu'à dire que c'est racoleur. C'est vrai que c'est tout de suite plus classique que Making a murderer, avec des reconstitutions dont je vois pas trop l'intérêt. Reste le personnage principal qui est quand même assez fascinant.
fascinant ? je pense que c'est ça qui m'a gênée. super friqué psychopathe... bien qu'il soit profondément antipathique j'avais l'impression de m'immiscer dans sa vie et sa vie ne m'intéresse pas.
mais voir le mal fait par des gens hautement riches, ça fait vendre. c'est en ça que je l'ai trouvé racoleur. et puis
j'ai regardé parce que c'était recommandé de toutes parts, et franchement déçue.
Message n° 4139402, posté par Tobias à 18:38 le 11/01/2016
: fascinant ? je pense que c'est ça qui m'a gênée. super friqué psychopathe... bien qu'il soit profondément antipathique j'avais l'impression de m'immiscer dans sa vie et sa vie ne m'intéresse pas.
Effectivement après avoir vu les deux derniers épisodes, ça bascule un peu trop dans le sensationnel. Mais au delà de la fortune du mec, je trouvais intéressant de voir son cheminement personnel pour en arriver là, et j'avoue que je suis un peu resté sur ma faim à ce niveau-là.
Where to Invade Next (2015) : Jabba au pays de Oui-Oui. A la fois intéressant, horripilant, trop long (2 h !) et inutile. Michael Moore à son plus bas.
-- Life is too short to spend two hours in a state of total exasperation.
*édité à 08:26 le 01/05/2016
Message n° 4193746, posté par Tobias à 19:41 le 26/09/2016
Un hommage groovy et jubilatoire à Nile Rodgers, l'éternel jeune homme, guitariste et producteur, qui enflamme les dancefloors depuis trois générations, de Chic à Daft Punk en passant par Bowie et Madonna.
Je peux pas mieux dire.
Ses morceaux ne sont pas forcément à mon goût, mais je me suis aperçue que je les connaissais presque tous (et pour cause).
-- « Caféine et nicotine sont les deux mamelles du sous-titrage. »
Message n° 4194579, posté par sspielberg à 17:07 le 30/09/2016
À voix haute raconte la préparation d’un groupe d’étudiants au concours Eloquentia organisé par l’Université Paris 8, qui depuis quatre ans, élit « le meilleur orateur de Seine-Saint-Denis ». Pendant six semaines, les étudiants intéressés sont formés et initiés à la joute oratoire par des avocats, des slameurs et des metteurs en scène.
Positif et concret, c'est passionnant, jubilatoire, émouvant, et j'en passe.Award perso du Best Feel good documentary ever, même si ça m'a foutu la chiale à quelques reprises.
Diffusé dans Infrarouge sur France 2 le 15 novembre dernier, le doc est accessible en replay sur le site de l'émission et sur You Tube jusqu'au 22.
-- « Caféine et nicotine sont les deux mamelles du sous-titrage. »
Message n° 4203225, posté par koni à 09:30 le 20/11/2016