Beaucoup de choses restent encore à éclaircir.
Heureusement, la surprise finale m'a reveillée, un peu. Car pour le reste, je me suis bien ennuyée.
Dans une série policière, on n'aurait jamais su qui avait commis le viol.
Le policier est au dessus de tout soupçon, preuve ou autre fait psychologique. Rien ne mène à lui.
Mauvais point de départ que le coupable soit dévoilé par une hallucination et que ça reste inexpliqué pendant 10 épisodes.
C'est pas parce qu'on arrête les médocs qu'on devient Sherlock Holmes.
Jai cru à un moment qu'elle allait vraiment avorter. C'était vraiment bien amené et ça collait bien à l'histoire mais ils se sont dégonflés. (ils, les scénaristes)
A priori, on avait les mêmes ressorts que dans "Big Love" et pas du tout le même résultat.
Série policière avec son lot de corruption et de magistrats verreux ou dénonciation des rouages d'une religion. Aucun des 2 aspects n'est vraiment convainquant ou alarmant.
Pernell se remet trop facilement de son passage mystique.
Encore une fois, s'il suffisait de prendre ses médocs...