Ni bien, ni mal, aucune personnalité.
C'est un cadeau, bien emballé, des couleurs chatoyantes, des paillettes et un joli noeud avec pas mal de petits trucs sympa épars à l'intérieur mais faut faire voler beaucoup de chips pour y arriver.
Le luxe, appréciable, n'arrive pas à masquer la faiblesse de l'écriture.
Ensuite, est-il facile d'écrire un truc cohérent quand le cahier des charges doit être une liste d'impératifs qui ressortent d'études de marchés multi-cibles et sur plusieurs pays ?
C'est pas la première, ni la dernière série construite pour être un objet publicitaire. Je n'ai rien contre, si je l'oublie en la regardant.
Pour comparer avec Da Vinci's demons, Tom Riley est plus convaincant. C'est dire...
Avec tous les défauts de Da Vinci's demons, le sabotage de ce personnage, il reste attachant.
Marco Polo, l'aventurier, est un prisonnier, dont on ne sait jamais les aspirations, ni s'il subit ou sublime sa condition.