La fin était risible à souhait, mais le trailer des épisodes précédents a fini de m'achever, j'en ai pleuré de rire.

Des personnages à baffer qui se ressemblent tous, un huis clos terriblement mal exploité, des dialogues longs et laborieux, et un grand n'importe quoi scientifique. Le problème, c'est que c'est trop sérieux pour être une bonne série horrifique, et c'est trop nawak pour prétendre avoir du sens.

Quand le Japonais a enlevé ses lentilles, j'ai su que c'était la fin des haricots. On nage en plein délire, c'est foutu. Ça peut peut-être encore passer comme série horrifico-comique, on verra.

C'est probablement le décalage entre ce que j'attendais et ce qu'on a pour de bon. Toute l'intro au CDC se veut quand même vachement carrée, et ça se délite progressivement au fur et à mesure.

Le 3e était sympa. Même si je me demande toujours qui déblaie la neige tout autour de la base.

La suite sera sans moi...

Des virus qui ressemblent à des vers, des personnages à chier, une intrigue à la con vue et revue digne du téléfilm annuel sur les infections et la fin du monde, des yeux blancs brillants de la mort "oh putain trop méga la classe quel twist", et autres conneries insupportables.J'en pouvais plus. Je sais pas comment j'ai tenu jusqu'au bout.

Cette déchéance de Moore. Dire que Virtuality avait beaucoup de potentiel à l'époque. Fucking Fox.

Oui d'accord, mais ça reste un filament d'ADN, donc en 3D rien à voir avec un ver.

Et puis, faudra me dire quel microscope ils utilisent pour voir de cette façon ^^

J'aime bien, mais ça me rappelle surtout l'épisode d'X-files avec le même pitch.

A voir si ça tient une saison entière.

Par contre, un type aggresif se balade dans la base et ils ont pas l'intelligence de rester en groupe. Ce point là me gêne beaucoup.

Trop forte, je me suis fait la même réflexion.Mais j'ai regardé sans déplaisir.