: Y'a quand même que des tops modèles masculins et féminins. Pour avoir visité la Louisiane, je peux vous dire que le tour de taille moyen est plus proche du 56 que du 36 fillette ;-)
Tu as dû mal regarder. La série est pleine de gros et de moches, même parfois chez les vampires (regarde le pote à Lafayette et la voisine qui crame au soleil).
Dans True Blood, les "belles personnes" sont, le plus souvent, des êtres surnaturels. Il y a un humain taillé comme un dieu, mais il a un QI de poulpe.
Réaliste !
-- Life is too short to spend two hours in a state of total exasperation.
Message n° 3202056, posté par Medieval à 18:31 le 16/04/2012
: Tu as dû mal regarder. La série est pleine de gros et de moches, même parfois chez les vampires (regarde le pote à Lafayette et la voisine qui crame au soleil).
Le "boy friend" de Lafayette est pas mal. C'est quoi ce sectarisme ? Perso, j'ai un faible pour le loup mal rasé et bien sûr Eric.
-- "Un peuple n'a qu'un ennemi dangereux, son gouvernement." Saint-Just
Message n° 3202058, posté par ricorod à 18:33 le 16/04/2012
La partie sur les plans large c'est franchement nimp. Chercher du sens dans tout et n'importe quoi, c'est lourd et franchement inutile. La partie sur les lego et la saison 2 c'est le summum. Je suis bien heureux de plus jamais avoir à faire de sémiologie et toutes ces matières qui partent dans le nawak 80% du temps.
: La partie sur les plans large c'est franchement nimp. Chercher du sens dans tout et n'importe quoi, c'est lourd et franchement inutile. La partie sur les lego et la saison 2 c'est le summum. Je suis bien heureux de plus jamais avoir à faire de sémiologie et toutes ces matières qui partent dans le nawak 80% du temps.
Pour le coup, comme ancien étudiant et comme prof, je pense exactement l'inverse. Si l'on reste sur The Wire, la série cherche clairement autre chose que le simple divertissement des masses et le créateur a une démarche artistique qu'il exprime dans ses choix cinématographiques.
En même temps, j'aime réfléchir sur "les objets". J'adore l’épistémologie de ma discipline par exemple.
-- "Un peuple n'a qu'un ennemi dangereux, son gouvernement." Saint-Just
Message n° 3216754, posté par tenia à 22:55 le 23/04/2012
Que t'aimes ou pas les États-Unis, leur politique, tout ce que tu veux, ce que tu t'apprêtais à balancer relève probablement d'un des exemples les plus flagrants de malhonnêteté intellectuelle.
*édité à 18:40 le 26/04/2012
Message n° 3221453, posté par Medieval à 19:07 le 26/04/2012
: Que t'aimes ou pas les États-Unis, leur politique, tout ce que tu veux, ce que tu t'apprêtais à balancer relève probablement d'un des exemples les plus flagrants de malhonnêteté intellectuelle.
Il n'y a qu'une réponse de tenia qui puisse lever le doute^^
-- "Un peuple n'a qu'un ennemi dangereux, son gouvernement." Saint-Just
Message n° 3405479, posté par faker à 03:03 le 27/09/2012
Depuis 1 an, les éditeurs ont enfin pris la mesure et l’intérêt des séries US. On a souvent une photo totalement inutile d’une série merdique comme NCIS ou les Experts N’importe Où mais surtout on a cette carte qui est une simplification d’une carte de l’Atlas des Mondialisations:
Juste pour preciser qu'en 2004, j'avais deja une carte de ce type (serie) dans mon livre d'histoire géo....
Message n° 3406024, posté par Medieval à 16:20 le 27/09/2012
: Juste pour preciser qu'en 2004, j'avais deja une carte de ce type (serie) dans mon livre d'histoire géo....
Heureusement que dans le monde de l'édition des manuels scolaires, il existe des visionnaires. Ma remarque était surtout sur la généralisation, l'effet de mode si tu préfères.
Par curiosité, c'était un manuel de lycée ou de collège ?
-- "Un peuple n'a qu'un ennemi dangereux, son gouvernement." Saint-Just
Message n° 3406029, posté par faker à 16:26 le 27/09/2012
Petit up pour signaler le dernier numéro de Carto (magazine de géo très sérieux) :
"Les séries : enfin une bonne raison de regarder la télévision ! Il est impossible de les dénombrer tant elles sont nombreuses sur nos petits écrans. Mais elles sont devenues, depuis quelques années, un véritable phénomène de société, renvoyant dans leurs retranchements « théâtraux » Friends ou autres aventures comiques télévisées. La mode est à la géopolitique et les grandes chaînes l’ont bien compris. Les séries ont envahi la réalité, notre quotidien, s’inspirant de celui-ci pour expliquer le monde. Fière de son succès planétaire, Game of Thrones pourrait même nous aider à analyser les jeux de puissance au Moyen-Orient, entre l’Arabie saoudite (la famille Lannister pour les connaisseurs) et l’Iran (la maison Martell).Un langage qui parle à toutes et à tous. Soyons néanmoins prudents : transposer les complexités d’une région du monde à travers des événements médiévaux s’avère risqué. Plus contemporaine, Homeland a aussi montré les limites de la fiction tant les confusions sur le Moyen-Orient sont nombreuses dans cette série américaine au succès planétaire.Mais les séries sont là et, reconnaissons-le, elles sont un bel outil de compréhension des dynamiques politiques, sociales et économiques de notre monde. The Wire, traitant notamment de la pauvreté et du racisme à Baltimore, est en cela une référence. Plus proche de nous, Européens, Occupied imagine une Norvège occupée par la Russie, avec l’aval de l’Union européenne, après la décision d’Oslo de renoncer au pétrole. Si les séries s’inspirent de la réalité géopolitique, elles créent également des situations géopolitiques, dans leurs épisodes et sur les marchés, générant des millions de dollars. Elles sont même étudiées à l’université, comme on lit un essai pour compléter ses connaissances.Comprendre notre monde, voilà l’une des préoccupations majeures de la revue Carto depuis ses débuts en 2010. Et les séries télévisées ne pouvaient échapper à cette dynamique. Pourtant, le contexte, à l’heure de préparer ce numéro, était au deuil et au recueillement, après les attentats de Paris du 13 novembre 2015. Le défi, à présent, est de tenter de répondre à quelques questions simples (qui ?, pourquoi ?, comment ?) pour enrichir nos connaissances et mieux lutter contre un phénomène qui n’a ni frontière ni religion : le terrorisme. Pour ne pas tomber dans le piège dangereux des raccourcis intellectuels menant à la haine. La fiction peut aussi servir à regarder les maux d’une société en face ; au Moyen-Orient, nombreux sont les films abordant des sujets tabous, comme la prostitution, la corruption ou le despotisme. Les Irakiens, les Koweïtiens et même les Saoudiens ont des séries se moquant d’eux-mêmes et d’une organisation qui occupe la une de tous les médias : l’État islamique. La télévision serait-elle l’annonce d’une liberté de conscience permettant à ces pays d’emprunter le chemin de la paix ? Ce serait oublier que Daech a également ses « émissions »…Il ne fait aucun doute donc : la guerre et la paix se jouent aussi sur petit écran."
-- "Un peuple n'a qu'un ennemi dangereux, son gouvernement." Saint-Just