: Le monsieur maîtrise pas vraiment ses scènes d'actions. Ça tremble pas trop, bon point mais j'ai trouvé que ça manquait presque toujours de punch. Du coup, les scènes d'actions sont pas franchement mises en valeur, sur la tour ça pouvait par exemple être bien plus impressionnant. Et d'autres idées sont mal exploités, la scène du machin lunaire, il manque un truc j'ai aussi trouvé.
Mission : Impossible, à part avec le 2 et le 3, c'est de l'espionnage, pas de l'action. Faut pas l'oublier.
Devant ce film, j'ai un peu eu l'impression que Bird voulait renouer avec le premier mais sans trop oublier les deux autres, et donc, par conséquent, faire un vrai film d'espionnage comme on en voit plus trop (on avouera que le scénario étant ici très basique, à part au niveau des gadgets et de quelques scènes, c'est assez raté) avec quelques bonnes scènes d'action. Après, je sais pas ce qu'il te faut de plus sur la scène d'action finale, parfaitement montée, et tout le chapitre à Dubaï, deux exemples qui ne manquent absolument pas de punch, pour le coup.
Message n° 3060190, posté par Baje à 23:32 le 07/01/2012
: Devant ce film, j'ai un peu eu l'impression que Bird voulait renouer avec le premier mais sans trop oublier les deux autres, et donc, par conséquent, faire un vrai film d'espionnage comme on en voit plus trop (on avouera que le scénario étant ici très basique, à part au niveau des gadgets et de quelques scènes, c'est assez raté) avec quelques bonnes scènes d'action. Après, je sais pas ce qu'il te faut de plus sur la scène d'action finale, parfaitement montée, et tout le chapitre à Dubaï, deux exemples qui ne manquent absolument pas de punch, pour le coup.
La scène finale, c'est la plus sympa, j'ai trouvé. Comme quoi, un mur d'image de synthèse, ça fait pas tout. Mais 5 minutes dans un film, ça me fait pas kiffer ma race.
Dubai, j'en ai déjà parlé plus haut.
-- Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
Message n° 3060192, posté par Fresh Prince à 23:34 le 07/01/2012
Et pour les fxs, encore une fois, je te comprends pas. C'est vrai que j'ai pas trop l'oeil avec ça, mais si ça se voyait autant que tu le dis, je m'en rendrais compte je pense...
Tu parles de la poussière. Je te parle du chapitre entier, et quand je dis entier, c'est vraiment entier. On voit bien que c'est limite le climax du film, et ça le serait, d'ailleurs, si, encore une fois, le montage de la scène finale n'était pas autant maîtrisé.
Faut que tous les réals de films d'action s'arrachent ce monteur d'ailleurs.
*édité à 23:36 le 07/01/2012
Message n° 3060194, posté par Baje à 23:39 le 07/01/2012
: Et pour les fxs, encore une fois, je te comprends pas. C'est vrai que j'ai pas trop l'oeil avec ça, mais si ça se voyait autant que tu le dis, je m'en rendrais compte je pense...
Je ne vois qu'une option, tu as besoin de lunettes. Si tu en as déjà, change d'ophtalmo.
Ca me surprends, d'ailleurs, qu'on puisse faire un singe comme King Kong et une scène aussi dégueulasse des années plus tard. Au lieu de filer du fric à la moche qu'on voit qu'à la fin, ils auraient du rajouter les quelques millions pour qu'ILM fasse un meilleur taff sur cette scène.
: Tu parles de la poussière. Je te parle du chapitre entier, et quand je dis entier, c'est vraiment entier. On voit bien que c'est limite le climax du film, et ça le serait, d'ailleurs, si, encore une fois, le montage de la scène finale n'était pas autant maîtrisé.
Non, je ne parle pas que de la poussière, j'en parle lors de mon avis général sur les scènes d'actions. Ce qui comprends donc Dubai. Mais c'était sympa, quoi, comme j'ai dis. Pas nul.
Par contre, j'en ai pas parlé, je trouve maladroit d'avoir mis Pegg là-dedans. Cette alternance humour-sérieux casse grandement l'effet du film sur ma personne.
-- Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
*édité à 23:41 le 07/01/2012
Message n° 3060199, posté par Fresh Prince à 23:43 le 07/01/2012
: Par contre, j'en ai pas parlé, je trouve maladroit d'avoir mis Pegg là-dedans. Cette alternance humour-sérieux casse grandement l'effet du film sur ma personne.
Ce que j'ai trouvé maladroit, c'est
Perso, aux deux séances auxquelles je suis allées, toute la salle riait à ses blagues, et moi aussi.
Message n° 3060202, posté par Fresh Prince à 23:46 le 07/01/2012
T'as toujours un personnage qui est là pour détendre l'atmosphère, pour faire rire. Comme avec les films d'animation. Quand c'est pas le personnage principal qui est comme ça, alors y a un side-kick qui s'en occupe.
Déjà, dans cet opus, ils lui donnent un peu plus de lignes de dialogues et de scènes, c'est cool.
1.00
Message n° 3060232, posté par Collioure à 00:26 le 08/01/2012
Mr Smith Goes to WashingtonUn James Stewart ébouriffant, notamment dans une dernière scène à "couper le souffle" Jean Arthur l'accompagne très bien son Don Quichotte. Le sujet est toujours terriblement d'actualité, un point commun à beaucoup de grandes œuvres.
*édité à 00:46 le 08/01/2012
0.92
Message n° 3060278, posté par NR. à 01:53 le 08/01/2012
: Mr Smith Goes to WashingtonUn James Stewart ébouriffant, notamment dans une dernière scène à "couper le souffle" Jean Arthur l'accompagne très bien son Don Quichotte. Le sujet est toujours terriblement d'actualité, un point commun à beaucoup de grandes œuvres.
Un de mes films préférés. Avec une des plus belles phrases du cinéma : "You know, liberty's too precious a thing to be buried in books."
Message n° 3060573, posté par Fresh Prince à 15:34 le 08/01/2012
J'ai bien aimé parce que le film fait la part belle à Jung, mon analyste fétiche.J'ai trouvé que malgré quelques erreurs temporelles,Cronenberg s'en sortait plutôt bien avec le matériel théorique.Fassbender et Mortensen sont tous deux très bons...Mais il manquait un truc... Je peux pas dire quoi, cependant.Et en tant qu'étudiant en psy, j'ai rien appris de nouveau.
A Good Old Fashioned Orgy - Alex Gregory, Peter Huyck :
Globalement c'est très moyen. Deux trois scènes marrantes mais pour le reste, c'est naze. Je l'ai regardé pour Jason Sudeikis et il est pas spécialement drôle dedans. Et c'est pas les deux-trois seins montrés de temps en temps pour dire que c'est une comédie "osé" qui y change quelque chose. Un épisode moyen de Blue Mountain State fait mieux.
Bref. J'aurais dû regarder mon Woody Allen. Surtout que c'était mon premier film de 2012 et le premier depuis Mission Impossible IV.
Message n° 3060616, posté par spaces à 16:42 le 08/01/2012
J'ai lancé ce film alors que je minais de manière répétitive sous Terraria, afin de me distraire un peu.
Un métrage classé 86ème au Bottom IMDB, et incluant Christina Ricci, Don Johnson et Stephen Dorff, cela avait de quoi intriguer.
Au final, cela ne s'élève jamais au-delà de la médiocrité mais se révèle trop inoffensif pour mériter cette place. L'histoire de Bucky, un benêt du midwest profond, qui lorsqu'il découvre le passé dans l'industrie pornographique de ses parents fermiers, y voit sa destinée. Il monte alors à Los Angeles, rencontre une serveuse affable, et tente de percer dans les "nude films" avec toute la candeur et le manque de vocabulaire cochon qui le caractérisent.
Quasiment jamais vulgaire, mais sans aucun enjeu scénaristique, ni véritable difficulté pour le protagoniste, on s'ennuie très rapidement. Inoffensif.
A remarquer, Don Johnson dans le rôle d'un quasi-gentil, de façon crédible, un tour de force pour un connard de première (du moins, c'est l'aura qu'il a toujours dégagé pour moi).