Reconnais que ça t'aurait déçu que personne ne morde. ;)

La reine des esturgeons ! Il est ambitieux.

Mais je ne suis pas sure qu'elle habite dans cette rivière. Ça doit être celle juste à côté.

<mode rattrapage aux branches>

Pourquoi, il y a un bon département dans ce coin là ?

</mode rattrapage aux branches>

Ne t'en fais pas, ta frilosité ne serait pas mise à rude épreuve. Qui plus est, là où je vis, nous avons le plus de jour d'ensoleillement du département et l'été est bien plus assommant qu'à Marseille malheureusement.

Et puis, on a des super pastilles. ^^

Celles au citron, ça me rappelle mon enfance, ça. ^^

Le tuto sur la pose ne marche pas. Dommage.

Je ne te savais pas intéressé.

Rico n'est pas quelqu'un de sectaire.

Sinon il y a les deux derniers articles du blog d'Eolas à aller lire :

http://www.maitre-eolas.fr/post/2010/03/25/On-ne-r%C3%A9pond-pas-aux-questions-qu%E2%80%99on-se-pose-pas.

La suite en anglais sur le pirate auvergnat.

Pour ma part, il me semble justement que c'est en mettant noirs/arabes et délinquants dans le même panier qu'on encourage le racisme. Plusieurs articles de gens bien plus cultivés que moi démontrent la malhonnêteté intellectuelle du procédé. Tu en as cités certains, Cartman150 d'autres.

Et il se trouve que l'incitation au racisme n'est pas une opinion mais un délit. Savoir si les paroles en question sont constitutives ou pas du délit prévu à l'article 24 de la loi du 29 juillet 1881 est le rôle du juge et de personne d'autre.

Il est tout à fait normal que si des personnes estiment que les paroles sont constitutives d'un délit, elles demandent au juge de trancher.

Personne n'empêche Zemour de s'exprimer, mais il se trouve que la liberté d'expression va de pair avec la responsabilité de ses propos. On ne peut à la foi réclamer la liberté d'expression et de l'autre se scandaliser que l'on demande au juge d'en sanctionner (ou pas si le délit n'est pas constitué) les abus.

Je trouve beaucoup plus inquiétant pour les libertés publiques, et je n'ai entendu jusque là personne s'en scandaliser, qu'une autorité administrative (alors que de par la constitution c'est le juge judiciaire qui est le gardien des libertés, pas l'administration) prenne un arrêté interdisant à des personnes de circuler dans les rues sur le seul motif de la couleur du maillot qu'ils portent (et Dieu sait que je ne suis pas supporter du PSG).

Que des personnes qui ne font rien de plus que de se promener avec un maillot du PSG se retrouvent en garde à vue sur ce seul motif (si au moins c'était pour leur faire remarquer que ce maillot est vraiment moche, je pourrais comprendre, mais même pas) me semble être beaucoup plus symptomatique du grignotage progressif des libertés publiques en France (interdiction de mettre une cagoule, instaurations de délits collectifs, interdiction de se rassembles dans les halls, volonté affirmée de mettre des caméras partout...) que le fait qu'on demande à un juge de trancher un litige.