La catastrophe est d'ordre naturel, mais les moyens utilisés par l'homme pour y survivre tiennent littéralement de la science fiction : des solutions technologiques qui n'existent pas (encore).
: La catastrophe est d'ordre naturel, mais les moyens utilisés par l'homme pour y survivre tiennent littéralement de la science fiction : des solutions technologiques qui n'existent pas (encore).
On peut pas le savoir. Ya la zone 51, tout ça.
-- Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
Message n° 2572291, posté par Fresh Prince à 18:04 le 04/01/2011
: Catastrophe, c'est pas en partie de la science-fiction ?
J'ai envie de dire oui et non. Tu peux faire un film catastrophe en prenant des choses réels mais ça n'en sera pas pour autant vrai. Donc en soi c'est de la "science" "fiction". Pour moi le meilleur exemple reste la série ReGenesis (1 milliard de fois mieux que House M.D) : Ils partent sur des faits scientifiquement possibles (il y en a deux-trois ils se sont un peu emballés mais ça reste théorique possible) mais qu'on arrive pas vraiment à réaliser actuellement ou alors ça n'arrivera pas parce que les gens ne sont pas assez fous pour le faire (bon...si mais on espère que non) comme c'est le cas pour le Virus Miranda. Rien que d'en parler ça me redonne envie de me refaire la série!
Message n° 2572385, posté par Ano nyme1 à 18:50 le 04/01/2011
: Ouais, mais c'est un danseur. Avec son endurance professionnelle, il doit pas le faire plus de 5 ou 6 fois par nuit.
Non mais c'est bon, ils se sont rencontrés il y a même pas un an et demi. Ils vont divorcer bientôt et tout rentrera dans l'ordre. Et elle sera plus fragile
: Non mais c'est bon, ils se sont rencontrés il y a même pas un an et demi. Ils vont divorcer bientôt et tout rentrera dans l'ordre. Et elle sera plus fragile
Ouais, mais il sera à jamais le père de son enfant.
Et d'ici le divorce, avec son endurance professionnelle... il peut lui en faire trois de plus.
-- Life is too short to spend two hours in a state of total exasperation.