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Message n° 1748944, posté par Finally à 20:42 le 24/01/2010
Message n° 1748944, posté à 20:42 le 24/01/2010
Message sous votre seuil ( Afficher quand même) C'est dommage, à force de regarder où on marche, on avance plus. *édité à 20:43 le 24/01/2010
Message n° 1748953, posté par alfie2lecassecouille à 20:45 le 24/01/2010
Message n° 1748953, posté à 20:45 le 24/01/2010
Message sous votre seuil ( Afficher quand même) Finally a dit :C'est dommage, à force de regarder où on marche, on avance plus. Je vais y méditer. Merci !
0.75
Message n° 1748961, posté par Finally à 20:47 le 24/01/2010
Message n° 1748961, posté à 20:47 le 24/01/2010
Message sous votre seuil ( Afficher quand même) Profite, c'était l'avant-première de mon bouquin "Expériences de philosophie commune, votre vie, un achèvement métaphysique à venir". En première partie du nouveau bouquin de Bruckner. *édité à 20:48 le 24/01/2010
Message n° 1748982, posté par alfie2lecassecouille à 20:55 le 24/01/2010
Message n° 1748982, posté à 20:55 le 24/01/2010
Message sous votre seuil ( Afficher quand même) Bruckner ou le Fink ? Faudrait savoir.
Message n° 1748988, posté par Finally à 20:58 le 24/01/2010
Message n° 1748988, posté à 20:58 le 24/01/2010
Message sous votre seuil ( Afficher quand même) Finkielkraut dans l'absolu, puis je me suis souvenu du dernier bouquin de Bruckner.
Message n° 1748997, posté par tenia à 21:00 le 24/01/2010
Message n° 1748997, posté à 21:00 le 24/01/2010
Message sous votre seuil ( Afficher quand même) Finally a dit :Finkielkraut dans l'absolu, puis je me suis souvenu du dernier bouquin de Bruckner. Mes 2 Nemesis. -- "To be is to do"-Socrate; "To do is to be"-Sartre; "Do Be Do Be Do"-Sinatra; Yippie ki yai, coffeemaker !
Message n° 1749006, posté par Finally à 21:03 le 24/01/2010
Message n° 1749006, posté à 21:03 le 24/01/2010
Message sous votre seuil ( Afficher quand même) Tu leur fais l'honneur de les combattre ?
Message n° 1749023, posté par tenia à 21:08 le 24/01/2010
Message n° 1749023, posté à 21:08 le 24/01/2010
Message sous votre seuil ( Afficher quand même) Sur un ring, Uwe staïle ? Sinon, ça me rappelle ça : -- "To be is to do"-Socrate; "To do is to be"-Sartre; "Do Be Do Be Do"-Sinatra; Yippie ki yai, coffeemaker ! *édité à 00:35 le 25/01/2010
Message n° 1749502, posté par Révo à 23:09 le 24/01/2010
Message n° 1749502, posté à 23:09 le 24/01/2010
Message sous votre seuil ( Afficher quand même) Up In The Air C'est l'histoire de George qui prend l'avion et qui vire des gens. C'est cool, c'est même un peu drôle des fois.
0.95
Message n° 1749547, posté par mpm à 23:20 le 24/01/2010
Message n° 1749547, posté à 23:20 le 24/01/2010
Message sous votre seuil ( Afficher quand même) Sherlock Holmes : un film d'aventure sympathique une fois qu'on a réussi à s'ôter Peter Cushing de la tête. Je me suis bien fait plaisir, j'ai trouvé ça assez papiltant et j'ai même hâte d'en voir une suite. Ce qui m'a un peu déplu, c'est l'abondance de numérique surtout quand il me saute aux yeux.
Message n° 1749909, posté par homereb à 00:40 le 25/01/2010
Message n° 1749909, posté à 00:40 le 25/01/2010
Message sous votre seuil ( Afficher quand même) tenia a dit :Si ça te parait sincère ou fait pour me la péter. Pis si j'ai vu les films, bien sûr. Sérieusement, ce que tu penses globalement du style. Bon, hein, on me demande pas mon avis, je sais. Je sais aussi que je suis le premier ici à être infligé d'une syntaxe de merde. Précisons que j'aime fight club le film mais que je préfère Chuck Palahniuk en papier dans mes mains. Le message de Fight club que ce soit dans sa forme littéraire ou cinématographique est effectivement celui que tu décris. Sur la forme du film, je me prononcerai pas, j'y connais rien. Ce que je sais, c'est que le sous texte du roman, et du film, est une critique de la société de consommation, de l'endoctrinement des masses. C'est par conséquent un pamphlet anarchiste mais aussi une ode à la complexité de chaque être humain. Le discours du pamphlet et le message véhiculé, visiblement, tu les partages. Et pourtant, tu en rends compte à coup de phrases sentencieuses, de constats définitifs et d'un style un peu ampoulé. Ca te met en contradiction totale avec le film et les idées qu'il tente de transmettre. -- I am Ripper... Tearer... Slasher... I am the Teeth in the Darkness, the Talons in the Night. Mine is Strength... and Lust... and Power! I AM BEOWULF!
1.00
Message n° 1749911, posté par homereb à 00:40 le 25/01/2010
Message n° 1749911, posté à 00:40 le 25/01/2010
Message sous votre seuil ( Afficher quand même) Et ce dessin, c'est de la grosse connerie. -- I am Ripper... Tearer... Slasher... I am the Teeth in the Darkness, the Talons in the Night. Mine is Strength... and Lust... and Power! I AM BEOWULF!
Message n° 1750021, posté par Baje à 03:31 le 25/01/2010
Message n° 1750021, posté à 03:31 le 25/01/2010
Message sous votre seuil ( Afficher quand même) Thirst Ca démarre plutôt bien, voir très très bien. Et pis pouf, ça retombe vers le milieu pour ne jamais vraiment revenir au niveau. Ca reste intéressant mais j'attendais un truc qui décolle pour ne plus s'arrêter et peut-être me procurer des sensations bien tripantes. Au final ça reste sympa pour moi mais le rythme joue au yoyo et l'intensité est très mal géré ce qui fait qu'au lieu que je pète un câble à la fin parce que c'est super bien maitrisé et très émouvant je me remémorais le début du film... Je sais pas si je suis très clair. Ça reste à voir pour le style de la réal, les acteurs, la façon dont Chan-wook traite ses thèmes et quelques scènes absolument magnifiques ! -- Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ? *édité à 03:33 le 25/01/2010
Message n° 1750022, posté par Baje à 03:36 le 25/01/2010
Message n° 1750022, posté à 03:36 le 25/01/2010
Message sous votre seuil ( Afficher quand même) Si je devais citer deux scènes tiens, je dirais la première scène de sexe et la scène de l'escalier/toit. -- Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
0.39
Message n° 1750024, posté par Fresh Prince à 04:02 le 25/01/2010
Message n° 1750024, posté à 04:02 le 25/01/2010
Message sous votre seuil ( Afficher quand même) The Science of Sleep : Gondry a le talent de nous mettre de bonne humeur avec un film, tout en nous aidant à mieux nous comprendre nous-mêmes, ainsi que notre organisme. Encore une histoire d'amour qu'il raconte magnifiquement bien, sans même foutre un seul cliché du genre. Et elle n'en devient que plus intime, car, tous autant que nous sommes, nous avons vécu une histoire d'amour similaire. Pas une histoire d'amour à la Coup de foudre à n'importe quelle putain de ville. La mise en scène recèle d'un nombre incroyable d'idées, sorties de l'esprit artistique farfelu du réalisateur français. Ce mec est un génie, et son cinéma - bien que spécial - est génial. Michel Gondry est sûrement l'un des meilleurs réalisateurs français de sa génération, et il le prouve sans cesse. Dommage qu'il ne soit pas plus connu. Et puis, ce casting est génial. Alain Chabat est hilarant, alors que Bernal est bouleversant. De Caunes énerve pendant que Gainsbourg attire. The Science of Sleep fait rire. The Science of Sleep fait pleurer. The Science of Sleep rend triste. The Science of Sleep rend heureux. The Science of Sleep est un film intimiste qui fait passer son spectateur du rire aux larmes en un claquement de doigts. The Science of Sleep est un chef d'oeuvre.
4.30
Message n° 1750026, posté par alfie2lecassecouille à 04:09 le 25/01/2010
Message n° 1750026, posté à 04:09 le 25/01/2010
Message sous votre seuil ( Afficher quand même) tenia a dit :Si ça te parait sincère ou fait pour me la péter. Pis si j'ai vu les films, bien sûr. Sérieusement, ce que tu penses globalement du style. Oui, ça me paraît sincère, bien sûr. C'est même un peu le problème, ici, en définitive... Et puis qui n'a pas vu Fight Club ? D'abord, un truc : ce n'est pas un film que j'ai en haute estime. Comme tu le décris, c'est un film à l'épate. Ça brasse beaucoup d'air, ça, c'est clair. Si je te suis bien, cette manière épouserait parfaitement le propos du film, pour mieux dire au spectateur "Tu cours sur du vent" ? Tu y crois vraiment ? Ce type de critique sociétale ne me semble quand même pas précisément novatrice. Le film se contente de donner un coup de pinceau late 90s sur la façade d'un très très vieil édifice. Ce qui en soit n'est d'ailleurs pas un problème : il faut bien que quelqu'un les entretienne, ces édifices, après tout. Mais là où tu vois une géniale pirouette conceptuelle, je ne vois pas grand chose d'autre qu'une saillie totalement cynique et finalement assez pauvre. De la transgression de pacotille. À titre personnel, jamais je ne pourrai adhérer à ça. Son aspect "ode à la complexité de l'être humain", comme dit homereb, me semble son côté le plus intéressant, si vraiment il fallait en trouver un. Mais là encore, c'est par le biais le moins original possible et le plus basique qu'on aborde le truc, en matérialisant cette fameuse complexité via une double personnalité, ou appelle ça comme tu veux. On surligne, on souligne, on en met des couches et des couches, des fois que le pauvre spectateur serait perdu. Et au passage, on le flatte et le conforte dans son attitude de consommateur passif et décérébré, puisqu'au fond, c'est pas si grave, un leader rebelle et charismatique sommeille en chacun de nous. Y a plus qu'à. Ce qui en fait d'ailleurs, d'une certaine manière, le film bobo ultime, en se gourant sur toute la ligne. J'ai pas l'impression que le film dise "Grandissez !", mais plutôt "Surtout, ne changez rien." Mais après tout, tes arguments valent ce qu'ils valent, pourquoi pas ? Bien sûr. Je suis peut-être passé complètement à côté, et, ma foi, ce serait pas la première fois. Ma capacité d'analyse est médiocre, et je n'ai pas vraiment de goût pour ça. Je suis pas un cérébral, quoi. En gros, ça doit être ce qu'on appelle un film générationnel. On a eu Breakfast Club, vous avez eu Fight Club. Pas de bol. Donc passons à ce qui nous intéresse vraiment, le fond du problème, et la réponse à ta requête. Qu'est-ce que je peux dire de l'auteur de ces lignes en lisant son texte ? Tu écris plutôt mieux que la moyenne (même s'il y a de petits accrocs). Je me dois de le dire et je pense que tu as aussi envie de l'entendre, je vais pas te refuser ce petit plaisir. Mais si tu t'exprimes clairement, je trouve le style encore un peu lourdingue (la chute, là, c'est pas possible) et trop self-conscious, comme l'écrit hormereb. Tu te regardes un peu écrire, quoi. Et surtout, selon moi, il est scolaire. J'ai le sentiment de me trouver devant la rédac' d'un bon élève, à qui je mettrais une bonne note pour montrer aux autres que si, c'est possible, tout en en déplorant en mon for intérieur le conformisme théorique et la prétention formelle. Donc, là, je vais aller dans le sens d'homereb, tu sembles en contradiction avec le supposé "message" du film. Mais tu sembles, seulement, puisque le film porte en lui les mêmes tares. Donc, tu es sûrement sincère sur ce coup-là. Mais peut-être un peu premier degré, finalement. D'ailleurs il est intéressant de noter que tu parles presque autant de ton DVD collector que du film... Aurais-tu succombé aux sirènes du matérialisme honni ? Alors, certes, tu t'appuies dessus pour étayer ta thèse, mais en définitive, ce sera presque tout ce que le lecteur retiendra de ton texte : il a l'édition bidule truc collector de Fight Club. Et il est content de la posséder, si content qu'il estime que c'est pertinent de le mentionner pour parler du film. Donc là, j'ai une info qui va dans mon sens, par rapport à mon ressenti sur le film. Tu n'as pas pris une claque en voyant Fight Club, mais bien la petite tape sur les fesses que tu espérais. Oui, tu te complais dans ton statut de consommateur lambda, mais c'est pas grave, tu sais bien, toi, à quel point tout ça est vain. Tu peux donc te payer sereinement le coffret Oshima qui fera bien dans ta super collec'. Pour finir, je dirais qu'en tant que lecteur, je suis très frustré, car le seul truc qui me fait vaguement lever un sourcil, le seul truc qui t'appartient un peu dans tout ça, tu l'expédies de manière laconique. "Le film se rapproche de 2 choses : 99F, le film, et la chanson Brighter Discontent des Submarines." Deux références que j'imagine personnelles, enfin. Mais je n'en saurai pas plus. Je trouve que c'est super dommage. Je me dis que c'est en allant dans ce sens, en te servant de ta matière, que tu parviendras, je n'en doute pas un instant, à donner un peu plus de chair à tes textes. Voilà, tenious, il est un peu tard, je pense à voix haute, là, et c'est sûrement assimilable à une logorrhée pleine de ses propres contradictions et faiblesses, et tout aussi critiquable que ton analyse. Je te préviens tout de suite, par contre, ne compte pas sur moi pour un débat sans fin sur la validité de ce que je dis sur le film et tout ça, parce qu'honnêtement, je m'en contrefous de Fight Club. Je t'ai concocté cette petite réponse, en toute humilité, parce que je crois que tu le mérites, avec tout ce que tu prends dans la tronche, quand même, c'était la moindre des choses. Je t'engage, bien sûr, à continuer à poster tes petites reviews ici, développées ou non, et surtout, à les rendre plus personnelles, en levant le pied sur les tentatives de bons mots ou le déboulonnage d'idoles, des trucs encore un peu lourds pour tes épaules encore frêles. À mon avis, ce n'en sera que plus agréable pour les lecteurs, et c'est comme ça qu'à terme ta carrure s'étoffera et que toutes les libertés te seront permises ("Wax on... wax off. Wax on... wax off"). Bon, j'arrête, là, non ? J'espère que ça pue pas trop la condescendance, tout ça, parce que ça voudra dire que je me suis complètement loupé. Je laisse le soin à ce faux-frère de liloboot de corriger les fautes. PS - J'ai pas encore pris la peine de lire l'autre texte, si j'ai le courage, j'y reviendrai. Ne retiens pas ton souffle, quand même. PS2 - Lexique à bannir : "métrage", "maîtrisé", "immersif", et, par anticipation, "minéral". PS3 - Je précise à toutes fins utiles que c'est pas facile d'écrire un truc qui a un peu de tenue, c'est très courageux de ta part de le soumettre à la critique (j'en serais bien incapable), et que je n'ai absolument aucune légitimité pour me livrer à cet exercice - mais ça, ça s'est peut-être vu :-) *édité à 04:54 le 25/01/2010
0.91
Message n° 1750028, posté par Fresh Prince à 04:20 le 25/01/2010
Message n° 1750028, posté à 04:20 le 25/01/2010
Message sous votre seuil ( Afficher quand même) alfie2 a dit :Son aspect "ode à la complexité de l'être humain", comme dit homereb, me semble son côté le plus intéressant, si vraiment il fallait en trouver un. Mais là encore, c'est par le biais le moins original possible et le plus basique qu'on aborde le truc, en matérialisant cette fameuse complexité via une double personnalité, ou appelle ça comme tu veux. On surligne, on souligne, on en met des couches et des couches, des fois que le pauvre spectateur serait perdu. Et au passage, on le flatte et le conforte dans son attitude de consommateur passif et décérébré, puisqu'au fond, c'est pas si grave, un leader rebelle et charismatique sommeille en chacun de nous. Y a plus qu'à. Ce qui en fait d'ailleurs, d'une certaine manière, le film bobo ultime, en se gourant sur toute la ligne. J'ai pas l'impression que le film dise " Grandissez !", mais plutôt " Surtout, ne changez rien." alfie2 a dit :Mais après tout, tes arguments valent ce qu'ils valent, pourquoi pas ? Bien sûr. Je suis peut-être passé complètement à côté, et, ma foi, ce serait pas la première fois. Ma capacité d'analyse est médiocre, et je n'ai pas vraiment de goût pour ça. Je suis pas un cérébral, quoi. En gros, ça doit être ce qu'on appelle un film générationnel. On a eu Breakfast Club, vous avez eu Fight Club. Pas de bol. Voilà. C'est juste ça. C'est un problème de génération. Et la génération suivante a eu 99F, on peut dire. Et, étant un adolescent, je peux te garantir que c'est bien ce problème, car, tout autour de moi, on considère ce film comme le Saint-Graal parce que Tyler est trop cool, etc etc etc. Moi aussi, j'aime beaucoup ce film. C'est pas mon Fincher préféré, loin de là, mais je l'aime quand même beaucoup. Le message véhiculé, que toi et Homereb vous efforcez à descendre, reste intéressant, et avoir Edouard Norton et Brad Pitt dans le même film, ça nous fait à tous kiffer. Et puis, y a des tonnes de répliques qu'on trouve cultes, tous autant que nous sommes, nous voulons devenir Tyler Durden, nous voulons nous cramer les mains en nous bastonnant autour d'autres personnes. On est sadomaso, en fait. On veut également dire non à la société de consommation, du haut de nos 20 piges marquées par l'iPhone et les jeans tailles basses que l'on a, et porte. Quelle dérision. Comme tu dis, vous avez eu Breakfast Club, on a eu Fight Club. Si 99F est trop récent - et trop médiocre - pour être le film de la génération suivante, il y en aura un autre. Tout comme LOL a su succéder à La Boom, ou High School Musical à Grease (quelle honte...) Donc, inutile de continuer là-dessus, je pense. *édité à 04:21 le 25/01/2010
Message n° 1750029, posté par Fresh Prince à 04:23 le 25/01/2010
Message n° 1750029, posté à 04:23 le 25/01/2010
Message sous votre seuil ( Afficher quand même) Baje a dit :Je sais pas si je suis très clair. Ça reste à voir pour le style de la réal, les acteurs, la façon dont Chan-wook traite ses thèmes et quelques scènes absolument magnifiques ! La photographie est l'une des plus belles que j'ai pu voir.
Message n° 1750210, posté par Kletcher à 11:32 le 25/01/2010
Message n° 1750210, posté à 11:32 le 25/01/2010
Message sous votre seuil ( Afficher quand même) non mais etre à la marge de la société pour se la jouer cool et en meme temps profiter du système, c'est vraiment pas nouveau comme truc.. fight club j'ai trouvé ça la seul fois que j'ai pu le voir être un film bien plus fasciste dans le fond que vraiment anarchiste. le culte de l'égo, de sa toute puissance dans un cercle de violence d'auto-autorité et de haine, je vois pas en quoi elle est vraiment émancipatrice dans une optique libertaire et humaniste.
Message n° 1750214, posté par Finally à 11:37 le 25/01/2010
Message n° 1750214, posté à 11:37 le 25/01/2010
Message sous votre seuil ( Afficher quand même) Fresh Prince a dit :Et puis, ce casting est génial. Alain Chabat est hilarant, alors que Bernal est bouleversant. De Caunes énerve pendant que Gainsbourg attire. Jamais j'ai été autant amoureux de toute ma vie, je crois. Fresh Prince a dit :Comme tu dis, vous avez eu Breakfast Club, on a eu Fight Club. Si 99F est trop récent - et trop médiocre - pour être le film de la génération suivante, il y en aura un autre. Tout comme LOL a su succéder à La Boom, ou High School Musical à Grease (quelle honte...) Ils n'ont succédé à rien puisqu'ils sont médiocres, les plus vieux sont toujours indétrônés. *édité à 11:42 le 25/01/2010
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