Hop² a dit : Il n'y a pas deux versions de ce film ? Y'a pas eu un truc lors de la ressortie en DVD pour les américains et les européens? Faut que je me renseigne.
Je sais pas du tout. A la fin, après la danse, bah, évidemment, les deux qu'auraient pas dû gagner gagnent, tout le monde se réconcilie et danse ensemble.
Message n° 1740187, posté par Fresh Prince à 21:28 le 21/01/2010
Fresh Prince a dit : J'ai trouvé la première heure lente et bof, mais la seconde géniale. Tellement que j'en ai oublié la première.
Le contraire pour ma part. La deuxième partie est d'une niaiserie sans nom, cousu de fil blanc. La pire scène étant l'arrivée de la fille du personnage de Rourke, pleine de mièvrerie et de dialogues de roman-photo. Après, j'ai perdu pied dans ce drame téléphoné et au combat final digne d'une scène de baston d'un téléfilm de Dolph Lundgren.
Donc pour moi : 3.5/10. Pour Rourke. Parce que sans lui, c'est un téléfilm. Mauvais qui plus est.
Message n° 1740235, posté par Batefer à 21:43 le 21/01/2010
Baje a dit : J'ai trouvé le propos religieux très intéressant. Et c'était pas gagné, étant systématiquement en train de vomir dès que je vois un truc religieux qui vient se balader dans un film / une série.
Pourtant là c'est du lourd. Je ne m'attendais pas à ce que ce soit autant premier degré vis-à-vis de la religion, le film s'enfonce dans le ridicule avec une régularité impressionnante.
Pas convaincu du tout du tout.
C'est bien simple, quasiment du début du film j'ai été du côté des méchants.
Par ailleurs, l'atmosphère, le rythme et la progression des événements sont très similaires à l'autre film post-apo de ces derniers mois, The Road.
Mais si il y a bien un truc qui est supérieur dans The Road, c'est justement que le personnage de Viggo Mortensen
-- je parles pas au cons sa les instruits
Message n° 1740255, posté par Fresh Prince à 21:48 le 21/01/2010
Hop² a dit : Le contraire pour ma part. La deuxième partie est d'une niaiserie sans nom, cousu de fil blanc. La pire scène étant l'arrivée de la fille du personnage de Rourke, pleine de mièvrerie et de dialogues de roman-photo. Après, j'ai perdu pied dans ce drame téléphoné et au combat final digne d'une scène de baston d'un téléfilm de Dolph Lundgren.
A mon avis, ce film détruit tous les clichés...
*édité à 21:48 le 21/01/2010
Message n° 1740295, posté par Hop² à 21:56 le 21/01/2010
aucun parti prit donc pas d'enjeu dramatique donc pas d'empathie, donc aucun ressenti à la fin pour ma part. Un drame conventionnel et une scène ridicule : la blondasse. J'ai ri mais ri.
Message n° 1740310, posté par Fresh Prince à 21:59 le 21/01/2010
Hop² a dit : aucun parti prit donc pas d'enjeu dramatique donc pas d'empathie, donc aucun ressenti à la fin pour ma part. Un drame conventionnel et une scène ridicule : la blondasse. J'ai ri mais ri.
La blondasse ?
Message n° 1740461, posté par Baje à 22:18 le 21/01/2010
Alors, pour moi Batefer, tu est un peu passé à côté du film, tu t'attendais peut-être à autre chose.
Batefer a dit : Pourtant là c'est du lourd. Je ne m'attendais pas à ce que ce soit autant premier degré vis-à-vis de la religion, le film s'enfonce dans le ridicule avec une régularité impressionnante.
C'est parce que c'est premier degré que ça ne t'as pas plus ? Drôle d'argument...
Batefer a dit : Par ailleurs, l'atmosphère, le rythme et la progression des événements sont très similaires à l'autre film post-apo de ces derniers mois, The Road.
Je vois vraiment pas le rapport entre les évènements des deux films, si ce n'est un mode post apocalyptique. L'une des grandes caractéristique de The Road n'est d'ailleurs pas présente dans celui-ci. Les deux films n'ont vraiment rien à voir.
Batefer a dit : Mais si il y a bien un truc qui est supérieur dans The Road, c'est justement que le personnage de Viggo Mortensen
Pour le coup, je trouve ça ridicule.
Quand au réalisme des deux films, puisqu'ils n'ont rien à voir, ils n'ont rien à voir non plus sur ce plan là. Autant The Road se veut un tant soit peu réaliste, autant j'ai pas trouvé une seconde The Road réaliste.
C'est un blockbuster qui permet aussi aux réalisateurs de transmettre quelques messages. En dehors du monde post-apo des deux productions, aucun rapport.
Ah, et concernant la religion
Pour conclure, je suis quasiment d'accord avec rien de ce que tu viens de dire ^^
-- Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
*édité à 22:21 le 21/01/2010
Message n° 1740593, posté par Batefer à 22:37 le 21/01/2010
Baje a dit : C'est parce que c'est premier degré que ça ne t'as pas plus ? Drôle d'argument...
Il n'y a aucune mise en perspective ni doute de la part du personnage principal. Et puis quoi, le mec c'est Terminator parce qu'il a une mission divine, faut pas déconner...
Baje a dit : Je vois vraiment pas le rapport entre les évènements des deux films, si ce n'est un mode post apocalyptique. L'une des grandes caractéristique de The Road n'est d'ailleurs pas présente dans celui-ci. Les deux films n'ont vraiment rien à voir.
On n'en apprend pas beaucoup plus ici, justement. Il est dit quoi ? Qu'il y a eu une guerre ? Et c'est tout.
Baje a dit : C'est un blockbuster qui permet aussi aux réalisateurs de transmettre quelques messages. En dehors du monde post-apo des deux productions, aucun rapport.
- Le touiste final qui m'a vraiment plu et auquel je n'attendais pas du tout. J'aime être sincèrement surpris sans avoir eu le sentiment d'être pris pour un con, ce fut le cas. En revanche il faudrait revoir le film pour apprécier tout le travail nécessitant son élaboration et je ne m'en sens pas le courage avant longtemps. J'ai ma dose de bondieuseries pour une paire d'années là.
- Mila Kunis. L'erreur de casting ultime. Pendant tout le film je me suis demandé ce qu'elle foutait là. Ça m'a rappelé, attention c'est du lourd aussi, le personnage potiche/boulet d'Estella Warren dans La Planète des Singes de Burton.
-- je parles pas au cons sa les instruits
0.55
Message n° 1740901, posté par tenia à 23:24 le 21/01/2010
Hop² a dit : Le contraire pour ma part. La deuxième partie est d'une niaiserie sans nom, cousu de fil blanc. La pire scène étant l'arrivée de la fille du personnage de Rourke, pleine de mièvrerie et de dialogues de roman-photo. Après, j'ai perdu pied dans ce drame téléphoné et au combat final digne d'une scène de baston d'un téléfilm de Dolph Lundgren.
En même temps, The Wrestler, même si j'aime bien, c'est très "Le film indé pour les nuls", avec tous les lieux communs qui vont avec...
-- "To be is to do"-Socrate; "To do is to be"-Sartre; "Do Be Do Be Do"-Sinatra; Yippie ki yai, coffeemaker !
*édité à 23:29 le 21/01/2010
Message n° 1740933, posté par Révo à 23:33 le 21/01/2010
Alors j'ai découvert ce film totalement par hasard, et j'ai été pour le coup très agréablement surpris.
Un bon film anglais avec des acteurs sympas et un perso principal attachant.
Pour l'histoire, c'est un mec en dernière années des beaux-art qui n'arrive pas à se remettre de la rupture avec sa petite amie au point qu'il ne dort plus du tout.Il va découvrir que tout ce temps dont il dispose en plus pourrait lui servir. Il postule alors dans une enseigne de supermarché pour travailler la nuit. Il va alors découvrir qu'il peut avec son imagination et sa volonté, arrêter le temps. Il va alors déshabiller les clientes pour pouvoir les dessiner.
Foncedé ça passe très bien, surtout avec la musique.
Message n° 1741219, posté par Baje à 00:46 le 22/01/2010
Batefer a dit : - Le touiste final qui m'a vraiment plu et auquel je n'attendais pas du tout. J'aime être sincèrement surpris sans avoir eu le sentiment d'être pris pour un con, ce fut le cas. En revanche il faudrait revoir le film pour apprécier tout le travail nécessitant son élaboration et je ne m'en sens pas le courage avant longtemps. J'ai ma dose de bondieuseries pour une paire d'années là.
Suffit de se refaire le film dans sa tête, si tu veux vraiment pas le revoir.
Vu par hasard, je cherchais quelque chose à regarder, je zappais et il allait commencer. Sur le nom de Wilder et sur mon envie actuelle de vieux films classiques, je me suis laissé tenter. Pour faire court, j'ai apprécié le scénario, le principe narratif, les dialogues qui sont excellents, le jeu des comédiens, et le plaisir de retrouver la trogne d'Edward G. Robinson. J'ai trouvé ça bien sans être plus enthousiaste que ça, du coup, je me dis que je suis peut-être passé à côté, quand je vois à quel point ce film est hautement considéré, ça arrive. À revoir donc.
Pour info, c'est tiré d'un texte de James M. Cain et adapté pour le cinéma par Wilder et Raymond Chandler !