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Sujet n°12247 créé le 24/06/2008 à 23:01 par Kenji - Vu 69598 fois par 2442 utilisateurs
   
Pages : 12345... 17... 31... 4445
Message n° 608631, posté à 11:24 le 25/06/2008  
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homereb
Baje a dit :
Ouais enfin le film sur la zoophilie j'ai faillis dégueuler aussi laugh
Horrible horreur
Chiant comme la mort et glauque au possible!
La fin, quand tu vois des bouts de vidéo et ce que le mec s'est fait faire par le cheval.
Je suis traumatisé moi.
Puntos a dit :
Monster, ça vaut une présentation aussi. C'est assez excellent et manga court.
Ah bah depuis j'ai vu l'anime sur canal. Il y a une diff au niveau de l'histoire ou c'est fidèle?

--
I am Ripper... Tearer... Slasher... I am the Teeth in the Darkness, the Talons in the Night. Mine is Strength... and Lust... and Power! I AM BEOWULF!
Message n° 608633, posté à 11:24 le 25/06/2008  
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DarKsh
Kenji Endô a dit :
Darksh, je te vois dans les utilisateurs, et oui il y aura une présentation sur Bastard, l'autre meilleur manga d'Héroïc-Fantasy ^^
C'était la question que j'allais poser. Tu lis dans les esprits ? idee

--
._:Good isn't good enough. Perfect is the law :_.
Message n° 608637, posté à 11:25 le 25/06/2008  
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nam
homereb a dit :
Ah bah depuis j'ai vu l'anime sur canal. Il y a une diff au niveau de l'histoire ou c'est fidèle?
Bah je pense pas, mais j'avais capté quelques passages sur Canal et en VF c'est carrément atroce.

Message n° 608644, posté à 11:28 le 25/06/2008  
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Baje
Puntos a dit :
Monster, ça vaut une présentation aussi. C'est assez excellent et manga court.
"manga court" ? question

--
Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
Message n° 608649, posté à 11:29 le 25/06/2008  
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nam
Baje a dit :
"manga court" ? question
18 tomes à peine.

Message n° 608654, posté à 11:30 le 25/06/2008  
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Hope
Puntos a dit :
18 tomes à peine.
Elle est bien l'image de ton avatar, j'ai lu ce manga qui est une vraie horreur en anime.

Message n° 608664, posté à 11:35 le 25/06/2008  
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Kenji
Puntos a dit :
18 tomes à peine.
C'est pas un manga court.
Court c'est Abara en 2 tomes ou Variante en 4.

Message n° 608666, posté à 11:35 le 25/06/2008  
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Kenji
DarKsh a dit :
C'était la question que j'allais poser. Tu lis dans les esprits ? idee
Je le savais c'est tout.
J'ai le tome 25 dans les mains mouahahaha.

Message n° 608683, posté à 11:42 le 25/06/2008  
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Baje
Kenji Endô a dit :
Je le savais c'est tout.
J'ai le tome 25 dans les mains mouahahaha.
L'un des premiers mangas que j'ai lu. Je le supporte pas titter

--
Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
Message n° 608689, posté à 11:46 le 25/06/2008  
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Kenji
Les 10 premières présentations sont de toute manière mon top 10.
La prochaine présentation sera celle de GANTZ.

Message n° 608722, posté à 11:54 le 25/06/2008  
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Baje
Il est très bien ce manga en anime. (Pas taper ! ;))
Faut que je me procure les mangas qui sortent de l'histoire de l'anime dans la saison 2. Histoire d'avoir une fin potable (ou pas).

--
Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
Message n° 608790, posté à 12:11 le 25/06/2008  
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KoreanGuy
Kenji Endô a dit :
C'est prévu, de même pour 20th et Pluto.
J'étais persuadé que tu allais commencer par 20th ^^.
Merci pour ces présentations. :)
En passant, l'anime Berserk est pas trop mal réussi même si bien sûr il propose une fin complètement différente, le manqa n'étant pas fini.

Message n° 608810, posté à 12:16 le 25/06/2008  
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Baje
Kenji Endô a dit :
C'est prévu, de même pour 20th et Pluto.
C'est vraiment bien Pluto ? Pas trop classique ?

--
Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
Message n° 608826, posté à 12:18 le 25/06/2008  
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Kenji
Baje a dit :
C'est vraiment bien Pluto ? Pas trop classique ?
C'est quelque chose en effet.
Le premier tome n'est toujours pas sorti en France, et ça commence à me gaver grave.
KoreanGuy a dit :
J'étais persuadé que tu allais commencer par 20th ^^.
Moi aussi, mais au moment de la création du topic, je relisais REAL, donc voilà...

Message n° 608832, posté à 12:19 le 25/06/2008  
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Baje
Kenji Endô a dit :
C'est quelque chose en effet.
Le premier tome n'est toujours pas sorti en France, et ça commence à me gaver grave.
Bon. Et bien ce soir je me fait les tomes de Pluto smile

--
Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
Message n° 609314, posté à 15:38 le 25/06/2008  
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Kurupt
kenji j'ai vu que t'appréciait le manga Eyeshield 21 .
Je voulais savoir si tu suivais aussi l'animé ?
Moi je suis rendu au 125eme épisode et apparemment TV Tokyo a suspendu la diffusion au 145eme épisode cry
Mais bon je pense a une pause sur l'animé .

*Édité à 7:30am, 02/18/09
Message n° 609357, posté à 16:20 le 25/06/2008  
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Kenji
kurupt a dit :
Mais bon je pense a une pause sur l'animé .
Sachant que l'intérêt des japonais pour Eyeshield décroit peu à peu depuis quelque temps, comme on peut l'observer dans les statistiques du Jump et que le manga papier est bientôt fini. Il suffit de lire les scans pour le comprendre.
TV Tokyo n'a pour le moment pas renouveler la case horaire de Eyeshield. Affaire à suivre...
Bien que je pense qu'ils iront au bout de l'oeuvre.

Message n° 610239, posté à 00:25 le 26/06/2008  
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Baje
J'ai retrouvé l'article que j'avais fait sur Koi Kaze il y à quelques années. Le style doit pas être bien terrible, ça doit être blindé de fautes mais l'essentiel est dedans.
L'histoire que Koi Kaze nous compte est basée sur le complexe d'oedipe.
Mais qu'est ce que c'est que ce mot barbare. Derrière cette barbarie, se cache donc, je cite, le dictionnaire encyclopédie Larousse : "L'ensemble des sentiments amoureux et hostiles que chaque enfant éprouve à l'égard du couple parental, à savoir l'attachement sexuel au parent de sexe opposé et la haine a l'égard du parent du même sexe considéré comme un rival. »La situation a laquelle va nous confronter l'anime est la situation du complexe fraternel, entendez par la l'adaptation du complexe d'oedipe entre un frère et une soeur.
Le complexe Fraternel
Koshiro, qui vient de rompre avec sa petite amie, rencontre par hasard, une jeune lycéenne, Nanoka, dans le train.
Jusque la rien d'extraordinaire, sauf que Koshiro, se sent de manière inattendue, attiré par la lycéenne. Prenant comme excuse la perte de la carte de celle ci, il la suit, et finis par passer avec elle une journée a la fête foraine. Durant cette journée, il verra naître en lui des sentiments que jusqu'alors, il n'avait jamais ressentis.
A la fin de cette journée, la jeune fille retrouvera son père, arrivé en retard, qui n'est autre que le père de Koshiro. Celui-ci découvre alors avec stupéfaction que la jeune fille avec qui il vient de passer la journée n'est autre que sa soeur. Très vite les idées de Koshiro s'embrouilleront dans sa tête, ne comprenant pas qu'il puisse être attiré d'une manière ou d'une autre par une lycéenne, mais plus dur, par sa propre soeur.
L'anime suit complètement le principe du complexe d'oedipe, Koshiro commencera d'abord par avoir honte de ce sentiment si infâme, chassant une soeur qui ne cherche qu'à se rapprocher de son "onee-chan" pour se rejeter complètement lorsque celui-ci iras jusqu'à se masturber en pensant a sa soeur. De son coté, sa jeune soeur qui n'a jamais eu d'expérience amoureuse découvrira petit a petit ses sentiments pour son frère, se demandant si elle est normale.
Arrivant a la seconde étape du complexe, il deviendra jaloux des hommes qui approcheront sa soeur (Notamment des jeunes garçons de l'école), qui contrairement au complexe d'oedipe n'est pas la jalousie envers le parent du même sexe, mais la jalousie ressentie contre toutes les personnes qui pourraient s'attacher a sa soeur. Nanoka ne comprendra pas son frère. Elle éprouve des sentiments pour celui-ci, mais Koshiro la rejette, alors qu'elle veut aller de l'avant.
Confronté a ses peurs les plus tenaces, Koshiro devra braver les interdits d'une société qui ne peut le comprendre.
Le couple que forme Nanoka et Koshiro, bien que très atypique dans le monde de l'anime, est un des couples le plus attachant qu'il m'est été donné d'admirer. Admirer est bien le terme, tant ces deux protagonistes nous font avancer dans une fable, tantôt jouissive, tantôt déplaisante, nous rendant presque mal a l'aise. Petit à petit ces deux personnages arriveront à accepter leurs situations, Nanoka beaucoup plus facilement que Koshiro, sans doutes à cause de son jeune âge, qui ne l'expose pas a tous les tracas de la vie d'adulte.
Anime
Durant cette découverte d'eux même Nanoka et Koshiro, devront subir les attaques plus ou moins volontaires de leurs collègues. Nanoka qui viens d'entrer au lycée devras subir les moqueries de ses camarades, qui, la voyant parler beaucoup de son frère, tenant des propos tantôt négatifs tantôt positifs à son sujet, ne comprendront pas bien ce qu'elle ressent pour lui, et bientôt certains élèves la mettront face à face avec la réalité, une réalité qu'elle ne sera pas prête a accepter. La vérité qu'elle est entrée dans un complexe fraternel. Beaucoup plus calme que son grand frère, elle passera outre ces remarques et se concentrera sur l'émotion que Nanoka ressent pour son frère.
Koshiro lui, subiras les foudres de ses deux collègues, un pitre amoureux de toutes les lycéennes et une jeune collègue, dont les sentiments pour Koshiro resteront flou tout au long de l'anime, et qui ne manqueras pas de le vanner sur ses rapport avec Nanoka, gardant toujours une certaines ironie dans ses propos, ironie qui frapperas de plein fouet Koshiro, qui lui, ressent les « attaques » de sa collègue comme étant la stricte vérité, vérité qu'il n'est pas prêt a affronter. De plus Koshiro devras affronter un monde d'adulte, que ne connaît pas sa jeune soeur, car faire naître une véritable histoire d'amour, impossible a avouer a la société japonaise, mettrait fin a tout ce qu'il a construit durant ses 27 années de vie et le rendra totalement dépendant de son histoire.
Entrant dans le cycle infernal du tabou, de la honte et de l'incompréhension, Koshiro sortiras t-il de son état de coquilles pour entré de plein fouet dans la vie de sa jeune soeur, de 12 ans sa cadette. Arriveras t-il a lui avouer ses inavouable sentiments et survivras t-il au regard des autres ...
Mon avis
Quand l'émotion frappe à la porte
Autant le dire tout de suite, la sujet qui est traité dans «Koi Kaze» ne plaira pas a tout le monde. Certains le rejetteront d'entrée, ne comprenant pas qu'un homme puisse éprouver des sentiments pour une lycéenne de 15 ans. Je pense que ce serait une erreur de ne pas découvrir un anime que j'attendais depuis bien longtemps.
«Koi Kaze» nous fait vibrer a chaque rencontre entre Koshiro et Nanoka, nous spectateurs, découvrons petit à petit leurs émotions et leurs sentiments, qui ne nous laisseront pas de marbre. Nanoka est si fragile et si forte a la fois, qu'a chacun de ses choix, on ne peut s'empêcher de la soutenir, devant l'horrible Koshiro meurtris au fond de lui-même. Il est très difficile de décrire l'émotion et l'attendrissement que l'on ressent lorsqu'on regarde «Koi Kaze» car cette émotion est pour moi toute personnelle, suivant l'histoire que l'on a vécu dans notre vie. On se remémore des souvenirs qui, même s'ils n'ont pas de rapports directs avec l'histoire, nous feront comprendre les sentiments et les doutes des deux personnages. C'est sûrement le point fort de l'anime que de nous laisser libre des émotions que nous pouvons ressentir, et libre de nous auto satisfaire dans cette tragédie superbe. L'émotion de «Koi Kaze» transparaît grâce a sa musique magnifique, rythmant tout les moments forts de l'histoire a l'aide de mélodies magnifique et d'un son irréprochable
Pour parachever ce voyage dans le monde de l'amour, le dessin, précis et concis, est d'un style assez conventionnel, les personnages sont bien travaillés mais les décors, eux, sont saisissants.
Enfin une pointe d'humour due à certains personnages burlesques comme le père et le collègue de Koshiro Odagiri qui, ridicule de prime abord, nous feront décompresser de la tension omniprésente.
Grâce aux deux visions que propose l'anime (La vision personnelle de Koshiro et de Nanoka dans un premier temps et la vision du monde extérieur dans un deuxième temps), «KoiKaze» nous laisse libre de décider si oui ou non, nous voulons aimer ces deux personnages, et ne nous soumets pas un seul point de vue.
Koi Kaze est traité de façon très "pure" et ne rentre pas dans la caricature pour essayer de faire passer des idées dures à entendre.
Ciblant tous les cotés du complexe, la narration nous invite à réfléchir aux sentiments des deux protagonistes, et nous entraîne dans leurs pensées.
De façon pudique, l'anime nous attache progressivement aux personnages, et nous montre que l'amour peut parfois avoir plusieurs facettes.
Le sujet tabou est bientôt transformé en un hymne à l'amour, opposé de façon violente à l'amour d'une adolescente de tous les jours et à l'amour bien plus "puissant" d'un adulte approchant la trentaine.
Les sentiments sont traités de telle manière que l'avis des narrateurs ne nous est pas imposé, même si la narration nous pousse à soutenir nos deux personnages.
Conclusion
Bénéficiant d'un rythme lent mais efficace, cet animé nous tient en haleine tout au long des 13 épisodes qui le compose. Ne vous attendez pas à découvrir des scènes de débauche, ou de l'action à tous va, mais plutôt un mélange de sentiments que tous, nous pouvons, à un moment ou à un autre éprouver. L'anime essaye d'expliquer ces sentiments, de façon douce et progressive.
Koi Kaze est une grande réussite dans le monde de l'animation qui m'a beaucoup troublé et qui a réussi à éveiller en moi des questions que je n'ai pas forcément l'habitude de me poser.
Le voyage qu'il nous est donné de faire est merveilleux, et même si le thème abordé ne conviendra pas aux plus jeunes, il permettra aux plus matures d'entre nous, de réfléchir à un sujet que la société n'est peut être pas prête à traiter, avec en prime une magnifique histoire à découvrir.
Un anime qui sort des sentiers battus, mais qui de par son sujet, sa narration et son émotion, se doit d'être savouré.
Courage, il faut lire titter
Edit : Bugs de syntaxe made in Subway corrigées

--
Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
*Édité à 1:04am, 06/26/08
Message n° 610661, posté à 13:21 le 26/06/2008  
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Kenji
GANTZ par Hiroya OKU
 [x]
Keitaro est un adolescent banal, il va au lycée et rentre le soir chez lui dans son studio. Cependant, le soir où débute le manga, en rentrant, il va rencontrer sur la rame de métro, un de ses amis d'enfance Masaru Kato, qui bien que possédant une carrure imposante, est un grand philanthrope. En voulant sauver un clochard d'une mort certaine, nos deux compères meurt écrasé. Oui, oui, vous lisez bien, les héros de l'histoire meurt dès le début !
Cependant, c'est pourtant là que tout commence. Ils vont se réveiller enfermé dans un appartement en plein Tokyo, où d'autres personnes sont déjà présente. Au milieu du salon, une sphère noire imposante les observe. GANTZ leur offre une deuxième chance, cependant pour la saisir, ils devront accomplir ses ordres à la lettre. Et ses ordres sont des missions.
En effet, GANTZ propose des missions, où le but est simple : tuer la cible dans un temps imparti. Cette cible est un martien qui varie à chaque nouvelle mission. Ce que GANTZ ne dit pas, c'est que chaque cible possède des acolytes et n'est pas nécessairement le boss de la mission. Après chaque ordre de mission, la sphère s'ouvre pour laisser apparaître des mallettes contenant des combinaisons noires ( Je vous laisse découvrir à quoi elles servent ) ainsi que des armes.
Chaque martiens lors d'une mission rapportent des points, obtenir 100 points permet 3 choses :
- Se libérer de GANTZ
- Ressuciter une personne morte dans GANTZ.
- Obtenir une arme plus puissante.
Là, où Oku fait très fort, c'est que la sphère noire ne possède aucune humanité et cela peut être n'importe qui pouvant apparaître dans la salle de la sphère. On ne s'étonnera pas donc de voir un chien, un panda, des vieux, un enfant de 4 ans.
Et Oku ne fait pas non plus dans la dentelle, en effet, tout le monde meurt, n'espérez pas vous attacher à un personnage, ça n'est pas parce qu'il a survécu à une mission, qu'il survivra dans la suivante.
Le seul véritable héros est Keitaro. Bien que lache et peureux au début, il suivra son modèle Kato, pour s'affirmer et devenir le leader de la team GANTZ.
Pour le chara design, Oku dessine tout par ordi. Dans les 10 premiers tomes, les visages font un peu rondouillard, mais le trait s'affirme et devient excellent à partir des tomes 15, 16.
Je sais que le propos peu paraître très bizarre au départ, encore plus quand vous apprenez les noms des martiens, l'un d'entre eux s'appelant le martien poireaux, ou encore la mission Dino, où les héros combattent une armée de Raptor et un T-rex géant. Moi aussi, je suis parti avec un a priori. Mais putain, quelle claque, surtout quand les véritables ennemis de GANTZ apparaissent.
Parution : 22 tomes à ce jour en France. Les 20 premiers tomes caractérisent la phase 1, et les suivants la phase 2.
23 tome au Japon.
Bonne lecture.

Message n° 610957, posté à 14:56 le 26/06/2008  
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running_shodown
Super présentation, ça donne envie de le lire. Une question, tout de même, comment est l'anime? (pas d'argent pour acheter la version papier, mais si l'anime est bon, peut être que je pourrai me faire une idée).
Merci.

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