Sujet n°16269 créé le 15/01/2009 à 23:20 par Fresh Prince - Vu 2337786 fois par 23090 utilisateurs
Batefer
FP Unchained a dit
Ca part du même principe, une maison accueille un inconnu dont le comportement est plutôt normal, mais, du point de vue des hôtes, et donc, du notre, ce comportement est anormal, et bizarre. Et puis ça monte en pression, pendant que le/les invité(s) ne cesse(nt) de dire que tout ce qu'il(s) veule(nt), c'est être sympa(s), reconnaissant(s), etc.
le 15/09/2017 à 22:23
:Ca part du même principe, une maison accueille un inconnu dont le comportement est plutôt normal, mais, du point de vue des hôtes, et donc, du notre, ce comportement est anormal, et bizarre. Et puis ça monte en pression, pendant que le/les invité(s) ne cesse(nt) de dire que tout ce qu'il(s) veule(nt), c'est être sympa(s), reconnaissant(s), etc.
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je parles pas au cons sa les instruits
je parles pas au cons sa les instruits
FP Unchained
Batefer a dit
T'es sûr que c'est un film et pas un truc que tu as vécu ?
le 16/09/2017 à 19:19
:T'es sûr que c'est un film et pas un truc que tu as vécu ?
mort5 a dit
L'ultime souper ?
le 16/09/2017 à 17:50
:L'ultime souper ?
koni a dit
The Guest ?
le 16/09/2017 à 17:51
:The Guest ?
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J'AIME FINALLY
Holding out for a hero ?
J'AIME FINALLY
Holding out for a hero ?
Toeman
FP Unchained a dit
Ca part du même principe, une maison accueille un inconnu dont le comportement est plutôt normal, mais, du point de vue des hôtes, et donc, du notre, ce comportement est anormal, et bizarre. Et puis ça monte en pression, pendant que le/les invité(s) ne cesse(nt) de dire que tout ce qu'il(s) veule(nt), c'est être sympa(s), reconnaissant(s), etc.
le 15/09/2017 à 22:23
:Ca part du même principe, une maison accueille un inconnu dont le comportement est plutôt normal, mais, du point de vue des hôtes, et donc, du notre, ce comportement est anormal, et bizarre. Et puis ça monte en pression, pendant que le/les invité(s) ne cesse(nt) de dire que tout ce qu'il(s) veule(nt), c'est être sympa(s), reconnaissant(s), etc.
Perso, au début, ça m'a fait penser à Harry un ami qui vous veut du bien avec un peu de Rosemary's BabyMais après, bien moins...
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Crime, sex and rock 'n' roll in Cabot Cove.
Crime, sex and rock 'n' roll in Cabot Cove.
*édité à 15:43 le 17/09/2017
Batefer
Alors quand l'immortel Gérard "j'ai toute confiance en mon agent" Butler s'associe à l'ancien partenaire dans le crime de Roland "destruction porn" Emmerich, je fonce voir ce qui s'annonce assurément comme un chef-d'oeuvre du genre.
Donc ce brave Gégé campe ici le plus grand scientifique de la planète, dans un choix de casting aussi improbable que réjouissant rendant presque crédible Denise Richards en physicienne nucléaire.
Suite à diverses catastrophes (le sous-titre du film est "Climate Change: The Movie"), les pays du monde entier s'allient (30 secondes et on nage déjà en pleine science-fiction) pour construire une armada de satellites qui vont contrôler la météo. Donc les tornades, les inondations, les tsunamis, toutes ces merdes là hop, c'est fini. la Terre essaye de nous baiser ? Fuck you ! C'est nous qu'on la baise ! Je paraphrase mais c'est pratiquement ce qu'on nous explique au début (avec la voix d'une fillette donc forcément en plus poli).
Moi je m'étonne un peu qu'on supprime notamment les moussons parce que ça me semble un élément essentiel pour l'agriculture des pays concernés, mais qu'est-ce que j'en sais hein.
Pas un mot non plus sur les tremblements de terre, apparemment même le scénario n'a pas jugé crédible de contrôler les plaques tectoniques depuis l'espace. Dans la suite peut-être ? (je croise les doigts)
Or donc cette belle couche de satellites qui protège notre planète (ce qui rappelle le pitch d'Highlander 2, sans déconner, vérifiez si vous ne me croyez pas) se met subitement à disjoncter et à causer diverses catastrophes, une tempête de neige en plein désert, une vague de chaleur à Hong Kong, un sourire des frères Bogdanoff, ce genre de choses.
Gégé, qui avait été envoyé en retraite forcée, est donc rappelé à la rescousse pour corriger le problème en orbite (via un ridicule parc de trouze-milles navettes de la NASA prêtes au départ qui ferait passer le fameux "on construit tout en double" d'Armageddon pour une gentille plaisanterie) pendant que son frangin chapeaute les opérations au sol et que la fiancée de ce dernier protège le président des USA. Marabout-bout-de-ficelle, la subtilité traverse l'écran et étouffe chaque spectateur ayant eu le malheur de s'égarer là.
Car évidemment, tout cela est un sabotage, oeuvre d'un méchant tapi dans l'ombre qu'on ne voit pas-du-tout venir avec ses gros sabots, qui accomplit tout cela pour devenir président à la place du président. Les élections sont un procédé tellement surfait, il est bien plus simple de zigouiller la moitié du globe ("mais on va sauver les spots les plus cools" nous informe le saboteur, ce qui est censé nous rassurer quant à l'intelligence de l'entreprise).
Je vous passe les détails, plusieurs catastrophes plus tard Gégé règle le problème depuis l'espace mais évidemment il y a un compte à rebours car l'autodestruction de la station est enclenchée ("- Mais pourqu... - Ta gueule.). Vont-ils nous faire une Armageddon et sacrifier le héros du film ? Suspense ! (non)
Le frérot et sa nana kidnappent le président (on est dans Benjamin Gates 2 maintenant, je m'attends à un caméo de Nicolas Cage au point où on en est) parce que c'est marqué dans le script et parviennent à éteindre les satellites. Toutes les tempêtes qui, si elles se rencontrent, vont créer une (tin tin tin) GEOSTORM (et non pas une GeoStromae, ce qui n'a rien à voir), s'arrêtent donc instantanément au mépris de toutes les lois de la physique, et nos héros vont à la pêche.
À noter qu'à la surprise de personne, notre scénario est encore signé par l'infatigable Jean-Michel Cliché avec, entre autres :
Les héros échappent de justesse à des chutes d'immeubles quand tout le monde autour d'eux se fait écraser.
Une grande ville américaine explose littéralement mais une seule voiture réussit à évacuer par l'autoroute : celle des héros, gagné.
Du racisme ordinaire avec un habitant de Dubaï qui se déplace en dromadaire (aussi populaires que les Mercedes là-bas paraît-il).
Et l'inévitable plan sur le petit chien sauvé miraculeusement (d'une tornade qui emmenait des immeubles deux secondes plus tôt).
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je parles pas au cons sa les instruits
je parles pas au cons sa les instruits
Baje
Un ex-soldat au passé de merde doit retrouver une gamine et [scénario à chier d'un mauvais revenge movie]
Une fois que vous aurez pensé à un mauvais revenge movie (easy) dites vous que c'est mieux que ce que propose le film. Et c'était il y a sans doute de plus de 30 ans.
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Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
*édité à 17:53 le 11/11/2017
Batefer
En plus d'auto-repomper son score de Hulk au détour d'une piste (sans que ça n'apporte rien en plus), il n'y a strictement rien d'inoubliable dans ce score. Aucun thème marquant, aucune envolée épique digne de ce nom, aucune fulgurance digne des grands jours du compositeur historique de Batman.
Certes il a dû faire vite puisque dans la grande tradition hollywoodienne, il a débarqué sur le film à la dernière minute, ce qui n'est jamais tâche facile.
Certes il a remplacé Junkie XL, ce qui nous donne un score beaucoup plus orchestral et moins synthétique que ce que ce dernier aurait sans doute concocté.
Certes le double album est généreux en terme de durée et on ne peut pas dire non plus que ce soit désagréable à l'écoute.
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je parles pas au cons sa les instruits
je parles pas au cons sa les instruits
Nao
American Assassin (2017) : j'aurais dû vérifier sur imdb avant de regarder, ça m'aurait évité de me demander pourquoi j'avais l'impression de voir un épisode chiant de Homeland.
I don't feel at home in this world anymore. (2017) : bon film Netflix sur la dépression et le karma. Mason Blair se défend pas mal, même s'il n'est pas Jeremy Saulnier.
Francisco51
ricorod a dit
Bright : entre Training Day et Hellboy 2. Why not ?
le 24/12/2017 à 07:15
:Bright : entre Training Day et Hellboy 2. Why not ?
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-Ouh pinaise!-
-Ouh pinaise!-
Gan
Francisco51 a dit
Bof, il a refait un training day avec de l'heroic fantasy en moins marquant.
le 26/12/2017 à 12:23
:Bof, il a refait un training day avec de l'heroic fantasy en moins marquant.
Hormis la scène lamentable complètement pompé sur training day,j'ai trouvé que c'était un mauvais plagiat de Alien Nation avec James Caanpour ceux qui s'en souviennent.
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