J'ai beaucoup aimé personnellement, l'épisode était très ambigu, à l'image du personnage toujours impeccablement campé par l'inénarrable Zeljko Ivanec. J'espère qu'il ne fera pas que de la figuration, et qu'il apportera une dynamique supplémentaire à la narration.
Justement, je ne suis pas d'accord avec toi et en même temps, c'est vrai qu'il était mou. Bon, le coup du previously dans tout l'épisode, c'était un peu abusé, mais why not ? Je trouve au contraire que ça le permet de ne pas trop s'enfoncer dans la surenchère de violence, moins de présence à l'écran que les deux gosses Brody, apporte un vrai plus, assez subtil, on a pas l'impression qu'on a à chaque "gosse de perso principal" qu'ils vont inventer une nouvelle façon de la faire exister complètement invraisemblable à chaque saison.
Du particulier au général, je dirais qu'on entre paradoxalement de plus en plus dans le vif du sujet, on commence à cerner certaines ambitions des scénaristes, et si tu te rappelles, dans la première saison, c'était pas la fête à neuneu à chaque épisode.
Et c'est marrant la manière dont la série s'intéresse au mal et à sa transmission, à ses codes, à sa morale, à ses nuances, surtout. (Proctor et sa nièce, le vieux Barman, Job, Ana et sa fille, Ana et Rabbit, Hood avec la terre entière) D'où l'intérêt qu'a éveillé en moi toute la partie Indien que je considérer encore plus comme des faire-valoir que les Amish.