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Message n° 3561794, posté par liloboot à 14:17 le 17/01/2013
Message n° 3561794, posté à 14:17 le 17/01/2013
Message sous votre seuil ( Afficher quand même) Du coup, également, on se demande quel film freshos a bien pu aller voir.
Message n° 3561798, posté par GuL à 14:24 le 17/01/2013
Message n° 3561798, posté à 14:24 le 17/01/2013
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Message n° 3561799, posté par Hayduke à 14:26 le 17/01/2013
Message n° 3561799, posté à 14:26 le 17/01/2013
Message sous votre seuil ( Afficher quand même) Même si on te dit que sur les trois morceaux de Morricone qui apparaissent sur la BO, deux sont extraits de Two Mules for Sister Sara et le troisième d'un Corbucci avec Joseph Cotten, I Crudeli, que je n'ai pas vu mais que toi, tu dois connaître ? *édité à 14:27 le 17/01/2013
Message n° 3561803, posté par AnTiX à 14:28 le 17/01/2013
Message n° 3561803, posté à 14:28 le 17/01/2013
Message sous votre seuil ( Afficher quand même) FP Unchained a dit le 17/01/2013 à 13:34 :Faut pas mal interpréter mes propos. Tarantino atteint ici un talent de réalisateur qu'il avait eu du mal à atteindre jusque là. Mais pourquoi dire que l'on fait un western si c'est pour avoir au final le scénario et la construction d'un film de kung-fu ? Je veux bien que ça se passe dans le far west en 1858 et que les gars ont des chapeaux et des chevaux, mais l'habit fait pas le moine, si ? Et puis, mettre du Ennio Morricone dans tous ses films pour ne pas en mettre dans celui-là ? Really, Tarantino ? C'est vrai que Tarantino, n'est pas du tout connu pour mixer les genres...
Message n° 3561810, posté par Hayduke à 14:32 le 17/01/2013
Message n° 3561810, posté à 14:32 le 17/01/2013
Message sous votre seuil ( Afficher quand même) Exact. On se demande d'ailleurs bien pourquoi il n'a jamais fait tourner David Carradine, qui rappelons-le, était la star d'un feuilleton dans lequel un moine shaolin expert en kung fu arpentait les grands espaces sauvages de l'Ouest américain...
Message n° 3561814, posté par valpi à 14:39 le 17/01/2013
Message n° 3561814, posté à 14:39 le 17/01/2013
Message sous votre seuil ( Afficher quand même) Si ça se trouve il aurait été bon Carradine, en plus.
Message n° 3561821, posté par Hayduke à 14:44 le 17/01/2013
Message n° 3561821, posté à 14:44 le 17/01/2013
Message sous votre seuil ( Afficher quand même) Comment savoir ? C'est trop tard, maintenant. Y a quand même un truc énorme sur la BO. Non, parce que je sais pas si vous avez calé, mais y a la musique du génial Under Fire de Spottiswoode. Eh ouais. Rien que pour ça...
Message n° 3561833, posté par valpi à 14:50 le 17/01/2013
Message n° 3561833, posté à 14:50 le 17/01/2013
Message sous votre seuil ( Afficher quand même) Quelqu'un a regardé la série avec Carradine récemment, d'ailleurs ? Juste pour savoir si ça fait pas trop kitschou avec les années.
Message n° 3561850, posté par Hayduke à 15:18 le 17/01/2013
Message n° 3561850, posté à 15:18 le 17/01/2013
Message sous votre seuil ( Afficher quand même) Ça non plus, d'ailleurs, c'est pas très pertinent, si je puis me permettre. Ça fait partie intégrante de l'arsenal tarantinien, le décalage dans la BO et les anachronismes musicaux. Cf. Bowie dans Inglourious Basterds par exemple, puisque c'est son autre period piece. C'est pas parce qu'il aborde un genre aussi classique que le western qu'il devrait renoncer nécessairement à son dispositif. Même si c'est peut-être ce dernier qui finira par le perdre ou par lasser, je te l'accorde. Je n'ai pas encore vu le film. Je lisais d'ailleurs l'autre jour, je sais plus où, un truc dans lequel l'auteur dénigrait Tarantino, selon lui un cinéaste très surestimé, en le traitant de vulgaire "vendeur de compilations". C'est évidemment très con, mais c'est assez bien trouvé. valpi a dit le 17/01/2013 à 14:50 :Quelqu'un a regardé la série avec Carradine récemment, d'ailleurs ? Juste pour savoir si ça fait pas trop kitschou avec les années. Ah non, mais je suis sûr que c'est toujours aussi cool ! Je viens de mater le générique suite à ton message, et je ne me souvenais pas que c'était Keith Carradine qui jouait le jeune Kung Fu. C'est marrant. *édité à 15:19 le 17/01/2013
Message n° 3561875, posté par Batefer à 15:59 le 17/01/2013
Message n° 3561875, posté à 15:59 le 17/01/2013
Message sous votre seuil ( Afficher quand même) FP Unchained a dit le 17/01/2013 à 13:34 :Faut pas mal interpréter mes propos. Tarantino atteint ici un talent de réalisateur qu'il avait eu du mal à atteindre jusque là. Mais pourquoi dire que l'on fait un western si c'est pour avoir au final le scénario et la construction d'un film de kung-fu ? Je veux bien que ça se passe dans le far west en 1858 et que les gars ont des chapeaux et des chevaux, mais l'habit fait pas le moine, si ? Et puis, mettre du Ennio Morricone dans tous ses films pour ne pas en mettre dans celui-là ? Really, Tarantino ? N'importe quoi. FP Unchained a dit le 17/01/2013 à 13:34 :Et je parle même pas de Christophe Waltz, véritable parodie de lui-même qui, même s'il est très bon hein, est beaucoup trop proche de son rôle d'Hans Landa pour que l'on arrive à penser à King Schultz. D'autant plus que ce sont les scènes où il n'est pas à l'écran qui sont de très loin les meilleures, comme quoi... N'im-por-te-quoi. -- je parles pas au cons sa les instruits
Message n° 3561933, posté par Hayduke à 16:57 le 17/01/2013
Message n° 3561933, posté à 16:57 le 17/01/2013
Message sous votre seuil ( Afficher quand même) Bon, sinon, les derniers films que j'ai vus, un peu à la bourre, mais bon... Killer Joe : 6/10. À voir, évidemment, mais j'ai eu un peu de mal avec le nihilisme total du truc. Impression d'écouter un vieillard misanthrope ressasser son aigreur. Pas vraiment envie d'un truc aussi frontal, en ce moment, peut-être, je sais pas trop. Twixt : 7/10. Je vous entends déjà ricaner, mais en fait, j'ai vraiment aimé ce truc, tambouille ultra personnelle et bordélique d'un mec qui semble n'en avoir plus rien à foutre de rien. On sait pas trop à qui ça s'adresse, si ce n'est à son auteur, c'est peut-être un peu la limite du truc. Coppola en Colonel Kurtz monologuant, paumé au fond de la jungle hollywoodienne, quelque chose comme ça, peut-être ? Dredd : 5,5/10. Bof. J'ai vraiment aimé la première demi-heure, qui met en place l'univers et l'intrigue de manière très satisfaisante, mais la suite ne m'a pas du tout intéressé, ça tourne en rond et l'ennui s'installe assez vite. C'est pas nul du tout, c'est plutôt honnête, y a quelques chouettes idées, mais ça l'a pas fait en ce qui me concerne. Looper : 7/10. Là, par contre, j'ai vraiment accroché. Alors, je ne sais pas si c'est cohérent et tout ça au niveau du récit, c'est ce que certains semblent reprocher au film. En revanche, j'ai vraiment beaucoup aimé l'ambiance, les personnages jamais d'un seul bloc, et toute la seconde partie du film m'a beaucoup touché. Comme dans les films précédents du mec, il y a un art de la réminiscence cinéphile, une façon assez ambitieuse d'explorer et d'entrelacer les genres, mais très différente de celle de Tarantino puisqu'on en parlait, qui me plaît bien. Searching For Sugar Man : 6,5 /10. Évidemment, je suis un peu partagé, puisque ce documentaire met en lumière, avec le succès qu'on connaît, un secret trop bien gardé depuis longtemps. Me flattant de faire partie de longue date du cercle des connaisseurs de Rodriguez, je suis un peu agacé de devoir partager mon joujou avec tout le monde. Mais c'est évidemment une réserve toute personnelle et totalement irrecevable, j'en suis conscient, pas d'affolement. Si le film ne brille pas spécialement par sa réalisation, impossible de ne pas être touché par la passion et l'acharnement des gars qui ont sorti notre homme de l'ombre. Le récit de leur quête est aussi passionnant qu'émouvant. Il constitue toute la première partie du film. La seconde se recentre sur Rodriguez et on découvre - même si on est familier de sa musique, seuls ses deux albums parlaient pour lui jusqu'ici - un type incroyablement touchant et humain, un peu perché, qui délivre au passage une sacrée leçon d'humilité. Ça fait du bien, on va dire. Argo : 6,5/10. Attention, je fais pas la fine bouche, j'ai pris mon pied en le voyant, c'est ultra efficace, on s'emmerde pas une seconde, et je trouve super naze les gens qui se mettent à chier sur le film depuis que les récompenses se mettent à pleuvoir. Je trouve aussi injuste les critiques concernant la représentation ultra monolithique de l'Iran, puisque celle-ci est cohérente par rapport au récit, et ici, seul le récit importe. C'est à la fois la réussite et la limite du film. On suit les Ricains, on est pas dans un doc sur l'Iran post Shah. Ce qui peut sembler plus gênant, c'est qu'en fait de déclaration d'amour au cinéma, on a plutôt une déclaration d'amour à la roublardise hollywoodienne. Et si le film décroche la timbale aux Oscars, ce sera en toute logique, finalement, puisqu'il tend un miroir très flatteur à l'industrie. Le duo Goodman/Arkin est irrésistible, et si Affleck s'en sort pas trop mal, il manque évidemment au film un Redford ou un Newman pour qu'il puisse prétendre à retrouver la magie du cinéma ricain des 70s après laquelle il court visiblement. End of Watch : 6,5/10. Je met 6,5 parce que j'essaie d'être un peu objectif, mais j'ai carrément kiffé. Disons qu'il y a tout un attirail de mise en scène qui semble justifier l'existence même du film mais dont au final on se fout complètement. En revanche, moi qui ne sais pas résister à un bon LA movie, là, j'ai été servi. Ici, la ville, à la fois effrayante et sidérante, fantasme et repoussoir, incubateur géant de plus ou moins tout ce qui merde en Occident, dévore absolument tout, impitoyablement. À commencer par les deux superbes personnages magnifiquement campés par Gyllenhaal et Peña, le duo du film, qui fonctionne à merveille, à mon humble avis. Vraiment cool. Berberian Sound Studio : 7/10. Mon petit chouchou du moment. Projet totalement fétichiste, un pied chez Polanski première façon, un pied chez Lynch (même si évidemment ces comparaisons sont un peu trop flatteuses par rapport au film), qui narre les tribulations d'un spécialiste des effets sonores anglais, vieux garçon vivant encore chez sa maman, débarquant en Italie dans les années 70 pour travailler sur un film d'horreur (enfin, le réalisateur du film dans le film ne serait pas d'accord avec cette définition...) On ne sortira jamais de cet oppressant studio, dans lequel notre héros va perdre peu à peu ses repères, et nous avec lui. Peut-être pas un grand film mais une expérience de cinoche qui sort des sentiers battus avec une certaine réussite. Pour les amateurs, Broadcast a fait la musique, évidemment comme des poissons dans l'eau dans cet univers, et le designer et musicien Julian House (co-fondateur du label Ghost Box notamment) s'est chargé du générique. Je suis devenu de plus en plus bavard au fil du truc... Désolé ! *édité à 17:07 le 17/01/2013
Message n° 3561957, posté par FP Unchained à 17:22 le 17/01/2013
Message n° 3561957, posté à 17:22 le 17/01/2013
Message sous votre seuil ( Afficher quand même) Celle qui est cité au début y a pas écrit qu'elle est dans ce film remixée, par hasard ? C'est comme dire que dans Basterds, la musique du début (The Verdict) est du Ennio Morricone. Je parle de la fin... Hayduke a dit le 17/01/2013 à 14:32 :Exact. On se demande d'ailleurs bien pourquoi il n'a jamais fait tourner David Carradine, qui rappelons-le, était la star d'un feuilleton dans lequel un moine shaolin expert en kung fu arpentait les grands espaces sauvages de l'Ouest américain... Hum, vous l'avez vu le film, ou juste lu ma critique ? Et surtout, l'avez-vous bien lue ? J'écris que c'est bien plus un film de kung-fu qu'un western (donc c'est aussi quand même un western), ça servait à rien d'hurler à tout bout de champ qu'il allait faire son western, et vous me sortez ça ? Lol un peu, non ? -- J'AIME FINALLY
Holding out for a hero ?
Message n° 3561961, posté par FP Unchained à 17:25 le 17/01/2013
Message n° 3561961, posté à 17:25 le 17/01/2013
Message sous votre seuil ( Afficher quand même) Hayduke a dit le 17/01/2013 à 15:18 :Ça non plus, d'ailleurs, c'est pas très pertinent, si je puis me permettre. Ça fait partie intégrante de l'arsenal tarantinien, le décalage dans la BO et les anachronismes musicaux. Cf. Bowie dans Inglourious Basterds par exemple, puisque c'est son autre period piece. C'est pas parce qu'il aborde un genre aussi classique que le western qu'il devrait renoncer nécessairement à son dispositif. Même si c'est peut-être ce dernier qui finira par le perdre ou par lasser, je te l'accorde. Je n'ai pas encore vu le film. Très bon exemple. Mais ce n'est pas l'anachronisme qui me dérange, juste le rap hardcore dans de très belles scènes et surtout dans un western. Ca m'a beaucoup déplu, sur le coup. Et pourtant, vous connaissez bien mon amour pour l'homme et toi tu connais particulièrement mon amour pour cette scène avec Bowie. Merci mec. Bisous mec. Hayduke a dit le 17/01/2013 à 16:57 :Looper : 7/10. Là, par contre, j'ai vraiment accroché. Alors, je ne sais pas si c'est cohérent et tout ça au niveau du récit, c'est ce que certains semblent reprocher au film. En revanche, j'ai vraiment beaucoup aimé l'ambiance, les personnages jamais d'un seul bloc, et toute la seconde partie du film m'a beaucoup touché. Comme dans les films précédents du mec, il y a un art de la réminiscence cinéphile, une façon assez ambitieuse d'explorer et d'entrelacer les genres, mais très différente de celle de Tarantino puisqu'on en parlait, qui me plaît bien. Je m'attendais pas à ce qu'autant de monde du même topic l'aiment, même si c'est cohérent, au final. -- J'AIME FINALLY
Holding out for a hero ?
Message n° 3561965, posté par nam3 à 17:29 le 17/01/2013
Message n° 3561965, posté à 17:29 le 17/01/2013
Message sous votre seuil ( Afficher quand même) FP Unchained a dit le 17/01/2013 à 17:25 :Très bon exemple. Mais ce n'est pas l'anachronisme qui me dérange, juste le rap hardcore dans de très belles scènes et surtout dans un western. Ca m'a beaucoup déplu, sur le coup. Et pourtant, vous connaissez bien mon amour pour l'homme et toi tu connais particulièrement mon amour pour cette scène avec Bowie. Sympa, la discrimination. Tu apprendras que le rap hardcore peut aussi faire passer plein d'émotions. C'est bien plus original d'entendre du Tupac dans ce film, plutôt qu'une énième BO d'Ennio Morricone.
Message n° 3561967, posté par FP Unchained à 17:31 le 17/01/2013
Message n° 3561967, posté à 17:31 le 17/01/2013
Message sous votre seuil ( Afficher quand même) nam3 a dit le 17/01/2013 à 17:29 :Sympa, la discrimination. Tu apprendras que le rap hardcore peut aussi faire passer plein d'émotions. C'est bien plus original d'entendre du Tupac dans ce film, plutôt qu'une énième BO d'Ennio Morricone. Mais quelle discrimination ? Tu vas me sortir que tu m'as jamais lu ici écrire "Tupac n'est pas mort" ? Ca a toute ma vie été mon chanteur préféré, ça n'a absolument rien à voir avec son rap (surtout que c'est ici une remix), mais avec les scènes dans lesquelles on a droit à ce rap. Viens pas me parler de rap à moi, franchement... -- J'AIME FINALLY
Holding out for a hero ?
Message n° 3561969, posté par FP Unchained à 17:32 le 17/01/2013
Message n° 3561969, posté à 17:32 le 17/01/2013
Message sous votre seuil ( Afficher quand même) Et c'est quand même un sacré gâchis de ne pas avoir mis Blueprint 2 de Jay-Z. Ca aurait été parfait. -- J'AIME FINALLY
Holding out for a hero ?
Message n° 3561970, posté par FP Unchained à 17:32 le 17/01/2013
Message n° 3561970, posté à 17:32 le 17/01/2013
Message sous votre seuil ( Afficher quand même) Et je vous en prie, regardez les films avant de répondre, sinon arrêtez de critiquer tenia derrière. -- J'AIME FINALLY
Holding out for a hero ?
Message n° 3561972, posté par liloboot à 17:33 le 17/01/2013
Message n° 3561972, posté à 17:33 le 17/01/2013
Message sous votre seuil ( Afficher quand même) Hayduke a dit le 17/01/2013 à 14:26 :Même si on te dit que sur les trois morceaux de Morricone qui apparaissent sur la BO, deux sont extraits de Two Mules for Sister Sara et le troisième d'un Corbucci avec Joseph Cotten, I Crudeli, que je n'ai pas vu mais que toi, tu dois connaître ? Alors, bien sûr, je dirais que ça sent le génie et reconsidérerais ma position.
1.26
Message n° 3561977, posté par liloboot à 17:36 le 17/01/2013
Message n° 3561977, posté à 17:36 le 17/01/2013
Message sous votre seuil ( Afficher quand même) T'es incroyablement susceptible et assez de mauvaise foi, depuis quelques temps, mon freshos. T'es à la limite du supportable, en ce qui me concerne. Qu'est-ce qui t'arrive, mec, ça va pas ?
Message n° 3561978, posté par nam3 à 17:37 le 17/01/2013
Message n° 3561978, posté à 17:37 le 17/01/2013
Message sous votre seuil ( Afficher quand même) OK, gros, pas d'embrouilles, je me calme. D'accord, je vais faire ça.
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