-- Je ne blogue plus, je micro-critique : http://www.vodkaster.com/RenSarr Rather than love, than money, than faith, than fame, than fairness... give me truth.
Message n° 3408688, posté par tenia à 16:11 le 29/09/2012
Je me suis infligé à nouveau cette purge histoire d'aborder les scènes alternatives (et rarement supplémentaires) dans de bonnes conditions. C'est encore pire que la première fois...
Concernant les scènes bonus, mon avis dessus...
Ca sauve pas le film de la catastrophe mais en plus pour moi ils ont gardé à chaque fois la pire version des scènes. Toutes sauf une sont meilleures dans les bonus que dans le film... Ca serait toujours nul, ça rattrape presque rien mais c'était au moins ça... Et au vu des scènes en question, il n'y aura jamais de DC sur ce film. Au moins, j'ai bien aimé la réplique finale et ça fait un petit peu mieux passer la fin.
-- Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
*édité à 17:11 le 29/09/2012
Message n° 3408964, posté par Baje à 19:49 le 29/09/2012
Merci le chat, j'ai trouvé son analyse finale brillante.
-- I am Ripper... Tearer... Slasher... I am the Teeth in the Darkness, the Talons in the Night. Mine is Strength... and Lust... and Power! I AM BEOWULF!
Message n° 3409054, posté par Batefer à 20:42 le 29/09/2012
: Dahan égratigne le nouveau cinéma, avec les daubes que sont Prometheus et TDKR, pour ensuite chroniquer Expandables 2 et The Cabin in the Wood.
Il avait déjà parlé de Prometheus dans la dernière émission de la saison précédente, pour dire qu'il n'en parlerait pas tellement il avait trouvé ça nul. A la place, il avait préféré chroniquer le dernier Jason Statham...
-- je parles pas au cons sa les instruits
Message n° 3409065, posté par Batefer à 20:46 le 29/09/2012
: Le problème, c'est pas de trouver Prometheus nul, c'est plutôt de penser contre-balancer avec Expandables 2.
Il dit que c'est nul.
-- I am Ripper... Tearer... Slasher... I am the Teeth in the Darkness, the Talons in the Night. Mine is Strength... and Lust... and Power! I AM BEOWULF!
Message n° 3409105, posté par homereb à 21:06 le 29/09/2012
: Merci le chat, j'ai trouvé son analyse finale brillante.
L'analyse sur cabin in the woods, le fait de se mettre à distance du genre etc ... j'ai trouvé ça très fin moi. Mais tu y avais sans doute déjà pensé avant.
-- I am Ripper... Tearer... Slasher... I am the Teeth in the Darkness, the Talons in the Night. Mine is Strength... and Lust... and Power! I AM BEOWULF!
Message n° 3409106, posté par Sao à 21:06 le 29/09/2012
Papi Schwarzy va defoncer les farcs en Colombie pour sauver Ingrid assouvir une vengeance.C'est mou. Impossible de rentrer dans le film, les mechants ne font pas peurs, Schwarzy est plus spectateur qu'acteur.Pas genial.
-- Je que vous l'homme de la situation. Et comment donc qui, je vous prie ?
Message n° 3409119, posté par Sao à 21:13 le 29/09/2012
Vraiment cool.Le premier est sympa, le deuxieme est super cool.Vraiment aime ces deux premiers films. McLane est un type qui demande rien a personne et qui se retrouve dans des situations plus grosses que lui, avec un humour debride.
Les 2 suivants sont plus decevants.Celui dans New York mise uniquement sur l'action, et on s'eloigne de l'esprit des 2 premiers.
Le dernier est une farce. Sympa, mais je ne vois pas le rapport avec les 3 precedents. C'est juste un film d'action staring Bruce Willis. Meme sa voix est completement differente.C'est juste une surenchere a chaque film (un building, un aeroport, une ville, un pays).
-- Je que vous l'homme de la situation. Et comment donc qui, je vous prie ?
Message n° 3409171, posté par Bbsiocnarf à 21:32 le 29/09/2012
: Je connaissais pas cette émission. Même si je partage l'analyse générale, le mec il aime s'écouter parler, quand même. C'est tout le temps comme ça ?
Oui. Le but c'est justement d'aller un peu au-delà de la simple présentation promo d'un film comme il y en a partout et d'approfondir un peu les sujets, sans oublier de faire preuve de détachement et d'humour. Je regarde Dahan dans ses différentes émissions depuis quasiment le début, et je ne m'en lasse pas, personnellement.
-- je parles pas au cons sa les instruits
Message n° 3409396, posté par tenia à 23:09 le 29/09/2012
: Il y a clairement quelque chose que je n'ai pas aimé dans ce film, mais je n'avais pas mis le doigt dessus. Il m'y a aidé. La réflexion sur toute la première partie, qu'on te dit d'emblée ne servir à rien, les références non digérées et agitées au spectateur tout du long, etc.
Le film est malheureusement tellement meta qu'il oublie d'exister par lui même.C'est ce qui m'a, perso, gêné pendant toute la 1ere heure.Tout est fait pour être parodique et meta, sauf que ça finit par plus ressembler à des mecs qui font une inside joke d'1h40 et oublie de faire un film en passant.C'est dommage parce que l'idée en tant que telle est bonne, et que le traitement est pas complètement dégueu (loin de là) mais le résultat est juste complètement bancal.
-- "To be is to do"-Socrate; "To do is to be"-Sartre; "Do Be Do Be Do"-Sinatra; Yippie ki yai, coffeemaker !
Message n° 3411213, posté par Fresh Prince à 18:46 le 30/09/2012
Prometheus (2012) #2012# : Je ne veux pas croire que le film que je viens de voir est le film qui aurait dû sortir. Je ne peux pas croire que ce montage soit le montage final, qu'il ne manque pas 40 minutes (facile) de film où les personnages sont expliqués, où leurs buts sont expliqués, etc.
Ca n'a jamais de sens. J'étais tout le long abruti par ce truc, je n'y voyais pas l'once d'un scénario, si bien que toutes les incohérences dont j'entends parler depuis des mois me sont passées au-dessus. J'entends par là que je n'ai pas vu une seule incohérence (enfin je crois), seulement une succession de trous scénaristiques, de trous si béants que l'on se demande si le film a été écrit et surtout relu.
Ce film m'a écoeuré de Fassbender, tellement son personnage n'a aucun sens. Sans déconner, c'est un robot sous Windows 95 ou quoi ? Tout ce qu'il fait n'a aucun sens. JAMAIS !
Noomi Rapace, n'en parlons pas. Elle se charcute le bide et court, se baisse, sautille... J'ai eu une opération du nombril je pouvais plus bouger pendant 1 semaine et elle, à chaud, sans anesthésie ou presque, ça lui passe au-dessus. Non, elle est trop forte pour être humaine.
Le Space Jockey, ce serait pas Mark Strong par hasard ?
On pourrait continuer avec tous les personnages : Guy Pearce qui est vraiment adepte au maquillage et aux rôles caricaturaux, Theron qui fait la nana froide pour qu'on doute sur son humanité, Idris Elba qui, bien qu'étant le seul être avec un cerveau et une logique dans le film, n'arrête pas de chanter parce qu'il croit que ça le rend cool...
Mais continuer serait passer au-delà du fait qu'au final, ce film ressemble à une immense bande-annonce beaucoup trop longue (les 2h semblent en durer 20) d'une nouvelle trilogie. Au final, seule l'introduction aura été intéressante, et si le film s'était arrêté là, ça aurait certes été un court-métrage, mais un court-métrage bien plus intelligent que la merde pseudo-philosophique ressemblant souvent à une discussion de bar entre les deux frères Scott complètement beurrés qui débattent sur ce qu'il y a avant et après la vie. Et si c'est de mauvais goût, je m'excuse même pas, tant ce film m'a énervé.
C'est clair qu'à côté, Batman, c'est un modèle d'écriture hein.
Alors oui, y en a toujours pour dire que le verre est à moitié plein, que les effets spéciaux sont très beaux, que la photo l'est tout autant, que la réalisation (même si elle n'est pas non plus transcendante)... Mais ça renforcera l'idée que l'on est là devant une démonstration du tout nouveau logiciel d'effets spéciaux de l'équipe de Scott, comme les premières images le laissaient penser. Comme si ce que l'on voyait n'était censé être que beau, qu'on devait regarder le film en mode muet pour ne pas entendre ça, ne pas endurer ça. "On s'en fout qu'il n'y ait pas de scénario, c'est un blockbuster !""
Scott, pour le bien de tous, et pour montrer qu'il te reste un semblant de logique, ne touche pas à Blade Runner, je t'en supplie.
PS : Quand j'ai vu que la musique était de Harry Gregson-Williams, j'ai ri.PS2 : Le délire de la fin du générique mérite à lui seul une lapidation de Scott en place publique. Ca aurait pu être drôle, même cool, si ce qu'on avait vu n'était pas aussi nul. Là, ça ressemble plutôt à un dernier coup de couteau pour nous achever.
Message n° 3411246, posté par Batefer à 18:54 le 30/09/2012
: PS : Quand j'ai vu que la musique était de Harry Gregson-Williams, j'ai ri.PS2 : Le délire de la fin du générique mérite à lui seul une lapidation de Scott en place publique. Ca aurait pu être drôle, même cool, si ce qu'on avait vu n'était pas aussi nul. Là, ça ressemble plutôt à un dernier coup de couteau pour nous achever.
HGW a écrit deux morceaux dans le film. La musique est de Mark Streitenfeld qui est le compo régulier de Scott depuis quelques années maintenant.