Parce que les gens vont au cinéma voir du divertissement. Ils veulent pas faire fonctionner leur cerveau. Et lire, c'est faire fonctionner son cerveau...

Starship Troopers - Invasion : c'est bien badass tout comme il faut. Quel dommage que j'arrive vraiment pas à accrocher à ces persos en CGI.

Enfin bon... Si vous aimez les fesses et nichons virtuels, les méchas en pagaille, les massacres de bestioles à perte de vue et les fights spatiaux qui déchirent, je conseille quand même.

Décalage Horaire Hé beh, vive la daube. Mais bon, pas encore suffisant pour que je m'endorme devant

L'Apollonide - Souvenirs de la maison close (2011) #2012# : J'ai lu ici et là que beaucoup ont vu dans ce film une certaine poésie, une mélancolie. Voui, voir des femmes se faire violer et maltraiter pendant 2h, ça peut paraitre beau. Les voir plus nues qu'habillées aussi. Mais non, ça m'a plus fait chier qu'autre chose.

J'ai rien contre le cinéma contemplatif, hein. Ni le cinéma qui croit qu'en étant lent avec de la musique classique, c'est être cool. Mais faut au moins que je puisse un tant soit peu m'attacher aux personnages. Par exemple, dans le même genre, même si j'ai à peine plus apprécié, Sleeping Beauty arrivait très bien à faire en sorte que le spectateur soit dérangé (chose qu'essaye et réussit souvent le film de Bonello) tout en s'attachant aux personnages principaux, et soit touché par ces derniers. Ici, rien. On s'en fout comme de l'an 40. Tellement qu'on perd pied très vite.

Alors après, peut-être que j'aime simplement pas les films sur les maisons closes, qu'ils me laissent de marbre, et que j'ai plus souvent l'impression qu'on montre les filles nues pour les montrer nues et pas seulement dans un but artistique ou cinématographique. Je sais pas hein. Peut-être que j'étais pas dans de bonnes conditions pour le voir. Peut-être que j'aurais dû m'écouter et arrêter de le regarder dés qu'on voit "La fille qui rit", sorte de Joker réaliste à nichons, vu comme la vision de cette dernière m'a troublé et dérangé.

Toujours est-il que j'ai limite haï, et qu'au moment où je croyais que le cinéma français se portait au mieux et que ce film en était l'allégorie parfaite, je me suis pris un sérieux revers. Ce qui énerve d'autant plus, ce sont les grandes qualités, notamment la BO et les coups de génie sur certains plans qui rappellent qu'un réalisateur était derrière la caméra.

Ah, et, the fuck la fin ? J'ai limite peur d'avoir compris. J'espère pas, ça m'énerverait encore plus.

Koni, désolé si je te déçois, mais j'adorerais que tu me dises ce qui t'a plu.

L'adaptation me plaisait, je trouvais ça très bon, au contraire. C'est vraiment les césures... un "qui" en fin de ligne, etc.

Bon, et je veux pas relancer le débat sur le cinéma français que je viens de relire suite à la critique du chat sur le film sur la maison close là. Je voulais juste dire que je suis tout à fait d'accord avec sa critique aujourd'hui, que j'ai ressenti tout le long les mêmes choses, mais je trouve évidemment toujours qu'il se trompe sur toute la ligne concernant le cinéma français.

C'est le format des dialogues pour les sous-titres provenant du Bénélux. J'espère que tu vois pas ça en France, sinon ça veut dire qu'on est mal barré...

En parlant de film français, j'ai lancé l'Amour dure trois ans ce matin.J'en ai vu la moitié environ et c'est très, très mauvais.Cette manie de faire intervenir le type face caméra pour parler au spectateur est insupportable.

Non mais je n'ai pas détesté ce film. Par contre, je ne le reverrai pas^^Et pour le twist, je n'y ai pas pensé très tôt :

spoiler

Justement au moment de la scène du violon à laquelle elle fait référence à la fin en disant que c'est là qu'elle a failli tout arrêter !

Ah ben c'est la fin quoi, ça !

C'était une façon plus polie de te demander ton avis.