: Le manque de solidarité provient bien du journaliste mettant ses collègues dans la merde, et non pas de ceux qui viennent l'engueuler aprèsL
Et j'ai dit que j'étais tout à fait d'accord avec lui, mais que pour moi, il aurait été mieux que ses potes l'épaulent pour dénoncer une pratique douteuse et purement mercantile.
-- "To be is to do"-Socrate; "To do is to be"-Sartre; "Do Be Do Be Do"-Sinatra; Yippie ki yai, coffeemaker !
Message n° 3102539, posté par Ano nyme3 à 23:48 le 04/02/2012
: Et j'ai dit que j'étais tout à fait d'accord avec lui, mais que pour moi, il aurait été mieux que ses potes l'épaulent pour dénoncer une pratique douteuse et purement mercantile.
Douteuse, douteuse, il ne s'agit que de dates ici. Un film ne fait pas 50% de ses entrées le premier jour, qu'importe si le papier ne sort que ce jour-là, ça donne aux journalistes le temps de les bichonner.
Il n'y a donc pour moi aucun réel besoin de solidarité à ce sujet.
On est très loin des méthodes pratiquées sur l'AP de La Vérité Si Je Mens 3, qui sont moralement inacceptables et devraient être refusées en bloc par la profession.
*édité à 23:48 le 04/02/2012
Message n° 3102685, posté par AnTiX à 00:34 le 05/02/2012
: On est très loin des méthodes pratiquées sur l'AP de La Vérité Si Je Mens 3, qui sont moralement inacceptables et devraient être refusées en bloc par la profession.
Non, c'est le même but réduire au minimum la visibilité de la presse.
-- Je ne blogue plus, je micro-critique : http://www.vodkaster.com/RenSarr Rather than love, than money, than faith, than fame, than fairness... give me truth.
Message n° 3103737, posté par tenia à 18:06 le 05/02/2012
: Non, c'est le même but réduire au minimum la visibilité de la presse.
Voilà. Pour moi, le résultat est le même : générer un max de buzz ou éviter un buzz négatif. Dans les 2 cas, cela ne fait que faire douter de la qualité en empêchant le lecteur futur spectateur d'avoir toutes les cartes en main pour se décider.
Au final, dans les 2 cas, tu te retrouves à être empêché de publier comme tu le veux ton texte.
: Douteuse, douteuse, il ne s'agit que de dates ici. Un film ne fait pas 50% de ses entrées le premier jour, qu'importe si le papier ne sort que ce jour-là, ça donne aux journalistes le temps de les bichonner.
Au contraire, le principal intérêt de ces techniques étant d'assurer un maximum d'entrées en 1ere semaine avant qu'un possible bouche à oreille négatif vienne réduire les entrées. Quand Asterix aux JO faisaient -72% d'une semaine sur l'autre dès la 2e semaine, ça fait mal. D'ailleurs, le film faisait partie des films qui ont restreint l'accès aux AP aux journalistes.
Enfin, bref, dans tous les cas, la recette n'a rien de nouveau. Selznick avait utilisé sur Duel au soleil la technique du buzz pour générer un max d'entrées en 1ere semaine : il avait fait envoyé des cartes postales à un maximum de barmen, dans lesquelles un certain Joe conseillait d'aller voir le film, vantant aussi le côté sexy de l'actrice principale.
Couplée à la bonne vieille technique de "je te mets 2500 copies dans la tronche en 1ere semaine", ça peut faire des miracles.
La preuve : même avec un des pires bouches à oreille de l'année, Asterix empocha 7M de spectateurs.
Que ce soit pour Millenium comme pour La vérité 3, le principe reste le même : grosse couverture médias, campagne limitant au maximum les fuites, encore plus les fuites négatives, et au final, un gros rouleau compresseur en salles.
: On est très loin des méthodes pratiquées sur l'AP de La Vérité Si Je Mens 3, qui sont moralement inacceptables et devraient être refusées en bloc par la profession.
Visiblement, ceux qui y sont entrés n'ont rien eu à redire vu qu'ils seront les 1ers à pouvoir publier un papier "scoop".
Pour eux, c'est le même combat : être le 1er à publier.
-- "To be is to do"-Socrate; "To do is to be"-Sartre; "Do Be Do Be Do"-Sinatra; Yippie ki yai, coffeemaker !
*édité à 18:07 le 05/02/2012
Message n° 3103899, posté par Fresh Prince à 19:15 le 05/02/2012
Comme la plupart des films de ce type, ça me laisse assez indifférent. Faut vraiment qu'il y ait un background super bien foutu pour que ça me touche un minimum.
Après, c'est plutôt bien joué. Mais j'ai pas évité l'ennui, ça s'étire alors que ça ne dure que 1h30 et la relation entre les deux personnages aurait pu être meilleure.
Un petit film. A voir pour se faire une idée.
-- Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
*édité à 22:29 le 05/02/2012
Message n° 3104275, posté par Ocelote à 23:22 le 05/02/2012
Bon sinon j'ai regardé et plutôt apprécié le Weir (The Last Wave), autant je comprends qu'on puisse y faire référence, mais parler de copie ou de "si tu as déjà vu le film de Weir, tu y trouves 0 intérêt", c'est un peu la grosse blague. Déjà je pense que Nicchols est bcp plus influencé par Malick que par Weir, on y retrouve 2-3 idées de The Last Wave, mais ca va pas bcp plus loin. Rien que la façon de poser son ambiance, Nicchols donne toujours une grande place à la nature dans ses cadres.
Bref, le chat dit du caca.
-- Je ne blogue plus, je micro-critique : http://www.vodkaster.com/RenSarr Rather than love, than money, than faith, than fame, than fairness... give me truth.
Message n° 3104334, posté par Ano nyme3 à 23:49 le 05/02/2012
Sound of Noise : deux percusionnistes décident de jouer une pièce de musique écrite par l'un des deux et qui s'intitule Music for one city and six drummers. Ils recrutent quatre autres batteurs et interprètent le morceaux en quatre mouvements tandis qu'un policier est chargé de retrouver ceux qui perturbent le calme de la ville.
Un film agréable, encore plus si vous aimez les ambiances nordiques et la musique.
Un film sympa sur la paranoia et sur une secte. J'aime bien quand un film arrive à créer un environnement un tant soi peu cohérent. Je me suis laissé emporter même si le final est d'une flemmardise absolue. La Olsen joue plutôt bien et semble avoir évité les 12 régimes par an et la chirurgie mensuelle. Hawkes, comme souvent a la classe même si il n'a que très peu de scènes où il peut donner de sa personne.
Par contre, qu'on ne m'explique pas tout, parfait. Mais je trouve que la dernière scène ne sert à rien du tout. Ça semble vouloir nous faire douter alors que l’ensemble se tient et que je le doute ne m'a pas habité tout au long du film.
Bien sympathique.
-- Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
*édité à 01:05 le 06/02/2012
Message n° 3104475, posté par Fresh Prince à 01:04 le 06/02/2012
Take me home tonight (2011) #2012# : Un film sympathique avec une excellente B.O. et un Topher Grace moins énervant. Forcément, quand il revient aux rôles qui l'ont fait connaître, et qu'il arrête de jouer au méchant ridicule, c'est de suite mieux.
On rigole rarement ; Anna Faris est horrible en brune, et pourtant je suis amoureux d'elle et des brunes ; le film prouve qu'il ne suffit pas de demander aux coiffeurs de reproduire toutes les coupes possibles des années 80 et de faire une compil des meilleurs hits de ces mêmes années pour retrouver l'ambiance des eighties, mais ça passe le temps, et la blonde est quand même sacrément mignonne.
Mais niveau comédie à l'ancienne, Bad Teacher sera quand même plus à conseiller, hein.