BornFree
Sujet n°16269 créé le 15/01/2009 à 23:20 par Fresh Prince - Vu 2324093 fois par 23029 utilisateurs
NR.
Fresh Prince a dit
Ca commence à me souler, d'aller voir des films au ciné. Et pendant les festivals, n'en parlons pas. Les gens arrivent pas à comprendre qu'il faut se taire pendant un film. Y a même deux vieilles (dont une sourde) qui m'ont dit, après Tree of Life : "comment osez-vous nous dire de nous taire ? Vous manquez pas de culot."
le 11/09/2011 à 22:08
:Ca commence à me souler, d'aller voir des films au ciné. Et pendant les festivals, n'en parlons pas. Les gens arrivent pas à comprendre qu'il faut se taire pendant un film. Y a même deux vieilles (dont une sourde) qui m'ont dit, après Tree of Life : "comment osez-vous nous dire de nous taire ? Vous manquez pas de culot."
Putain je compatis tellement. Une séance où il y a que des enfants du genre Toy Story 3, je comprends mais alors des adultes. Merde quoi. Un peu de respect. Dernière fois que ça m'étais arrivé c'était pendant Harry Potter 7.2, rien à faire. Ces connasses ont continuer à parler.
Après, pendant les festivals je trouve qu'au contraire il y a une très bonne ambiance dans la salle. Quand je m'étais fait Hallucinations Collectives cette année, c'était vraiment un excellent kiff. Tout le monde était dans l'ambiance, un très grand respect et une séance juste énorme pour Howard The Duck.
Pour l'instant le jour qui marche bien au ciné pour moi c'est le jeudi. Le lendemain de la sortie où tous les gros bourrins souhaitent absolument voir le film et juste avant le début du weekends. Généralement il y a pas beaucoup de monde dans les salles.
AnTiX
NR. a dit
Après, pendant les festivals je trouve qu'au contraire il y a une très bonne ambiance dans la salle. Quand je m'étais fait Hallucinations Collectives cette année, c'était vraiment un excellent kiff. Tout le monde était dans l'ambiance, un très grand respect et une séance juste énorme pour Howard The Duck.
le 11/09/2011 à 23:08
:Après, pendant les festivals je trouve qu'au contraire il y a une très bonne ambiance dans la salle. Quand je m'étais fait Hallucinations Collectives cette année, c'était vraiment un excellent kiff. Tout le monde était dans l'ambiance, un très grand respect et une séance juste énorme pour Howard The Duck.
--
Je ne blogue plus, je micro-critique : http://www.vodkaster.com/RenSarr
Rather than love, than money, than faith, than fame, than fairness... give me truth.
Je ne blogue plus, je micro-critique : http://www.vodkaster.com/RenSarr
Rather than love, than money, than faith, than fame, than fairness... give me truth.
Baje
LeMatouAigris a dit
*imagine Baje et Batefer, profitant du climat terrifiant installé par Don't Be Afraid of the Dark, en train de se rouler une galoche*
le 11/09/2011 à 21:07
:*imagine Baje et Batefer, profitant du climat terrifiant installé par Don't Be Afraid of the Dark, en train de se rouler une galoche*
--
Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
Fresh Prince
AnTiX a dit
J'ai eu la même pendant l'AP de La Guerre est Déclarée. Deux pouffiasses qui décrivait tout ce qui se passait, en mode gamin de 5 ans "Regarde maman, un oiseau !". Elles se dérangeaient elles-même puisque l'une après l'autre se demandait ce qu'avait dit tel personnage juste avant. J'ai craqué au bout de 20min (je suis trop bon). Et après ma remarque, ca a été le gang bang sur elle (parce qu'évidemment elles ont tenu 5 min sans l'ouvrir. Genre les gens de devant qui se retourne, ceux de derrière qui les remballe aussi. Le grand kiff :D.
le 11/09/2011 à 22:38
:J'ai eu la même pendant l'AP de La Guerre est Déclarée. Deux pouffiasses qui décrivait tout ce qui se passait, en mode gamin de 5 ans "Regarde maman, un oiseau !". Elles se dérangeaient elles-même puisque l'une après l'autre se demandait ce qu'avait dit tel personnage juste avant. J'ai craqué au bout de 20min (je suis trop bon). Et après ma remarque, ca a été le gang bang sur elle (parce qu'évidemment elles ont tenu 5 min sans l'ouvrir. Genre les gens de devant qui se retourne, ceux de derrière qui les remballe aussi. Le grand kiff :D.
Je tombe jamais dans des salles comme ça. Je dois toujours faire la loi seul, et ça suffit jamais. J'ai même dû crier un "shut the fuck up" à des anglais pendant un film.
NR. a dit
Putain je compatis tellement. Une séance où il y a que des enfants du genre Toy Story 3, je comprends mais alors des adultes. Merde quoi. Un peu de respect. Dernière fois que ça m'étais arrivé c'était pendant Harry Potter 7.2, rien à faire. Ces connasses ont continuer à parler.
le 11/09/2011 à 23:08
:Putain je compatis tellement. Une séance où il y a que des enfants du genre Toy Story 3, je comprends mais alors des adultes. Merde quoi. Un peu de respect. Dernière fois que ça m'étais arrivé c'était pendant Harry Potter 7.2, rien à faire. Ces connasses ont continuer à parler.
Baje
LeMatouAigris a dit
Complètement imprévisible.
le 11/09/2011 à 23:22
:Complètement imprévisible.
--
Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
Ano nyme3
Baje a dit
La seule séance à laquelle j'ai assisté sans aucun applaudissement.
le 11/09/2011 à 23:24
:La seule séance à laquelle j'ai assisté sans aucun applaudissement.
Baje
LeMatouAigris a dit
A ce point ? Eh bhé... La salle était pleine ?
le 11/09/2011 à 23:26
:A ce point ? Eh bhé... La salle était pleine ?
--
Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
Baje
Baje a dit
Quasiment aucune place de libre si ce n'est sur les côtés, devant.
le 11/09/2011 à 23:27
:Quasiment aucune place de libre si ce n'est sur les côtés, devant.
D'ailleurs, un signe qui ne trompe pas, à y réfléchir, quasiment aucune place réservé pour les journalistes (je doute que des potos du réalisateur avait été prévus) n'a été occupée. Ils ont libérés deux rangées entières sur les trois de disponibles tandis que la dernière était squattée aux trois-quarts par des spectateurs lambda.
--
Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
*édité à 23:32 le 11/09/2011
Baje
Après une très bonne scène d'introduction et une vingtaine de minutes d'espoir, malgré la photographie dégueulasse et l'histoire basique qui se déroulait devant un spectateur quelque peu inquiet, Don't be afraid of the dark (DBAOTD pour les intimes, même si je doute qu'il n'y en ait jamais) sombre dans les ténèbres du cinéma au même moment où les créatures en sortent.
Les scénaristes s'en donnent à coeur joie de détruire minutes après minutes le filet d'univers qu'ils avaient tissés au début du film en s'armant d'incroyables incohérences et de changement de caps navrant. En s'enfonçant dans la laideur cinématographique, l'équipe du film, avec un sérieux castrateur, entraîne avec elle l'ensemble des protagonistes de cette purge, les forçant à jouer une famille de gros couillons plus débiles que la blonde gros clichés (et gros seins) de n'importe quelle mauvaise série B.
Tant et si bien que la dernière demi-heure défonce les abîmes de la nullité : Le moindre petit bout d'une scène ne colle plus, la photographie toujours aussi vomitive s'accompagne d'un excès aberrant d'images de synthèse bas de gamme et chaque mouvement, chaque réaction, chaque choix d'un personnage est suivi d'un long et douloureux soupir, seul moyen de ne pas succomber à l'appel d'Hypnos.
Quand la fin parachève cette destruction permanente de toute crédibilité et que le spectateur a enfin fini de se faire cracher à la gueule par cette belle équipe de bras cassés, la délivrance, enfin, s'accomplit.
--
Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
*édité à 02:30 le 12/09/2011
Baje
LeMatouAigris a dit
A se demander s'ils ont pu le voir avant de le foutre en film de clôture ?
le 11/09/2011 à 23:49
:A se demander s'ils ont pu le voir avant de le foutre en film de clôture ?
Impossible qu'ils l'aient vus, c'est IMPOSSIBLE. Le nom de Del Toro, je vois vraiment que ça. Ou un énorme chèque.
--
Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
*édité à 23:50 le 11/09/2011
Ano nyme3
Baje a dit
Impossible qu'ils l'aient vus, c'est IMPOSSIBLE. Le nom de Del Toro, je vois vraiment que ça. Ou un énorme chèque.
le 11/09/2011 à 23:50
:Impossible qu'ils l'aient vus, c'est IMPOSSIBLE. Le nom de Del Toro, je vois vraiment que ça. Ou un énorme chèque.
Les bruits sont les même à côté. Jamais vu de séance non applaudie, film vraiment naze, et les organisateurs qui ont subi les commentaires tout sauf élogieux à la sortie.
Et c'est donc Bullhead qui a gagné la compétition officielle ? C'est dommage, Kill List était dix fois plus prenant.
Baje
LeMatouAigris a dit
Vous avez retenu le court-métrage gagnant ?
le 12/09/2011 à 00:12
:Vous avez retenu le court-métrage gagnant ?
--
Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
Batefer
LeMatouAigris a dit
*imagine Baje et Batefer, profitant du climat terrifiant installé par Don't Be Afraid of the Dark, en train de se rouler une galoche*
le 11/09/2011 à 21:07
:*imagine Baje et Batefer, profitant du climat terrifiant installé par Don't Be Afraid of the Dark, en train de se rouler une galoche*
On était trop occupé à se prendre la tête dans les mains, pendant le film, et aussi à lutter contre l'état de léthargie permanent qu'il provoque (avec son seul autre : l'exaspération).
Baje a dit
Après une très bonne scène d'introduction et une vingtaine de minutes d'espoir, malgré la photographie dégueulasse et l'histoire basique qui se déroulait devant un spectateur quelque peu inquiet, Don't be afraid of the dark (DBAOTD pour les intimes, même si je doute qu'il n'y en ait jamais) sombre dans les ténèbres du cinéma au même moment où les créatures en sortent.
le 11/09/2011 à 23:47
:Après une très bonne scène d'introduction et une vingtaine de minutes d'espoir, malgré la photographie dégueulasse et l'histoire basique qui se déroulait devant un spectateur quelque peu inquiet, Don't be afraid of the dark (DBAOTD pour les intimes, même si je doute qu'il n'y en ait jamais) sombre dans les ténèbres du cinéma au même moment où les créatures en sortent.
LeMatouAigris a dit
Vous avez retenu le court-métrage gagnant ?
le 12/09/2011 à 00:12
:Vous avez retenu le court-métrage gagnant ?
Il y en a deux, "Attack" et "La Grande Course". Sympathiques, mais rien d'exceptionnel. Effectivement, "Sucre" notamment était beaucoup mieux.
--
je parles pas au cons sa les instruits
je parles pas au cons sa les instruits
AnTiX
--
Je ne blogue plus, je micro-critique : http://www.vodkaster.com/RenSarr
Rather than love, than money, than faith, than fame, than fairness... give me truth.
Je ne blogue plus, je micro-critique : http://www.vodkaster.com/RenSarr
Rather than love, than money, than faith, than fame, than fairness... give me truth.
Liste des sujets \ Les derniers films que vous avez vus.
L'envoi de messages anonymes est désactivé. Veuillez vous connecter pour poster un message :