: J'avais été voir sur wikipedia avant de voir le film, j'avais cru comprendre que le film ne racontait en fait que le 2e livre mais en fait non, c'est le titre du 2e livre mais ça raconte toute la saga ^^
Peut-être parce que c'est le titre le plus accrocheur ^^.
Message n° 2482618, posté par spaces à 17:20 le 04/11/2010
: Je parlais d'une manière général, pas spécialement de Bergman. Aller voir le film d'un mec de 80 ans, c'est un peu comme aller passer deux heures chez ton pépé veuf, à l'écouter radoter en trempant des petits beurres dans un thé au lait tiède. Tu te fais un peu chier, mais y a toujours quelque chose à gratter.
Qu'est ce que tu causes bien.
-- 1/3 de pulco, 1/2 d'eau et le reste de limo...
Message n° 2482777, posté par tenia à 18:53 le 04/11/2010
Un film absolument remarquable et qui m'a beaucoup touché. L'interprétation de Romain Duris est très juste, celles de tout les autres acteurs aussi d'ailleurs. Une réalisation mettant en avant les décors, qui sont absolument somptueux, photographie excellente. Un scénario prenant, qui va au-delà du simple divertissement, mais plutôt chercher le spectateur personnellement, je ne sais pas si ça parlera à tout le monde en réalité mais moi, j'en suis sorti drôlement touché, comme dit plus haut. Je le conseille donc.
Message n° 2485275, posté par tenia à 23:21 le 05/11/2010
Un trip formel ultime (encore plus depuis le réétalonnage de 2008), sorte de Blanche neige macabre psychédélique. Autant je suis très peu fan du travail d'Argento d'une manière globale, autant Suspiria continue de me scotcher, malgré le non-sens complet de l'intrigue, pur prétexte, de toute manière, à tous les délires possibles du père Argento.
Décadrages, faux raccords, effets d'ellipse inexpliqués, craquage complet des Goblin en bande-son, mais toujours une beauté renversante primant sur tout autre aspect du film.
Derrière, il faut avoir peur du noir, d'où un rasoir, une main gantée ou griffue, ou tout autre élément dangereux peut surgir. Tout ce qui être caché peut se retourner contre nous.La pluie, l'orage, la lune, les animaux aussi peuvent nous surprendre, et au final, l'improbable devient le lot quotidien, et ce dès le meurtre inaugural.Dès le générique, malgré la voix rassurante qui semble introduire un conte de Perrault, la Bo se met en branle, les éclairages déments suivent derrière, et rien de tout cela ne s'arrêtera avant 10 bonnes minutes.
Les couleurs primaires prendront le dessus pendant tout le reste du film, le rouge avant tout, dans ce qui fut le dernier film de l'histoire tourné en Technicolor (et ça se voit). Quant à l'histoire, elle semblera tout du long guidé uniquement par une sorte de rêverie, avançant doucement mais sûrement vers un final apocalyptique à l'issue duquel la boucle sera bouclée.
-- "To be is to do"-Socrate; "To do is to be"-Sartre; "Do Be Do Be Do"-Sinatra; Yippie ki yai, coffeemaker !
Message n° 2485652, posté par Fresh Prince à 01:25 le 06/11/2010
Dans la lignée de Very Bad Trip, un peu moins marrant, mais un très bon moment !En grande partie grâce à Zach Galifianakis qui me fait toujours autant rire.En guest RZA et Jamie Foxx !
-- "Do you have any idea how dangerous it is to go downtown and buy crack ? You could've bought from me, right here in the house." Roger, American Dad!
Message n° 2485859, posté par Sao à 11:12 le 06/11/2010
Je suis alle le voir au cine en vo il y a quelques mois (lors d'une nuit film d'horreur a un cine).J'ai rarement autant ris devant un film. Un scenario improbable, comme la plupart des scenes. Une realisation digne de parodie (la scene d'intro a l aeroport), aussi bien que les doutes des personnages fondes sur... rien du tout...(Quel grand moment que celui ou l'heroine entend quelqu'un ronfler et se met a partir en delire schizophrénique sur un hypothétique monstre a la respiration demoniaque. Ben non c'est quelqu'un qui ronfle quoi.)
Meme mes parents qui l'avaient vu a sa sortie en 76 m'avaient dit que pour l'epoque aussi c'etait ridicule.
: Décadrages, faux raccords, effets d'ellipse inexpliqués, craquage complet des Goblin en bande-son, mais toujours une beauté renversante primant sur tout autre aspect du film.
Olala, ces effets sonores horribles. L'une des choses les plus marquante du film (Une genre de voie demoniaque faisant lalala, repris toutes les 2 mins dans le film pour a peu pres tout est n'importe quoi. Ils ont vraiment du kiffer ce lalala)
-- Je que vous l'homme de la situation. Et comment donc qui, je vous prie ?
*édité à 11:14 le 06/11/2010
1.24
Message n° 2485876, posté par Ano nyme1 à 11:26 le 06/11/2010
Sao, tu devrais regarder Ténèbres.Perso, je me suis rarement autant marrer devant un film de ce type (à part REC², mais pour d'autres raisons).
Argento, quasi toute son oeuvre me fait mourir de rire tant c'est outré (à part Les frissons de l'angoisse). C'est d'ailleurs une remarque récurrente chez ceux qui n'accrochent pas.
Mais Suspiria, c'est le seul à me faire un effet boeuf comme ça.
: Olala, ces effets sonores horribles. L'une des choses les plus marquante du film (Une genre de voie demoniaque faisant lalala, repris toutes les 2 mins dans le film pour a peu pres tout est n'importe quoi. Ils ont vraiment du kiffer ce lalala)
En fait, y aussi des soupirs de Simonetti qui disent des trucs tirés d'un conte traditionnel dont le film s'est inspiré, en alternance avec des phrases sans aucun sens.
Mais le thème de Suspiria est énorme.Au moins autant que celui de Ténèbres, d'ailleurs.Et je dis ça très sérieusement.
Si ça te dit quelque chose, c'est normal.
-- "To be is to do"-Socrate; "To do is to be"-Sartre; "Do Be Do Be Do"-Sinatra; Yippie ki yai, coffeemaker !
*édité à 12:57 le 06/11/2010
Message n° 2486404, posté par Ano nyme1 à 16:35 le 06/11/2010
C'est dommage pour Jonah Hex, il y a de gros efforts faits sur les décors, les costumes, maquillages, les couleurs sont resplendissantes, on retrouve plein de trognes sympathiques de séries (Lance Reddick, Jeffrey Dean Morgan, Will Arnett) ou de films (Michael Shannon, Wes Bentley), etc.
Michael Fassbender nous livre encore une sacrée performance, même si j'ai eu du mal à le reconnaître après Centurion. Du romain bien bâti à l'irlandais affiné.
Mais l'histoire est au ras des pâquerettes, et Brolin et Malkovitch n'aident pas vraiment. Et je suis plutôt pas fan des "super inventions" basées sur la technologie de la guerre de Sécession.
*édité à 16:36 le 06/11/2010
Message n° 2487271, posté par Fresh Prince à 00:11 le 07/11/2010
: Mais l'histoire est au ras des pâquerettes, et Brolin et Malkovitch n'aident pas vraiment. Et je suis plutôt pas fan des "super inventions" basées sur la technologie de la guerre de Sécession.
Mais, je suis vraiment le seul à avoir été très impressionné par Brolin ?
J'ai vu en lui l'acteur parfait pour jouer John Marston, du jeu Red Dead Redemption...
Message n° 2487332, posté par Sao à 01:15 le 07/11/2010
: Un film absolument remarquable et qui m'a beaucoup touché. L'interprétation de Romain Duris est très juste, celles de tout les autres acteurs aussi d'ailleurs. Une réalisation mettant en avant les décors, qui sont absolument somptueux, photographie excellente. Un scénario prenant, qui va au-delà du simple divertissement, mais plutôt chercher le spectateur personnellement, je ne sais pas si ça parlera à tout le monde en réalité mais moi, j'en suis sorti drôlement touché, comme dit plus haut. Je le conseille donc.
Un film absolument bancal qui m'a profondément emmerdé. Duris en fait des tonnes, et pour renforcer les coups de marteaux assénés (poncifs, clichés) sur les cerveaux endormis, barbe et chevelure rebelle prennent le relais dans une métaphore au ras des paquerettes...
Réalisation sans éclat, un scénario pour bobos, pour femmes trentenaires célibataires, un film qui cherche par tous les moyens à toucher ses spectateurs, ça parlera sans doute à beaucoup de monde, mais moi j'en sors blasé, me suis emmerdé comme jamais au ciné, ça m'en a pas bougé une seule.