Le problème, c'est aussi que c'est loin d'être si bon que ça.

A nos amours (Dans le cadre de la rétro Pialat Gaumont / MoC)

Très très impressionnant. Parmi les 5 Pialat que j'aurai vu (me reste encore Sous le soleil de Satan, incessamment sou peu), ça devient mon préféré avec L'enfance-nue.

Il y a une charge émotionnelle très intense, qui m'a rappelé celle que j'avais ressenti devant A woman under the influence. Et puis, Pialat et Bonnaire ont une présence vraiment incroyable, notamment lors de leurs scènes (malheureusement trop peu nombreuses) en commun.Seuls les personnages de la mère et du frère sont over the top et détonnent un peu trop, même si ça se tasse sur la fin.

Mais dans l'ensemble, autant j'avais été un peu déçu (et ça m'avait surpris) par Nous ne vieillirons pas ensemble (mais je pense qu'il faudrait que je le revoie) et, dans une moindre mesure, par Passe ton bac d'abord, autant A nos amours m'a autant foutu sur le cul que La gueule ouverte, L'enfance-nue et Police.

Oui, mais justement il n'y a que le pitch de départ qu'il reprend. Sinon j'adore l'original et j'ai trouvé le "remake" pas trop mal. Mais les deux films ne parlent pas du tout de la même chose.

T'es faible, hom'

Tu te rapproches de Rico, là

Darkness de Jaume Balagueró, juste chiant, pas effrayant (je considère pas une image furtive avec un son très fort comme quelque chose d'effrayant) et l'histoire n'est pas intéressante du tout, même pour un film d'horreur. Enfin bref, ça m'a pas collé assez de frissons pour avoir du mal à m'endormir.

OSS 117 - Le Caire, nid d'espions : Dujardin est vraiment génial. Et Hazanavicius, en dialoguiste-scénariste-réalisateur l'est tout autant. Je pense qu'on peut arrêter là.

Nan mais sérieusement. Un scénar de fantasy bateau, un background dieux de l'Olympe et des effets spéciaux pas trop mal fichus ... ça fait passer agréablement le temps.

Rabat-joie.