do_Ob
Sujet n°16269 créé le 15/01/2009 à 23:20 par Fresh Prince - Vu 2423921 fois par 25243 utilisateurs
Message n° 1906828, posté par Cartman150 à 03:48 le 15/03/2010
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alfie2lecassecouille
Cartman150 a dit :
Vouloir analyser un film que l'on le regarde dans l'espoir de pouvoir pleinement l'apprécier, c'est de la branlette pure et simple. Même si ce n'est qu'un petit peu.
Vouloir analyser un film que l'on le regarde dans l'espoir de pouvoir pleinement l'apprécier, c'est de la branlette pure et simple. Même si ce n'est qu'un petit peu.
T'aimes pas te branler ? Ce que ça peut être con, comme analogie, cette histoire de branlette, franchement.
*édité à 18:19 le 15/03/2010
Finally
Cartman150 a dit :
Vouloir analyser un film que l'on le regarde dans l'espoir de pouvoir pleinement l'apprécier, c'est de la branlette pure et simple. Même si ce n'est qu'un petit peu.
Vouloir analyser un film que l'on le regarde dans l'espoir de pouvoir pleinement l'apprécier, c'est de la branlette pure et simple. Même si ce n'est qu'un petit peu.
arp
Finally a dit :
La branlette aussi est viscérale et joue avec nos émotions, non ?
La branlette aussi est viscérale et joue avec nos émotions, non ?
Fresh Prince a dit :
Mais je parle pas de décortiquer, mais d'avoir un minimum d'esprit analytique.
Mais je parle pas de décortiquer, mais d'avoir un minimum d'esprit analytique.
Finally
J'ai un esprit analytique viscéral, c'est à la fois une bénédiction et une malédiction mais j'en ai besoin pour mener l'humanité vers des lendemains qui chantent par l'ultime sacrifice.
C'est pourquoi j'ai besoin de me faire gangbanger par une légion de mannequins suédoise avec des cerises en guise de boucle d'oreilles.
alfie2lecassecouille
Finally a dit :
J'ai un esprit analytique viscéral, c'est à la fois une bénédiction et une malédiction mais j'en ai besoin pour mener l'humanité vers des lendemains qui chantent par l'ultime sacrifice.
J'ai un esprit analytique viscéral, c'est à la fois une bénédiction et une malédiction mais j'en ai besoin pour mener l'humanité vers des lendemains qui chantent par l'ultime sacrifice.
alfie2lecassecouille
Finally a dit :
Ou plutôt : les épaules pour quoi ? (!)
Ou plutôt : les épaules pour quoi ? (!)
*édité à 09:21 le 15/03/2010
liloboot
Ah oui, Surveillance, c'est bien sympa, finalement. On sent de temps en temps la patte du papa, c'est amusant. Y a clairement du boulot encore pour qu'elle fasse son trou, mais moi je dis : à suivre.
Finally a dit :
Ah bon ?
Ah bon ?
--
Rock 'n' roll.
Rock 'n' roll.
Ano nyme1
Tout le métrage, j'ai été le fasciné spectateur de ce Job tourmenté mais endurant, cherchant réponse à ses nombreuses questions, qui...
La parabole religieuse la plus réussie, autant sur le fond que sur la forme, que j'ai pu voir depuis un certain temps.
Tiédasse. Pas convaincu de l'utilité d'adapter toutes les nouvelles de Matheson, il existe plusieurs autres talentueux novellistes de fantastique et science-fiction messieurs les scénaristes en mal d'inspiration.
Si le film était censé nous faire réfléchir sur la notion de "choix", c'est raté, s'il était censé nous raconter une histoire intéressante, ça l'est tout autant.
La seconde partie, qui se veut en partie explicative, tout en gardant des zones d'ombre est le moment où j'ai vraiment perdu pied. Ça marchait sans doute sur papier, pas sur l'écran. Le bouton est vite pressé, sans réelle réflexion ni estimation des conséquences, et pratiquement toute la suite nous narre tout sauf les retombées de cette action, plutôt un jeu de piste inutile.
Et je comprends ce qu'a voulu dire mpm en parlant d'inspiration Lynchienne. Les difformités, l'artefact, la rétro, les couleurs, les saignements de nez, etc. Mais après Donnie Darko et Southland Tales, nous savons que Kelly est assez talentueux en ce qui concerne la création d'univers et d'ambiance autre sans avoir à piquer à droite ou à gauche des ensembles aussi complets. Référence, clin d'oeil ou inconscient à mon humble avis.
Se regarde plutôt bien pour un teen-movie horrifique. La réalisation et la photo sont particulièrement réussies, le réalisateur est loin d'être un pied.
On garde pas mal de clichés inhérents au genre tout en étant original sur d'autres scènes-clé, la relation entre les deux principales protagonistes ainsi que l'ambiance précédant la "naissance" de la nouvelle Jennifer entre autres.
"By the time they found Colin in that godforsaken house, he looked like lasagna with teeth. I'd know. I had to identify the remains. My boy is not in the realm of the undead. He is not flying around in the firmament on magical wings of flame. He's in an overpriced rosewood box that's headed six feet downtown. So you can take your pain and you can shove it up your asses, kids. I got the monopoly on pain."
koni
Ronrount a dit :
Par contre, un indice sur ce que représentait la courte et sympathique intro ?
Par contre, un indice sur ce que représentait la courte et sympathique intro ?
"Nous avons pensé qu'une petite histoire complète serait une bonne introduction pour notre film. Et puisque nous ne connaissions aucun conte folklorique yiddish qui convienne, nous avons inventé le nôtre", affirme Ethan Coen dans un entretien joint aux notes de production."Ce conte n'a aucun lien avec ce qui suit, mais il nous a aidés à réfléchir au film et à l'installer", ajoute Joel.
kerial
Ronrount a dit :
The Box
The Box
Ronrount a dit :
Si le film était censé nous faire réfléchir sur la notion de "choix", c'est raté, s'il était censé nous raconter une histoire intéressante, ça l'est tout autant.
Si le film était censé nous faire réfléchir sur la notion de "choix", c'est raté, s'il était censé nous raconter une histoire intéressante, ça l'est tout autant.
Ronrount a dit :
La seconde partie, qui se veut en partie explicative, tout en gardant des zones d'ombre est le moment où j'ai vraiment perdu pied. Ça marchait sans doute sur papier, pas sur l'écran. Le bouton est vite pressé, sans réelle réflexion ni estimation des conséquences, et pratiquement toute la suite nous narre tout sauf les retombées de cette action, plutôt un jeu de piste inutile.
La seconde partie, qui se veut en partie explicative, tout en gardant des zones d'ombre est le moment où j'ai vraiment perdu pied. Ça marchait sans doute sur papier, pas sur l'écran. Le bouton est vite pressé, sans réelle réflexion ni estimation des conséquences, et pratiquement toute la suite nous narre tout sauf les retombées de cette action, plutôt un jeu de piste inutile.
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C'est quoi ? Des biscuits ?
Lilobootcopyright.
Santino=loser=gay.
Kelidriccopyright.
C'est quoi ? Des biscuits ?
Lilobootcopyright.
Santino=loser=gay.
Kelidriccopyright.
Ano nyme1
koni a dit :
"Nous avons pensé qu'une petite histoire complète serait une bonne introduction pour notre film. Et puisque nous ne connaissions aucun conte folklorique yiddish qui convienne, nous avons inventé le nôtre", affirme Ethan Coen dans un entretien joint aux notes de production."Ce conte n'a aucun lien avec ce qui suit, mais il nous a aidés à réfléchir au film et à l'installer", ajoute Joel.
"Nous avons pensé qu'une petite histoire complète serait une bonne introduction pour notre film. Et puisque nous ne connaissions aucun conte folklorique yiddish qui convienne, nous avons inventé le nôtre", affirme Ethan Coen dans un entretien joint aux notes de production."Ce conte n'a aucun lien avec ce qui suit, mais il nous a aidés à réfléchir au film et à l'installer", ajoute Joel.
liloboot a dit :
Ah oui, Surveillance, c'est bien sympa, finalement. On sent de temps en temps la patte du papa, c'est amusant. Y a clairement du boulot encore pour qu'elle fasse son trou, mais moi je dis : à suivre.
Ah oui, Surveillance, c'est bien sympa, finalement. On sent de temps en temps la patte du papa, c'est amusant. Y a clairement du boulot encore pour qu'elle fasse son trou, mais moi je dis : à suivre.
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