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Sujet n°16269 créé le 15/01/2009 à 23:20 par Fresh Prince - Vu 2418079 fois par 25240 utilisateurs
   
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Message n° 1498572, posté à 15:15 le 17/10/2009  
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BornFree
C'est un peu le but de la coupe justement de
spoiler
faire sortir du rêve

Message n° 1498603, posté à 15:25 le 17/10/2009  
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tenia
BornFree a dit :
C'est un peu le but de la coupe justement de
BornFree a dit :
spoiler
faire sortir du rêve

Oui et non.
spoiler
Réveiller les personnages oui, mais pas automatiquement les faire revenir à la réalité (et nous avec). C'est comme pour ExistenZ, sortir d'un rêve peut être le retour dans un autre rêve. La scène dans le Club Silencio suit, et je ne crois pas que cela fasse partie de la réalité. Au contraire, c'est précisément là où l'on peut comprendre qu'il s'agissait d'un rêve.

--
"To be is to do"-Socrate; "To do is to be"-Sartre; "Do Be Do Be Do"-Sinatra;
Yippie ki yai, coffeemaker !
*édité à 15:28 le 17/10/2009
Message n° 1498631, posté à 15:48 le 17/10/2009  
+0.93
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liloboot
tenia a dit :
spoiler
Réveiller les personnages oui, mais pas automatiquement les faire revenir à la réalité (et nous avec). C'est comme pour ExistenZ, sortir d'un rêve peut être le retour dans un autre rêve. La scène dans le Club Silencio suit, et je ne crois pas que cela fasse partie de la réalité. Au contraire, c'est précisément là où l'on peut comprendre qu'il s'agissait d'un rêve.
spoiler MD
Juste pour préciser : la scène du Silencio précède celle du réveil. Tout ce qui se passe après le réveil fait partie de la réalité (présente ou passée), sauf à la toute fin où elle se met à délirer.
Il me semble évident que, même si de multiples interprétations peuvent être données, c'est celle qui est la plus cohérente, et c'est à mon avis celle de David Lynch. Cette idée de dissocier le rêve de la réalité lui est venue après que le pilote de la série a été abandonné. Toute la partie « réalité » est constituée de scènes qu'il a tournées par la suite pour le film. Je le félicite pour avoir trouver autant d'idées de liaisons entre les deux parties, c'était vraiment très imaginatif. Mais ça sert à rien d'aller chercher plus loin.

--
Rock 'n' roll.
Message n° 1498641, posté à 15:58 le 17/10/2009  
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besmel
spoiler MD
juste un truc que je n'avais remarqué qu'à la seconde vision.
juste après le générique de début et le début du fantasme, on a un plan subjectif très court, genre de 2 sec., où on voit à travers les yeux de Noami Watts. elle est en train de chialer, et enfonce sa tête dans les draps.
voilà, on s'en branle, mais je voulais le dire.

*édité à 15:59 le 17/10/2009
Message n° 1498649, posté à 16:02 le 17/10/2009  
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tenia
besmel a dit :
spoiler MD

juste un truc que je n'avais remarqué qu'à la seconde vision.
juste après le générique de début et le début du fantasme, on a un plan subjectif très court, genre de 2 sec., où on voit à travers les yeux de Noami Watts. elle est en train de chialer, et enfonce sa tête dans les draps.
voilà, on s'en branle, mais je voulais le dire.
spoiler
C'est au contraire très important, puisque le plan est couplé du bruit ressemblant énormément à quelqu'un sniffant de la coke. Pleurs, drogue, oreiller : c'est explicite que l'on va assister à un rêve
liloboot a dit :
spoiler MD
Juste pour préciser : la scène du Silencio précède celle du réveil. Tout ce qui se passe après le réveil fait partie de la réalité (présente ou passée), sauf à la toute fin où elle se met à délirer.

Il me semble évident que, même si de multiples interprétations peuvent être données, c'est celle qui est la plus cohérente, et c'est à mon avis celle de David Lynch. Cette idée de dissocier le rêve de la réalité lui est venue après que le pilote de la série a été abandonné. Toute la partie « réalité » est constituée de scènes qu'il a tournées par la suite pour le film. Je le félicite pour avoir trouver autant d'idées de liaisons entre les deux parties, c'était vraiment très imaginatif. Mais ça sert à rien d'aller chercher plus loin.
spoiler
Mes souvenirs sont malheureusement un peu confus sur l'enchainement des séquences. Il me semblait que le club Silencio clôturait, avec l'ouverture de la boite bleue, le film.
Maintenant, pour ce qui est des interprétations, je dirais plutôt que la tienne est la plus cohérente, la plus complète. Mais de nombreux passages peuvent être interprétés par des tas de façons différentes. J'invite, à nouveau, à aller voir sur Lost On Mulholland Dr toutes les possibilités.

--
"To be is to do"-Socrate; "To do is to be"-Sartre; "Do Be Do Be Do"-Sinatra;
Yippie ki yai, coffeemaker !
Message n° 1498663, posté à 16:06 le 17/10/2009  
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besmel
tenia a dit :
spoiler
C'est au contraire très important, puisque le plan est couplé du bruit ressemblant énormément à quelqu'un sniffant de la coke. Pleurs, drogue, oreiller : c'est explicite que l'on va assister à un rêve
spoiler MD
intéressant. j'ai pas du tout fait attention à ça, la coke. il faudra que je retéma ça.

*édité à 16:07 le 17/10/2009
Message n° 1498665, posté à 16:07 le 17/10/2009  
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BornFree
spoiler MD
Après la scène du silencio on a une série de flashback qui nous "expliquent" le rêve en quelque sorte. Avant de revenir à Watts qui finit par péter un cable et se tuer pendant son rêve.

*édité à 16:08 le 17/10/2009
Message n° 1498671, posté à 16:13 le 17/10/2009  
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besmel
vous pouvez peut-être m'éclairer sur un point qui demeure obscur pour moi.
spoiler MD
qui sont les deux mecs dans la dinner ?

Message n° 1498674, posté à 16:14 le 17/10/2009  
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tenia
BornFree a dit :
spoiler MD
Après la scène du silencio on a une série de flashback qui nous "expliquent" le rêve en quelque sorte. Avant de revenir à Watts qui finit par péter un cable et se tuer pendant son rêve.
Ah oui, quand même. J'en ai foutrement aucun souvenir comme ça. Faut donc que je le revoie. Ca va faire 1 fois par an, quand même.

--
"To be is to do"-Socrate; "To do is to be"-Sartre; "Do Be Do Be Do"-Sinatra;
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Message n° 1498692, posté à 16:21 le 17/10/2009  
+0.67
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Kletcher
sinon, carrément; scènes par scènes:

*édité à 16:22 le 17/10/2009
Message n° 1498699, posté à 16:26 le 17/10/2009  
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tenia
Kletcher a dit :
sinon, carrément; scènes par scènes:
Ah bah impeccable. Pile ce qu'il me fallait pour tout remettre dans l'ordre. Maintenant, ça va beaucoup mieux dans mes souvenirs.
spoiler
Et effectivement, j'avais oublié le suicide fumant

--
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Message n° 1499533, posté à 23:10 le 17/10/2009  
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Fresh Prince
Ladri di biciclete : Je crois que je vais avoir beaucoup de mal avec le néo-réalisme italien... Non mais sans dec...
There's something about Mary (version longue) : Ca fait toujours autant de bien. Peut-être l'un des meilleurs Farelly, peut-être même le plus travaillé. On enchaine plus de 2h de persos tous plus loufoques les uns que les autres, tous interprétés à merveille. Sans parler des scènes cultes (la braguette, le combat contre le chien, la réanimation du chien, le sperme, la scène finale...) et des nombreux moments de déconnes passés devant les chansons tout au long du film laugh Génial.
Amores Perros : Ah, je comprends maintenant ce que disait Lilo à propos de Babel... C'est fou comme la vision de ce film a changé mon avis sur un film que j'avais plus qu'adoré.
Il y a deux choses qu'il faut absolument respecter, lorsque l'on écrit un film sur des destins croisés. Premièrement, faire en sorte que ces destins ne se croisent pas de la manière la plus absurde qui soit. Deuxièmement, qu'il n'y ait pas d'irrégularités dans les différentes histoires, pas de temps morts, quoi.
Je vais donc commencer par le scénario. Après une scène d'introduction assez survoltée servant à montrer la liaison entre les personnages, on a droit à une série de péripéties et de croisements de destins tous plus tirés par les cheveux les uns que les autres. Certains de ces personnages se croisent sans aucun but scénaristique, si ce n'est de nous montrer que tous peuvent se voir sans même se remarquer, mais franchement... A quoi bon ? Ces destins se croisent, recroisent, et finissent par se lier dans une ville qui semble faire 20 km². D'accord, tout n'est qu'un prétexte pour nous montrer l'enfer d'une ville où la criminalité règne, mais les trois histoires s'imbriquent d'une telle façon qu'on n'y croit pas une seule seconde.
Sans parler des chiens qui provoquent dans le film : des problèmes de couples, des problèmes d'argent, des problèmes de solitude, et j'en passe des meilleures. Cet aspect est tellement superficiel et inutile que l'on se demande encore pourquoi il a tant été exploité.
Les irrégularités, maintenant. 150 minutes de film, trois histoires, plusieurs destins. Le jour où qui que ce soit arrivera à n'avoir aucun temps mort avec ces conditions, je lui tirerai mon chapeau. Par exemple, la seconde histoire, reposant sur le couple né d'une infidélité, enchaine les défauts. Présentée presque comme une apologie de l'infidélité injustifiée ("maris, si vous êtes fatigué d'avoir une femme, deux enfants, un appartement et un boulot de rêve, allez voir une top modèle, et achetez-lui un appartement"), cette partie du film est d'une longueur à n'en jamais finir. Si l'on rajoute à cela les interprétations des deux acteurs assez déplorables, on peut dire que placer cette histoire en plein au milieu du film est le meilleur des moyens de perdre le spectateur. Quand on se dit qu'une fois terminée, il reste 50 minutes... Pourtant, les deux autres histoires tiennent la route, sont bien jouées, et peuvent parfaitement se passer de celle-ci, sans aucune réécriture scénaristique. Je n'ai pas compris cette envie d'exploiter au maximum toutes les conséquences d'un seul accident de voiture. Pourquoi pas nous montrer la vie des témoins, tant qu'on y est ?
Deux gros défauts donc, qui pèsent extrêmement lourd face à une interprétation et une réalisation excellentes. La narration est elle-aussi novatrice, c'est juste dommage que le scénario soit tant tiré par les cheveux. Mais peut-être que le plus déplorable dans tout cela, c'est de voir que plusieurs années plus tard, le réalisateur commet les mêmes énormes erreurs avec Babel... En même temps, en gardant le même scénariste et la même idée de départ...
Pour conclure, je citerai liloboot, qui a raison sur toute la ligne, à propos de ce réalisateur : "C'est pour moi l'exemple typique du film surestimé d'un réalisateur surestimé." D'ailleurs, si ça te dérange pas, je vais reprendre ta réplique pour la critique que je dois rendre shykiss
Putain.

*édité à 23:37 le 17/10/2009
Message n° 1499551, posté à 23:25 le 17/10/2009  
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spaces
L'armée du crime.
Ouais, je sais pas pas où commencer. Déjà le bon point, c'est qu'on sombre pas dans le mélodrama, c'est déjà ça de gagner (malgré les envies du réal, on le sent clairement) de nous faire chialer. Good point.
Par contre, le versant, c'est que on suit le truc comme si tu regardais de ta fenêtre, t'es jamais happé par le récit. Tu suis le truc tranquillement. Ce qui par conséquent te fait sentir les longueurs du film. Et puis, elles sont nombreuses ces dernières, Oula ! 20, voir 30 minutes (faut pas hésiter à couper mon gars), ça serait mieux passer.
Et pis, faut que tu arrêtes avec les gros plans. Ça gâche tout. On peut même pas profiter de l'action. Parce que les gros plans, en plus de les foutres pendant les blabla, là, ça va, ça passe, il nous les fout pendant les scènes d'actions, qui en plus ne sont pas nombreuses. Vlan !
Et puis, le fait de commencer par la fin, c'est naze, et c'est démodé, faut arrêter.
Bon, dans tout ça, JP Darroussin s'en sort pas trop mal, yesss.
Bon (2ème) , par contre, c'est pas le cas de Ledoyen.
Finalement, c'est pas trop mal, mais bon, rien d'extraordinaire, ça sort la tête des productions françaises mélodramatiques sur la bourgeoise du coin dont nous avons jalousement gardé le secret. Youpie !
Ne courez pas voir ce film, ce serait trop lui donner, mais bon, en marchant (voir à reculons), ça peut le faire.

--
1/3 de pulco, 1/2 d'eau et le reste de limo...
Message n° 1499562, posté à 23:28 le 17/10/2009  
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Fresh Prince
The Night of the Hunter : Je vais un peu plus développer. Premièrement, car j'ai vu des réactions assez négatives à la suite de ma critique, deuxièmement, et surtout, parce que je dois écrire une critique de ce film pour le lycée.
S'imposant au fil des décennies comme l'un des plus grands films jamais réalisés, comme un véritable classique, The Night of the Hunter s'avère au final avoir mal vieilli et n'avoir comme seul intérêt le personnage d'Harry Powell, joué avec brio par Robert Mitchum.
En effet, Mitchum signe là une prestation des plus remarquables. Il joue sûrement l'un des méchants les plus effrayants de toute l'histoire du cinéma. Et pourtant, c'est à la base un prêtre. Assez paradoxal, mais tout le personnage tient sur ce paradoxe. Le seul moyen qu'il a trouvé pour sauver les âmes perdues est de les envoyer directement six pieds sous terre. Son personnage est travaillé, intéressant, et on finit même par l'apprécier, nous aussi. Chacune de ses apparitions crève l'écran. Certains de ses monologues, comme celui sur l'amour et la haine, sont cultes, et des longs plan-séquences, comme la première scène de meurtre, tournés comme des tableaux animés, resteront à jamais gravés dans les mémoires. En bref, un chasseur sur qui tout repose.
Tout repose sur Mitchum car les autres personnages sont en comparaison très mal joués. Je pense par exemple aux enfants. Non seulement ils sont mal joués, mais en plus ils ne sont pas assez travaillés. Chacune des scènes où Mitchum n'est pas à l'écran sont donc assez inintéressantes. Surtout celles consacrées à Shelley Winters, qui semblent n'exister que pour rajouter du temps, et pour que le film ne se termine pas au bout de 50 minutes, pendant la première poursuite. Cette deuxième partie du film est trop longue, trop ennuyeuse. On voit une sorte de famille mener un train-train quotidien dans un premier temps, et des enfants pas du tout affectés par tout ce qu'il leur arrive dans un second temps. Les deux enfants viennent de perdre leur famille, ils se font poursuivre par un psychopathe, et ils font comme si de rien n'était... Que la plus jeune, encore naïve, agisse comme cela, d'accord, mais lorsque c'est le garçon qui agit ainsi, on peine à y croire...
Au final, on en ressort plutôt déçu. On a certes vu une interprétation des plus prestigieuses, mais le reste sonne creux. Le film a mal vieilli. Et quand on voit qu'il y a aujourd'hui le quasiment-parfait No Country for Old Men, qui part du même principe de chasse à l'or ensanglantée, eh bien... On penche à préférer le film des Coen.

Message n° 1499590, posté à 23:47 le 17/10/2009  
+1.00
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tenia
Fresh Prince a dit :
Ladri di biciclete : Je crois que je vais avoir beaucoup de mal avec le néo-réalisme italien... Non mais sans dec...
Je te l'avais dit. idee
Mais à mon avis, t'auras du mal avec le néo réalisme tout court.
Sinon :
Vu Vertigo, et pas super accroché. Ca a été jusqu'à environ 45 minutes, et j'ai décroché peu à peu. Mais j'étais pas mal fatigué, ça n'a pas aidé.
Revu Psycho, et bon, c'est toujours aussi captivant.
Là, suis en train de regarder North By Northwest et c'est juste énorme. Le thème musical est monstrueux. Cary Grant est monstrueux (mais assez rigolo quand il conduit bourré). Pour l'instant, j'ai fait l'effort de ne pas trop me rafraichir sur l'intrigue du film, et jusqu'ici, je pense à The Game pour le pourquoi du comment. On verra si c'est ça.
Après, ptet demain, j'ai Rear Window sous le coude.
Enfin, sur Night of the Hunter, quelques liens qui t'aideront peut-être à avoir un autre oeil moins formel sur le film (car j'ai l'impression que tu t'es beaucoup trop concentré sur les performances d'acteurs, parce que c'est Mitchum probablement, alors que le film recèle bien d'autres choses) :

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"To be is to do"-Socrate; "To do is to be"-Sartre; "Do Be Do Be Do"-Sinatra;
Yippie ki yai, coffeemaker !
*édité à 23:54 le 17/10/2009
Message n° 1499593, posté à 23:50 le 17/10/2009  
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Fresh Prince
Rope !!!

*édité à 23:50 le 17/10/2009
Message n° 1499596, posté à 23:55 le 17/10/2009  
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Fresh Prince
tenia a dit :
Enfin, sur Night of the Hunter, quelques liens qui t'aideront peut-être à avoir un autre oeil moins formel sur le film (car j'ai l'impression que tu t'es beaucoup trop concentré sur les performances d'acteurs, parce que c'est Mitchum probablement, alors que le film recèle bien d'autres choses) :
Mouais, je vois ce que tu veux dire, et peut-être que le prof me dira pareil, mais franchement, ça change pas réellement mon point de vue...

Message n° 1499598, posté à 23:58 le 17/10/2009  
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tenia
Fresh Prince a dit :
Mouais, je vois ce que tu veux dire, et peut-être que le prof me dira pareil, mais franchement, ça change pas réellement mon point de vue...
J'aurais tendance à dire : c'est un peu comme si tu regardais The Blade en disant 'Ptain mais c'est n'imp là, c'est blindé de faux raccords" ou Blue Velvet en disant "Ptain mais comment il surjoue Hopper, là", etc etc.
On pourrait trouver des tonnes d'exemples comme ça, mais j'ai l'impression que tu n'as pas été au delà d'une lecture extrêmement superficielle du film.
Autant on me reproche souvent d'être trop analytique, autant là, ne pas l'être et ne regarder le film que du côté formel, c'est passer complètement à côté, je pense.
Et que tu cites ton prof me fait assez peur. Style "J'ai du regarder le film pour un DM, alors forcément, j'ai déconstruit froidement la machine pour l'exo".

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"To be is to do"-Socrate; "To do is to be"-Sartre; "Do Be Do Be Do"-Sinatra;
Yippie ki yai, coffeemaker !
*édité à 23:59 le 17/10/2009
Message n° 1499601, posté à 00:01 le 18/10/2009  
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Funi
La Vida Loca
Je comprends parfaitement pourquoi il a été loué de cette manière, mais que c'était long aussi, d'une force, au moins j'ai un peu fait la sieste dans la salle.
Pour résumé, un genre de Loft Story dans les Mara 18, en immersion totale, sans histoire à part la leur.

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"Mourir, c'est pas facile."

Nicolas Sarkozy.
Message n° 1499604, posté à 00:03 le 18/10/2009  
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Fresh Prince
tenia a dit :
Et que tu cites ton prof me fait assez peur. Style "J'ai du regarder le film pour un DM, alors forcément, j'ai déconstruit froidement la machine pour l'exo".
Ah non, je l'ai regardé pour le plaisir. Sauf que j'ai manqué un film, donc je dois faire une critique sur un film que je choisis. Et j'ai pris le premier qui me venait à l'esprit.
La vision de ce film a toujours été, et sera toujours, juste pour le plaisir. Rien d'éducatif là-dedans.

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