Batefer a dit : Fun mais j'ai du mal à comprendre justement ceux qui disent avoir ri pendant tout le film. Il y a quelques bons gags mais ça n'est quand même pas la grande poilade. Il y a des comédies plus drôles que ça, et réellement sur la durée du film.
Ouai c'est vrai mais bon il y a de bonne scène bien marrante (Quand Alan prend la main du bébé après vous savez la suite )
Je viens de voir qu'un 2ème film (Very Bad Trip) est prévu pour 2011 ,J'espère qu'il sera aussi bon que le 1er
*Édité à 13:37 le 01/07/2009
Message n° 1289096, posté par Jack-D-ombres à 23:05 le 02/07/2009
Le very bad trip aura été surtout pour ma pomme... Film à peine drôle, pour mon malheur je l'ai vu en VF, mention au doublage : on a le droit à 4 débiles profonds décérébrés, bande son hystérique et rien de rien d'autre, l'histoire est nulle, après un bon quart d'heure qui donne envie y a plus rien, le film se termine lorsqu'il devrait commencer.
Message n° 1289407, posté par Fresh Prince à 04:15 le 03/07/2009
Lascars : Un petit mal de tête, là, donc je vais pas développer, mais en bref, c'est une perle que nous livrent ces génies. Des répliques cultes à gogo, des dessins d'une incroyable beauté, des situations et personnages tous plus fous les uns que les autres, une BO du tonnerre... Un film à voir absolument.
Message n° 1292057, posté par do_Ob à 15:34 le 04/07/2009
Plutot sympa, les acteurs jouent bien, ça reprned la serie tv, donc peu de suspense. Et de différence.
Le seul gros défaut du film, une réalisation faites avec les pieds.Chamsp, contre champs, plan qui sert à rien, etc... Dommage ça bousille tout le film, le tout accompagné d'un montagne douteux...
La nuit au musée 2
:soupir:Bof.Moyen.Pas terrible.
-- 1/3 de pulco, 1/2 d'eau et le reste de limo...
Message n° 1293164, posté par Karimsupprimé à 01:46 le 05/07/2009
Un film d'horreur Norvégien, avec des meurtres en veux-tu en voilà, bien saignant, comme ils savent si bien les mettre en scène (voir friit vilt 1 & 2/ appelés aussi cold prey 1 & 2).
Message n° 1293228, posté par Fresh Prince à 04:04 le 05/07/2009
The Terminal : Drôle, touchant, et à la fois triste, reposant sur des thèmes simples (difficulté de compréhension, problèmes de langage, terrorisme) et sur la prestation parfaite (oui oui, parfaite) de Tom Hanks, ce Terminal montré en long et en large par Spielberg, pendant plus de 2h, est un must-see. Voir n'importe quel lieu (ici l'aéroport) avoir tant de vie dans un film, c'est tellement rare que ça ne se rate pas.
1.32
Message n° 1293244, posté par Ano nyme2 à 06:50 le 05/07/2009
J'ai trouvé ce film tellement commun et ennuyeux que c'est ça qui m'a fait peur dans le métrage. Tu remplaces les voitures par des modèles américains et le boui-boui du début par un diner, tu aurais pu me dire que c'était un survival américain, je t'aurais cru sur parole. Aucune originalité scandinave. Un produit tout pourri.
Miyazaki rétrospective :
Nausicaa : Un Miyazaki résolument plongé dans le futur, dans lequel on retrouve bien évidemment ses thèmes de prédilection (relation à la nature, au milieu d'une guerre qui ne concerne pas les personnages, technologies entremêlées, image de fille/femme forte, vénération des personnes âgées, respect des tradictions etc.) et qui m'a laissé un très bonne impression, malgré quelques coups de mou. J'ai préféré l'aspect pollution/environnement aux piètres exactions entre humains.
Ponyo : Définitivement pour enfants. Chanson de fin travaillée et re-travaillée de manière à ce qu'elle entre, tout comme celle de Totoro, dans l'enceinte des écoles primaires japonaises. Un petit moment de bonheur comme Miyazaki sait les créer. Pas vraiment d'enjeu dramatique, juste une jolie histoire d'amour entre enfants. Se laisse voir.
Princesse Mononoke : Toujours mon préféré à la revision. Le plus adulte, le plus abouti. Avec les personnages principaux les plus âgés également (deux adolescents). Pas de temps mort, beaucoup d'action, du gore (les flèches qui décapitent et arrachent des bras), une animation du tonnerre (les dieux maléfiques !), des loups géants, bref, le top du top ! Celui que je recommande avant tout.
Le Château dans le ciel : Là aussi un Miyazaki pur jus, machines volantes, princesse, technologie avancée, arbre gigantesque, combats entre factions, etc... Tout à fait sympathique, mais ne se distingue pas particulièrement. On retrouve les écureuils-renards de Nausicaa en passant.
Mon voisin Totoro : Un moment de bonheur à l'état pur. Juste pour voir Totoro avec son parapluie à l'arrêt de bus ou le Chat-bus dans toute son agilité, ça vaut son pesant de cacahuètes. Je trouve même que le pseudo enjeu dramatique (où est passée Mei ?) était de trop. Le manque total d'histoire allait parfaitement à l'ambiance.
I've seen a lot of crappy movies cette semaine pour m'occuper.
In the Name of the King: A Dungeon Siege Tale : Un Uwe Boll pur jus (quoique, il faudrait arrêter de médire, paraît que Stoic est potable et Zombie Massacre paraît prometteur). Tout allait bien jusqu'à ce que je vois les Krugs, au design particulièrement ridicule, puis à tous les combats qui s'ensuivirent et qui me rappelèrent les "bonnes" années d'Hercule et Xena. Bref, bien content de ne pas avoir joué à Dungeon Siege pour le coup, je n'ai pas à eu à subir de viol.
The Portal : Ambiance brumeuse, filtre jaune pisseux, deux membres d'un groupe de musique égarés se retrouvant dans un motel dont on ne peut apparemment s'échapper, sur fond de satanisme. Minable, aucun intérêt.
The Onion Movie : Enfin un humour américain qui me touche et me fait rire, loin des Ferrelleries habituelles. Complètement décalé sans tomber dans le graveleux, j'adore. Il s'agit d'une satire du journal télévisé, en l'occurrence The Onion News, qui délivre des nouvelles du monde complètement décalées. Ainsi que de nombreux trailers de Cockpuncher, avec Steven Seagal ! Yeah !
Friday the 13th (remake) : Transformer un mongoloïde attardé et balourd, maniant la machette, en un chasseur agile jouant de l'arc, des appâts, des pièges et faisant des prisonniers, c'était juste muter une franchise qui a montré ses hauts et ses bas, mais qui était au moins facilement reconnaissable, en un banal slasher new generation. Rien à sauver de mon côté, juste la magnifique poitrine de Julianna Guill pendant 5 bonnes minutes, à se damner. Et sinon, Jared Padelecki qui joue exactement comme son personnage de Sam dans Supernatural.
My Bloody Valentine (remake) : Là encore, un remake de foiré. Alors que l'original, uncut, est vraiment un bon film selon moi. Ici l'aspect Saint-Valentin est grandement mis de côté, tandis que l'intrigue se résume à nous mener en bateau quand à l'identité du tueur. Chaque meurtre étant juste prétexte à éliminer les prétendants par leur présence en tant que témoins. Pathétique. Et sinon, Jensen Ackles qui joue exactement comme son personnage de Dean dans Supernatural. Ces deux-là n'iront pas très loin...
Hell Ride : Des poitrines nues, des bikers, Dennis Hopper pour le côté nostalgique, et ça s'arrête là. Pas de musique digne de ce nom ni de semblant de scénario. Juste des gars qui se font descendre pour des raisons peu claires expliquées dans des flash-backs tout aussi confus. Rien à voir. A noter David Carradine et Michael Madsen qui re-cachetonnent ensemble.
Wild Child : Sais pas ce que ça faisait chez moi. Une adolescente tumultueuse de Beverly Hills est placée dans un collège anglais pour filles de bonnes familles et va tout faire pour en être éjectée. Euh... joker ?
18 Years Old Virgin : C'est original l'histoire de la vierge qui cherche à tout prix à se faire dépuceler à une soirée parce que le gars avec qui elle a envie de coucher ne le fera pas en l'état. Ca doit bien être la seule qualité du film. C'est moche, graveleux et la fin est prévisible... dés le début du film ?
While She Was Out : Une mère de famille (Kim Basinger, complètement à la ramasse) opprimée par son mari, est prise en chasse par un groupe de jeunes désoeuvrés ayant commis un meurtre dont elle est le témoin. A aucun moment on ne rentre dans le film, on ne compatit à son sort, et l'intégralité des personnages se comportent de manière stupide. Bref...
The Rocker : C'est bien parce qu'il y avait Rainn Wilson (Dwight) en lead character que je l'ai regardé. C'est sympathique mais ça ne casse pas des briques.
The Midnight Meat Train : Des galons de sang numérique très moche, une photo définitivement trop bleue (il y a des limites à la fraîcheur métallique de l'image), un Vinnie Jones beaucoup trop monolithique à mon goût et une fin nawakesque au possible.
Ghost Town : Une comédie gentillette qui tient beaucoup à son acteur principal, Ricky Gervais, acteur anglais particulièrement performant dans l'incarnation d'un dentiste aigri et misanthrope qui se met à voir des fantômes après être resté décédé sept minutes sur la table d'opération durant une coloscopie.
Felon : Un jeune père de famille, entrepreneur, se retrouve plongé dans le ravageur système carcéral américain après avoir tué, par accident, un cambrioleur qu'il venait de mettre en fuite. Je l'ai trouvé plutôt bon. C'est bien filmé, et on est heureux d'y voir Val Kilmer assumer son poids. ^^
La Journée de la jupe : Je dois dire que j'étais intrigué. Et j'ai trouvé ça tout à fait correct. N'ayant jamais été confronté à ce type d'environnement, je ne peux dire si la reconstitution est réaliste, mais d'un oeil extérieur ça ne me semblait pas tomber dans l'excès. Et me rend par ailleurs bien content d'avoir grandi à "la campagne".
Street Kings : Un film où Keanu Reeves joue correctement, juste pour ça, c'est à voir. Sinon c''est un polar tout à fait correct, sinon plus. Le scénario est archi-classique, mais la mise en scène vraiment efficace.
The Reaping : L'histoire d'une ancienne missionnaire, renconvertie dans la démystification de soi-disant miracles, tout autour du monde. Elle est appelée à enquêter sur le cas d'une rivière dont l'eau s'est changée en sang. Après un début très carré, on enchaîne rapidement les "flashs" (éléments que je déteste particulièrement quand ils sont censés faire avancer le scénario en révélant des secrets au personnage) et les plaies desservis par des effets numériques assez approximatifs. Même si l'histoire tire sur le nawak, j'aime assez le coup de théâtre final.
Powder Blue : Un beau film certes, avec des acteurs impliqués, tels que Jessica Biel, Forest Whitaker, Eddie Redmayne ou Ray Liotta. Mais j'ai trouvé que dans l'ensemble, ça avait la prétention de jouer dans la cour supérieure sans en avoir les moyens. Essayer d'imbriquer plusieurs histoires les unes dans les autres, sans réellement se donner le talent d'écriture nécessaire. Pour le coup, Forest Whitaker, à part son passage dans le salon funéraire, n'a strictement rien à voir avec le reste du film. Bref, divertissant mais loin d'être bouleversant.
The Wackness : Eté 1994, Kurt Cobain est mort depuis peu, et Luke Shapiro, adolescent dealer de marijuana mais asocial, sortant juste du lycée, va essayer de combler ces deux mois de chaleur torride en parcourant le pavé à la recherche de clients, essayant de créer des liens avec un psychiatre assez particulier, un de ses réguliers, et sa belle-fille dont il est tombé amoureux. Rap des 90' et détresse adolescente au programme. Chronique désabusée d'un garçon qui va apprendre à devenir un homme, par lui-même.
Push : J'aime lorsque des types lambdas acquièrent des pouvoirs divers et variés, c'est ce qui fait que j'adore les X-Men et n'aime pas vraiment les séries suivant un seul super-héros. Les acteurs ne sont pas trop mauvais (faut dire que je trouve Dakota Fanning vraiment douée en toute circonstante) et les pouvoirs bien pensés, mais le scénario pêche vraiment, les incohérences n'étant pas rares. Félicitations au personnage qui élabore un plan aussi compliqué en moins de deux heures top chrono d'ailleurs. Mais bon, à titre de comparaison, j'ai largement préféré ça à cette merde de Prédictions.
Laid to Rest : J'ai vu beaucoup de films moisis et j'ai une assez grande tolérance à l'imbuvable, mais en à peine dix minutes, son sort était fixé. Je pouvais déjà dire que même en quart d'écran (ce que je fais quand je trouve un film mauvais et que je me mets à faire autre chose en même temps), c'était pas possible. Acting, mise en scène et photo exécrables pour un énième slasher au tueur masqué.
Trilogie Scream : Je ne les avais vu qu'une fois chacun, à leur sortie respective, et comme ça faisait longtemps, ça me titillait. Je fus d'abord impressionné par le cast : David Arquette, Neve Campbell, Courteney Cox, Skeet Ulrich, Rose McGowan, W. Earl Brown, Drew Barrymore, Liev Schreiber (Wolverine), Omar Epps, Heather Graham, Sarah Michelle Gellar, Joshua Jackson, Timothy Olyphant, Jerry O'Connell, Rebecca Gayheart, Portia de Rossi, Tori Spelling, Luke Wilson, Selma Blair, Patrick Dempsey, Lance Henriksen, Carrie Fisher, etc... Marrant que pour chaque petit rôle, tu reconnaisses la tête de l'acteur/trice qui en l'espace de 10/15 ans a tourné dans un tas de trucs que tu as vu depuis.
Sinon, je vois pourquoi le premier avait révolutionné le genre du slasher à l'époque, et à été copier à tire-la-rigot depuis. Bien torché, truffé de références, subtiles ou non, et bien joué, suffisant pour en faire un bon divertissement.
Le deuxième et le troisième étaient déjà des victimes de ce Scream-style au rabais. Mais restent regardables. Enfin pas trop souvent hein.
Copycat : Sigourney Weaver en expert es serial-killer, agoraphobique cloîtrée chez elle, est mêlée malgré elle aux agissements d'un copycat. Un film d'enquête de bonne facture, sans plus. J'en avais pas de meilleur souvenir de toute manière.
The Horsemen : Oula, et ça c'est sorti en salles ? Même pour un DTV j'aurais eu honte. Il a failli subir le même sort que Laid to Rest. J'suis resté, ben j'aurais pas dû. C'est d'une nullité abyssale. Autant esthétiquement que scénaristiquement (le type qui a écrit ça, franchement...). Une honte.
*Édité à 07:02 le 05/07/2009
Message n° 1293254, posté par ricorod à 08:35 le 05/07/2009
Fresh Prince a dit : The Terminal : Drôle, touchant, et à la fois triste, reposant sur des thèmes simples (difficulté de compréhension, problèmes de langage, terrorisme) et sur la prestation parfaite (oui oui, parfaite) de Tom Hanks, ce Terminal montré en long et en large par Spielberg, pendant plus de 2h, est un must-see. Voir n'importe quel lieu (ici l'aéroport) avoir tant de vie dans un film, c'est tellement rare que ça ne se rate pas.
Scénarion d'Andrew Niccol. C'est la seule chose qui m'a marqué dans ce film.
-- Life is too short to spend two hours in a state of total exasperation.
Message n° 1293257, posté par Karimsupprimé à 08:48 le 05/07/2009
Liana a dit : Trilogie Scream : Je ne les avais vu qu'une fois chacun, à leur sortie respective, et comme ça faisait longtemps, ça me titillait. Je fus d'abord impressionné par le cast : David Arquette, Neve Campbell, Courteney Cox, Skeet Ulrich, Rose McGowan, W. Earl Brown, Drew Barrymore, Liev Schreiber (Wolverine), Omar Epps, Heather Graham, Sarah Michelle Gellar, Joshua Jackson, Timothy Olyphant, Jerry O'Connell, Rebecca Gayheart, Portia de Rossi, Tori Spelling, Luke Wilson, Selma Blair, Patrick Dempsey, Lance Henriksen, Carrie Fisher, etc... Marrant que pour chaque petit rôle, tu reconnaisses la tête de l'acteur/trice qui en l'espace de 10/15 ans a tourné dans un tas de trucs que tu as vu depuis.
Et Henry Winckler (même s'il ne fait qu'une petite appartion).