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Publié par Applegregs le 14/02/08 à 16:14   -   Categorie : Jeux vidéos  -   Vu: 12873 fois
NOTA






Pour utiliser le sommaire, cliquer sur les sections voulues et vous y serez immédiatement téléporté. Inversement, pour revenir au sommaire, cliquer sur n'importe quel titre de section (en bleu).


Maintenant, à vous les joies innavouables des voyages spatiotemporelles metaforumesques ;-)



SOMMAIRE












Présentation de Final Fantasy 7 (en cours de rédaction par Kenjicenturyboy)
Présentation de Vagrant Story (en cours de rédaction par Kenjicenturyboy)
La série des Monkey Island (en cours de rédaction par Conradson)





INTRODUCTION


Bien le bonjoir ;-)
Ce topic vous est ouvert afin de vous permettre d'exprimer votre passion, à vous gamers et gameuses, de partager vos expériences vidéoludiques, vos ressentis et j'en passe...

Pour l'histoire, suite à un sondage (voir ici), j'ai découvert que ce site renfermait dans ses sombres et labyrinthiques couloirs (??), cachés sous des toiles d'araignée en carton-pâte, quelques gamers et gameuses attendant patiemment de pouvoir livrer leur passion sans avoir honte devant la tournure résolument sériephile de ce forum.
J'ai donc, en accord avec l'adage "La connaissance s'accroit quand on la partage", décidé de vous livrer en ces lieux l'histoire de ma passion... dans un putain de roman de 15000 pages (ne jamais faire les choses à moitié ^^).

Il fut donc un temps où je reçus ma toute première console de jeu, lors d'une festoierie annuelle étrange dont je n'ai jamais compris réellement l'intérêt... Noël !
Ainsi, telle une pluie d'anges divins sur fond de chants d'allegresses, une GameBoy atterit par miracle dans mes petites mimines toutes moites (la légende raconte que ce sont mes parents qui me l'ont offert... mais je n'y crois pas, je suis sûre qu'il s'agit d'une intervention divine), intrigué par ce curieux jouet muni de cinq boutons (dont un en forme de croix), d'un écran, d'un petit haut parleur et d'une ouverture susceptible d'y accueillir des trucs tout plats appelées "cartouche de jeu".
Ce fut là une découverte qui, au départ, ne m'enchanta guêre, ne comprenant pas quel intérêt pouvait-il y avoir dans ce truc bidule électronique tout moche qui faisait bruiip bruiip.

C'est alors que quelques jours plus tard, glissant une cartouche de jeu intitulée "The Legend of Zelda - Link's Awakening", le mot "jeu vidéo" pris subitement une toute autre valeur !
La définition "simple divertissement" fut alors remplacé par une autre : "vecteur d'art".
Ce fut la consécration, une porte ouverte vers un chemin oblique que j'empreinta les années qui suivirent.
Tout y passa : Super Nintendo, Game Boy Advance, Nintendo 64, Dreamcast, Gamecube... pour en arriver aujourd'hui au Personnal Computer.
Ne vous meprenez pas, je n'ai pas oublié les autres consoles, ici je ne parlerais que des jeux que j'ai possédé/joué, et non juste regardé/assisté/admiré sans pouvoir toucher à la manette.
And Now, Sit Down, Take a Beer and Enjoy : Something Completely Nostalgic !!




GAMEBOY


 [x]


  • The Legend of Zelda - Link's Awakening : Link, ce petit elfe au bonnet vert qui passe toujours son temps à couper de l'herbe et soulever des vases pour y recolter des rubis (ce qui est d'une grande logique, n'est-il pas ^^) se retrouve échoué sur une île suite à une tempête. Une île pleine de mystère, surplombée d'un oeuf gigantesque qui ne reagit qu'aux sons d'instruments de musique. Pour l'ouvrir et explorer son intérieur, Link devra reunir 8 instruments qui, ensemble, ferront vibrer l'oeuf et... et c'est sans doute le plus dynamique et le plus prénant épisode de la série, c'est tout ce qu'il y a ajouter !
    La fin est sans conteste à marquer d'une pierre blanche dans le monde du jeu vidéo. Mon préféré, cela va de soit ^^
  • Tetris : oh rien, juste le puzzle game le plus addictif qui est jamais existé...




SUPER NINTENDO


 [x]


  • Super Metroid : Toute l'ampleur de ce jeu d'aventure se résume en un mot : ambiance.
    De plus, comme tous les Metroid ou les Zelda, les mecanismes du gameplay sont simples, mais terriblement efficace : à chaque nouvelle zone visitée, votre quête vous amenera à découvrir des pouvoirs/objets vous permettant d'accéder à de nouvelles zones sans quoi impossible à atteindre. Zones qui elles-mêmes renferment des objets/pouvoirs qui vous permettront de... etc... TRES TRES prenant, sans aucun doute !
  • Super Mario Kart : tout bonnement les plus grands éclats de rire devant un jeu.... les nombreuses heures passées en écran splitté avec mon frère n'y sont sans doute pas pour rien ^^
  • The Legend of Zelda - A Link to the Past : un classique qu'il n'était nul besoin de citer ici, une évidence qu'il n'était nul besoin de souligner. C'est implicite : vous parlez jeux vidéo et hop, dans votre cerveau de passionné(e) vient automatiquement le nom de ce jeu, proprement parfait sur tous les plans.
    Ce que j'en dit, c'est que Miyamoto est Dieu personnifié. Vous trouvez que j'en fait trop ? Vous avez sûrement raison ^^
  • Secret of Mana : mon premier A-RPG, ma première véritable expérience vidéoludique, mon premier amour... tant d'émotions et tant de ressentis dans un simple jeu... s'en était innimaginable (sans compter qu'il s'agissait d'une des seuls A-RPG à être jouable à plusieurs).
  • Final Fantasy VI : Une musique divine signé Nobuo Uematsu et un scénario d'anthologie, voilà en quoi on pourrait résumer brievement ce jeu.
    Malheureusement indisponible en Europe, la faute à Squaresoft qui considérait cette partie du monde comme la cinquième roue du carosse, et vendu sous le nom de Final Fantasy III aux USA (une sombre histoire de noms qui changent étrangement dés leur passage frontalier), il fut disponible sur Playstation en Europe des années plus tard, dans un coffret regroupant les hits de Squaresoft, aujourd'hui SquareEnix...
  • Chrono Trigger : doté d'une histoire et d'un background trés fouillés (vous voyagiez dans le temps à travers diverses époques dans un même endroit, les actes du passé ayant des conséquences sur l'avenir), sans compter sur le charisme foudroyant des personnages, je pense à Magus notamment.
    Et puis, il y a aussi Yasunori Mitsuda, trés inspiré (comme d'hab ^^) et qui nous a pondu l'une des meilleurs OST (BO si vous voulez) du jeu vidéo.
    A l'instar de FF6, parce qu'il n'était pas sorti en Europe, je l'ai découvert des années plus tard sur émulateur via une traduction française amateure.
  • Donkey Kong Country : LA claque graphique et auditive de l'époque (la musique des niveaux sous-marins !!). Même aujourd'hui, on reste stupéfait devant tant de maîtrise technique. Reste aussi un excellent jeu de plateforme, au gameplay "aux petits oignons".
  • Yoshi's Island : tout simplement "the best plateform game ever".
    Parti-pris graphique tout en pastelle, jouabilité absolument parfaite, challenge relevé - Le jeu était quand même difficile. J'y ai rejoué recemment, j'ai compris ma douleur. A croire qu'avec l'âge, je suis devenu une vraie larve. Ou alors, peut-être étais-je un mutant à cette époque benie des dieux ? - et j'en passe, sinon ca va finir en dithyrambique ^^
  • Street Fighter II : excellent portage d'une borne d'arcade et jeu de combat ultime, s'il en est ;-)
  • Seiken Densetsu III : qui aurait pû s'appeler Secret Of Mana II si SquareSoft avait dénié le sortir chez nous, grrrr...
  • Et j'en passe, ce post n'est pas un roman non plus (quoique ^^).




GAME BOY ADVANCE

 [x]

En vrac : Golden Sun, The Legend of Zelda - Minish Cap, Castlevania - Circle of the Moon, Advance Wars, et autres. A noter les nombreuses adapatations de la Super Nintendo, telles Yoshi's Island, A Link to the Past, etc...




NINTENDO 64

 [x]


  • Golden Eye 007 : un challenge à la limite de l'insoutenable en mode Agent 007, des parties multijoueurs enflammées (jouables à 4) et une réalisation digne du studio Rare. Sans doute l'une des meilleurs adaptations vidéoludiques d'un film qui soit (et qu'on ne me parle surtout pas de l'inverse, genre Resident Evil, Mario Bros, Mortal Kombat, Doom et autres catastrophes navetesques !!!)
  • Conker's Bad Fur Day : où quand Rare pête un câble !!
    Oui, je deteste ce jeu au point d'en écrire un pavé :

    Conker est un petit écureuil tout ce qu'il y a de plus impolitiquement correct.
    Il est vil, grossier, alcoolique, aime l'argent, les lapines hyper sexy (surtout lorqu'elles se vêtissent de cuir moulant) et ne rate pas une occasion pour placer une réplique bien cynique, pic acérée à l'encontre de la bien pensance dont il se contrefout complétement.


    Lors d'une soirée arrosée dans "les règles de l'art", Conker se décide curieusement à appeler sa fiancée afin de se faire pardonner de son retard, pretextant une guerre quelconque, quelque part...
    Tombant malheureusement sur le répondeur (celle-ci ayant décidé de ne pas decrocher, trop occupée par un "exercice de gymnastique rythmique"), il décide de rentrer chez lui. Sous une pluie battante, dégueulant au passage sur un moine étudiant des pierres sacrées (??), Conker prends alors "tant bien que mal" le chemin du retour, en allant à droite... alors qu'il fallait prendre à gauche -_-'


    Non loin de là, dans un chateau médieval, le roi avachi sur son trône s'ennuit à mourir. Tapotant des doigts sur les accoudoirs, le roi boit son lait, tranquillement, attendant qu'il se passe quelque chose.
    Mais c'est alors qu'advint l'impensable, l'innimaginable : posant son verre de lait sur une table de chevet dont il manquait un pied, il constate sans réagir que la table bascule, que le verre de lait tombe et... se casse !!!
    Ne comprenant pas ce qu'il venait de se passer sous ses yeux ébahis et trouvant accessoirement un moyen d'exercer son autorité, il demande à ses sbires (des rats complement crétins) des explications sur le champ, tout en leur exigeant expressement de réparer cette tyrannique injustice, ce qui se verra confié à un scientifique fou en forme de rat (ce qui est normal vu que c'est un rat).


    Pendant que Conker se sort lentement d'une monumentale gueule de bois (bien que rompu aux beuveries en tout genre, exercice périlleux s'il en est), il se rends compte qu'il est perdu dans un endroit qui lui est complètement inconnu.
    Cherchant son chemin, discutant à l'occasion "sensitive context" avec un épouvantail amateur d'hélium (?) et de bières, il se retrouvera bloqué devant une espèce de gargouille se prenant pour une pièce de sculpture d'ampleur architecturale dont il reussira finalement à se débarasser avec... une poile à frire !
    C'est alors le scientifique attitré du roi fait une incroyable découverte : un écureuil placé sous la table pourrait suffire à stabiliser celle-ci et donc calmer le Roi furax.


    S'en suit une chasse à l'écureuil, qui n'est finalement qu'un pretexte pour vous conduire dans des aventures complètement barrées, avec une multitude de clins d'oeil cinématographiques (Orange Mécanique, Alien, Dracula, Matrix, le Parrain et j'en passe), d'insultes, de rencontres étonnantes (le pôt de peinture con et son ami pinceau malpoli) et de passages innoubliables (comme Mighty Poo, un gros caca chanteur d'opéra).
    Cultissime dites vous ? Nooon, rien qu'un peu ^^

  • Banjo Kazooie : encore est toujours Rare. Décidemment...
    Le scenario n'est certes pas des plus recherchés (Banjo doit retrouver sa gentille petite soeur capturée par une méchante sorcière toute laide), mais ce serait faire fi (que diantre !!) de ses nombreuses et indéniables qualités.
    Humour So British (relation tendue entre Banjo et Kazooie inside), adaptation de la musique à la situation (par exemple, vous vous approchiez d'un bateau et des instruments venaient se rajouter à la mélodie principale, lui donnant un sonorité "pirate"), réalisation encore une fois exemplaire (une habitude avec Rare, d'ailleurs ça en devenait lassant d'assister à toute cette perfection ^^) firent de ce bijou de plaisir un joyau étincelant tel un rubis dans l'ecarlate moiteur des productions concurentielles (hum).
  • Jet Force Gemini : Tiens, un jeu Rare, comme c'est étonnant !!
    Malheureusement, ce jeu a subi dans sa conception de nombreuses remises en cause de dernières minutes (comme l'aspect des personnages principaux, jugés trop enfantins au regard du contexte science-fictionnesque), ce qui s'en ressent énormement dans le gameplay et l'animation des personnages. Un trés grand jeu ceci dit !
  • The Legend of Zelda - Ocarina of Time : Un trésor parmi les trésors que nous réservent (parfois) les industriels du jeu video. Ambiance soigneusement fignolée, temples/donjons de plus en plus vastes et tordus (qui a dit Temple de l'Eau ?), boss innoubliables (comme les deux sorcières "fusionnelles"), jouabilité innovante, univers trés accrocheur (et bien plus riche que dans les précédents episodes), etc...
    Il y a aussi (on en parle jamais assez) la Triforce dont la symbolique est ici bien plus travaillée (voir plus bas).
    Juste un petit bémol pour la musique, essentiellement pour la qualité de son qui rappelait celle d'une super nintendo -_-'
  • Paper Mario : le premier d'une série relativement agréable.
    Celui-ci est sans doute le plus intéressant, de part son univers tout mimi et ses excellents thèmes musicaux.




DREAMCAST


 [x]


  • Shenmue : un nom, une légende, LE jeu qui a coulé financièrement Sega qui, du coup, s'est retiré du hardware console.
    C'est surtout un univers immensemment crédible, une sorte de simulation de vie à la réalisation absolument hallucinante !
    Reste que le jeu aurait dû sortir en trois parties et... on attends toujours la dernière... dommage :(
  • Soul Calibur : adaptation trés réussie du même jeu d'arcade. Les multitudes de techniques de combats, les armes, Mitsurugi, tout ça quoi ^^
  • Toy Commander : dans ce jeu, vous pilotiez toutes sortes de jouets, comme des voitures miniatures, des avions miniatures et plein d'autres trucs miniatures, évoluant dans une gigantesque maison (terrain de jeu propice à "moults amusements").
    Bien foutu, fluide et à la jouabilité intuitive, un des tous premiers jeux à être sorti sur cette console.
  • Jet Set Radio : Un bien curieux concept que voilà. Le but : taguer le plus de murs possibles... on se retrouve avec des clans se battant pour repeindre la ville. Intéressant, mais un peu repetitif à force.
    A noter qu'il fut l'un des premiers à exploiter correctement le Cell Shading.
  • Skies of Arcadia : un RPG tout à fait honnête, avec des combats de bateaux-vaisseaux des plus agréables.
  • Et j'en passe un paquet faramineux. La Dreamcast est sans doute la console la plus typée arcade qui soit. Morte prématuremment, en pleine gloire (merci Sony et ses campagnes publicitaires dignes des meilleurs prestidigitateurs). R.I.P :(




GAMECUBE


 [x]


  • Metroid Prime : premier épisode d'une trilogie dont il pose une base d'une solidité à toute épreuve ! L'un des seuls FPS jouables sur console qui m'est réellement intéressé.
  • Baten Kaitos : avec son système de combat qu'il serait impossible de décrire sans passer à côté des multitudes de subtilité qu'il offre (cartes élémentaires, de defense, d'attaque, combinaison entre les cartes possible lors d'un combat, veillissement dans le temps affectant l'essence des matériaux emprisonnés dans les cartes, système de suite/carré/paire offrant des bonus d'attaque ou de défense, éléments opposés qui s'annulent si de force égale, et cetera...), ses graphismes qui démontraient que la 2D en avait encore dans le bide (et pas qu'un peu !) et sa musique de Motoi Sakuraba (dont UNE SEULE piste est minable... je ne comprends pas du tout ce choix de nous assainer de la Dance "de merde" lors du premier combat contre Giacomo... toutes les autres sont cependant des perles, Motoi livre là un travail vraiment titanesque), le studio Tri Crescendo signa sans conteste LE meilleur RPG de la Gamecube, et pas moins que l'un des tous meilleurs RPG toutes consoles confondues.
  • Resident Evil Rebirth : n'ayant jamais possédé de Playstation, c'est avec baves aux lêvres que je découvre ce remake à la réalisation globale trés réussie.
    Mais ensuite, vint un autre jeu, et ce premier sombra dans l'oubli...
  • Resident Evil 4 : plus jeu d'action que véritable Survival Horror, RE4 n'en reste pas moins un souvenir tenace auprés d'une multitude de joueurs (et accessoirement de la mienne) et pour cause : il est dynamique, prenant, parfois flippant mais surtout mis en scène magistralement.
    Un tournant dans la série puisqu'il est le premier en véritable 3D. Cela aurait pû être une catastrophe, mais il n'en fut rien, du TOUT ^^
  • Star Wars Rogue Squadron II - Rogue Leader : plus arcade que simulation, c'est le jeu qui m'a fait acheté une Gamecube.
    Pouvoir revivre les moments forts de la trilogie des épisodes IV, V et VI dans un graphisme ENFIN crédible, est un plaisir qu'on ne se refuse pas ;-)
  • The Legend of Zelda - Wind Waker : ZE déception. Ok, il possède une excellente ambiance, offre une sensation de solitude et de liberté sur la mer des plus grisantes, un univers toujours aussi agréable à découvrir, mais en tout et pour tout 5 pauvres dongons manquant cruellement d'innovation et d'intêrets, quand certains se limitaient au stric minimum : deux pièces, un objet, pas de boss.
    Peut-on d'ailleurs appeler ça des donjons ? Et c'est sans compter sur la quête finale, rallongeant artificiellement la durée de vie... bof bof...
    A noter toutefois une utilisation du Cell Shading trés poussée, offrant des graphismes chatoyants et des animations proprement sidérantes.
  • The Legend of Zelda - Twilight Princess : jeu symbolisant la mort commerciale de la Gamecube. Il est sorti en même temps sur Wii, dont la maniabilité avec la Wiimote, bien que déroutante, lui offrait une dimension toute nouvelle.
    Malheureusement trop facile à mon gout. On ressent aussi énormement de similitudes avec Ocarina of Time : les lieux sont les mêmes, mais simplement mis aux goûts du jour...
    EDIT : psiko souligne une trop grande inspiration, voire un pompage éhonté, provenant des univers crées par Tolkien et Miyasaki, ce que je plussoie avec forte conviction !

    C'est toutefois un jeu d'excellente facture, avec des moments épiques, des passages oniriques, une dualité animal/elfe savamment distillé et une réalisation digne d'intérêt.

Le cas Starfox Adventure

Une petite pensée pour ce jeu, que je ne n'ai pas inclus dans ma liste pour des raisons que vous comprendrez.
Il s'agit du tout dernier jeu de Rare sur une console Nintendo, et aussi et surtout du plus mauvais : Aspect A-RPG ultra léger, pas prenant pour un sou, le cul entre deux chaises (barré ou pas ? telle est la question que se pose le jeu tout du long de l'aventure, du coup on se demande bien où voulait en venir les développeurs), se termine en queue de poisson (façon Shoot'em Up... clin d'oeil à la série StarFox, mais trop maladroitement placé)... reste une réalisation vraiment surprenante (la fourrure des persos était modélisée !!!).


Rien d'innoubliable cependant, à part que ce fut une énorme deception.
Juste aprés CA, Rare fut racheté par Microsoft. Ceci expliquant surement cela : "Bon on s'en va, on le savait depuis le début, on a fait exprés de vous decevoir pour éviter les regrets, amertumes et autres larmes d'adieu. Bye !! See You Soon et acheter Microsoft".
Pffff...





PERSONAL COMPUTER


 [x]


Puis, en même temps que la Gamecube, je découvris l'ordinateur et ses jeux d'une autre galaxie.
Inutile de vous le dire, ma passion pour les jeux consoles s'éteigna trés rapidement, au point que je n'en acheta plus aucune. Ceci dit, j'avoue qu'il y a des jeux qui me font vraiment hésiter, comme Okami ou Shadow of the colossus sur PS2 ou encore Mass Effect sur X360. J'y reviendrais plus tard.
Revenons-en au PC : énumérer tous les jeux qui m'ont fait rêver serait tâche impossible tant il y en a, mais voici ceux avec lesquels j'ai eu le plus de ressentis :

  • Outcast : Cutter Slade, Navy Seals en vadrouille, se retrouve téléporté dans un monde parallèle afin d'y recupérer une sonde (un peu à la Stargate en fait, comme les Daoka, ces portes de voyages similaires aux portes des étoiles... ceci dit la comparaison s'arrête là).
    Avec une BO absolument fantastique (jouée par l'Orchestre Symphonique de Moscou !!), un doublage français exceptionnel (assez rare pour être souligner dans le monde du jeu vidéo), un scenario du feu de dieu (Tout est parfaitement logique. Par exemple, pourquoi des créatures d'un monde parallèle comprendraient voire parleraient notre langue ? Tout ceci a une explication dans le jeu, révélation que je ne vous spoilerais pas, cela va de soit ^^), des PNJ (Personnages Non Joueurs) ayant une véritable existence et des comportements humains (dû au moteur d'intelligence artificielle intitulé Gaïa), des mondes vastes à explorer, avec une multitudes de quêtes annexes faisant la part belle aux relations que vous pouviez "coudre" avec les peuplades environnantes, etc, etc, etc...
    Ce jeu m'a scotché, dans tous les sens du terme.
    Le moteur graphique Voxel

    La patte graphique toute particulière de ce monument se resume en un mot : Voxel. Un voxel est un volume en soit, dans l'accumulation forme directement des reliefs. En comparaison, un pixel est un point plat, dont l'accumulation forme une texture qui se plaque sur un polygone, plusieurs polygones forment alors un objet 3D, un volume.


    En résulte des terrains criant de réalisme, parsemés de multiples trous et autres bosses, à contrario des technologies se basant sur le pixel qui presentaient à l'époque des sols tout plats avec une bête texture plaquée dessus se répetant à l'infini. Voilà pour la succinte explication, trés vulgarisée pour le coup.

    Ici, la séquence d'introduction : http://www.dailymotion.com/Applegregs/video/x4dz62_pc-outcast-introduction_videogames
    Et là, la Bande Originale (mp3, 96 kbps) : http://outcastii.free.fr/www/fr/index_fr.php?url=download.html#musiques
  • Deus Ex : Best FPS/RPG ever !! TOUT dans ce jeu est fantastique !
    Le scénario, l'ambiance futuriste, les possibilités de gameplay offertes, les différentes façons de terminer sa mission, les choses que vous decouvriez vous même (donnant au scénario une toute autre tournure), les différentes fins possibles, l'aspect RPG intelligement utilisé (vous ne pouviez pas devenir un Dieu tout puissant fort en tout, il fallait faire des choix drastiques et limite ubuesques dans les caracteristiques que vous vouliez faire évoluer), la durée de vie, TOUT !!
  • Half Life : Pourquoi parler d'un tel jeu si ce n'est pour l'encenser, encore et encore ? Je crois qu'il s'agit du premier FPS présentant un vrai scenario et une vraie mise en scène (le début où vous arriviez à votre boulot en tramway et decouvriez Black Mesa !!!). Sans oublier les marines, véritables raclures à l'intelligence trés crédible, allant jusqu'à vous prendre à revers en groupe et vous déloger de votre cachette avec des grenades ! Tout simplement stupéfiant !
    A propulsé Valve au rang de developpeur mythique.
  • The Longest Journey : vous incarnez April Ryan, une jeune demoiselle menant son petit train-train quotidien dans un monde urbain ultra-futuriste. Une nuit, pendant un sommeil mouvementée aprés une journée parsemée de phénomènes étranges, elle rêvera d'un monde resolument tourné vers la magie (contraste évident avec son monde d'origine) qui s'avêrera être... bien et bien réel !
    C'est d'ailleurs de l'equilibre de ces deux mondes (Science et Magie) qu'il est question dans l'histoire, chacun ne représentant plus qu'un rêve lointain pour l'autre. De leur éloignement définitif, decoulera la fin de TOUT.
    C'est incontestablement un Point & Click de grande qualité, teinté de poésie et de surréalisme dans sa dernière partie, ce qui n'est franchement pas désagréable.
    On notera principalement des dialogues intelligents d'une grande sensibilité (dans les règles de l'art donc) et des environnements poétiques et/ou oppressant offrant souvent de splendides panoramas (regardez ceci et dites moi que c'est moche : http://www.longestjourney.com/screenshots/arcadia/view?b_start=3).
    A noter qu'il existe une suite, intitulée DreamFall, que j'ai malheureusement abandonné, trop insipide à mon gout. C'est surtout le mélange de genre propice à un rythme en dents de scie (enigmes légères, exploration en aller-retour, dialogues longs, combats injouables et inutiles) qui casse l'atmosphère, éloignant le joueur de son "voyage". Dommage...
  • A suivre... Notamment au sujet de l'émulation, qui me fit découvrir des perles rares, trésors cachés sous ces tonnes de sable que sont les jeux "pour et par l'argent", perles telles les Point & Click de Lucas Arts (Monkey Island, Day of the Tentacle, Sam & Max, Full Throttle, Indiana Jones, etc...) via ScummVM.




EN VRAC !


  • Fahrenheit : dispo sur PC et PS2. C'est l'histoire de Lucas Kane, un homme en proie à des comportements dont il ne comprends pas l'origine. Tout porte à croire qu'il était contrôlé à distance lors du meurtre, dans ce restaurant tout à fait bénin, qu'il a commis à ses dépends et qui a failli lui couter sa liberté.
    Deux points de vue du jeu vous sont proposés : celui du personnage principale et celui des policiers qui tentent de le retrouver. Vous jouez successivement ces deux camps "adverses", les faits et gestes de l'un rendant la tâche plus ou moins difficile aux autres. Chaque action avait donc des conséquences sur le déroulement du jeu.
    Un jeu à la tournure volontairement cinematographique (l'écran se splittait parfois en plusieurs parties, un peu comme dans 24h et autres films de De Palma, afin d'appuyer certains événements en temps réel), offrant un gameplay trés particulier (à base de QTE pour les cutscenes, et de mouvements à faire avec le stick gauche en relation avec l'action souhaité, exemple secouer le stick de haut en bas pour passer la serpillière, action necessaire au debut du jeu lorsque Lucas se rends compte du meurtre et qu'il doit "effacer" les traces le plus vite possible), scenario riche aux diverses fins possibles.
    Bref, du lourd !!
  • Beyond Good and Evil : dispo sur PC et PS2. Un jeu fort sympathique sur fond de propagande politique, d'égémonie de pouvoir, de faux semblants, de trahison envers le peuple sur lesquelles la journaliste que vous incarnez (Jade de son prénom) doit enquêter, principalement à l'aide de son appareil photo.
    Un jeu paradoxalement tourné vers un public jeune, avec des graphismes enfantins aux couleurs chatoyantes (limite dessin animé), de l'humour, des personnages comme votre pote Pey'J (un cochon généreux, mais au comportement trés grincheux, ce qui le rends finalement trés attachant ^^).
  • A suivre... avec des jeux que j'ai découvert via les consoles de mes amis. Comme Chrono Cross (suite de Chrono Trigger), Final Fantasy VII, Mass Effect, Ico, Shadow of the Colossus, Okami, etc..




LA TRIFORCE

Symbole de l'equilibre des énergies universelles



 [x]




Fruit de la fusion des Déesses créatrices d'Hyrule (Din, Nayru et Farore... respectivement Feu, Eau et Vent) et cadeau sur la Terre à ses futurs habitants.


On retrouve cette symbolique d'élements parfaitement égaux et unis dans certaines mythologies (dont les japonais sont friants, voir la série des Final Fantasy et les références multiples cachées en filigranne, notamment dans les noms des invocations), comme chez les Celtes par exemple, où le triskell en est l'exemple le plus évocateur.
LE TRISKELL
 [x]

A noter que le centre du Triskell représente la Terre, tout comme sur la Triforce, symbolisé par un triangle inversé.



Unité qui se divisera et se reconstituera à maintes reprises, la Triforce est présente depuis le début de la série "The Legend of Zelda", dont elle est l'élément scénaristique central. Elle est dotée d'un pouvoir hors du commun, offrant à celui qui la touche la possibilité d'exaucer un voeu, quel qu'il soit, ce qui en fait un artefact trés... convoité.



 [x]
Dans l'épisode Ocarina of Time, elle est representée, en sus du symbole des Déesses, par les liens immuables entre Ganondorf, Link et Zelda (respectivement Force, Courage et Sagesse... qui peut aussi être résumé par Mal, Bien et Neutre).



Trois composantes...
Pour faire du feu et le maintenir en "vie", il faut trois composantes : un comburant (de l'oxygène), un combustible (du bois par exemple) et de la chaleur procédant à la fusion des deux premières composantes (ici des rayonnements infrarouges). C'est ce que l'on appelle le "triangle du feu".
Enlevez une seule de ces composantes et le feu s'éteint.


Pour former un atome, il faut trois particules élémentaires : le quark up, le quark down et l'électron. Deux quarks up et un quark down forment un proton, deux quarks down et un quark up forment un neutron. Associer un neutron et un proton via un electron, et vous obtiendrez un atome (H dans ce cas précis). A noter que l'electron maintient l'équilibre des energies entre proton et neutron (respectivement -, et neutre).

Tout comme le feu ou l'atome, enlever un élement à la Triforce est celle-ci n'est plus qu'un souvenir éparse.
Ainsi Link représente, comme sa traduction de l'anglais l'indique, le lien entre Zelda et Ganondorf. De leur fusion nait la Triforce, tout comme de la fusion du Vent, de l'Eau et du Feu nait la Terre, etc...
Bref !!
.